1. Les dispositions de la présente Convention ne portent pas atteinte aux privilèges fiscaux dont bénéficient les fonctionnaires diplomatiques ou consulaires en vertu soit des règles générales du droit des gens, soit des dispositions d’accords particuliers.
2. Dans la mesure où, en raison des privilèges fiscaux dont bénéficient les fonctionnaires diplomatiques ou consulaires, en vertu des règles générales du droit des gens ou aux termes des dispositions d’accords internationaux particuliers, le revenu n’est pas imposable dans l’Etat accréditaire, le droit d’imposition est réservé à l’Etat accréditant.
3. Aux fins de la Convention, les membres d’une mission diplomatique ou consulaire de l’un des Etats contractants accréditée dans l’autre Etat contractant ou dans un Etat tiers qui ont la nationalité de l’Etat accréditant, sont réputés être résidents de l’Etat accréditant s’ils y sont soumis aux mêmes obligations, en matière d’impôts sur le revenu, que les résidents dudit Etat.
4. La Convention ne s’applique pas aux Organisations internationales, à leurs organes ou à leurs fonctionnaires, ni aux personnes qui sont membres d’une mission diplomatique ou consulaire d’un Etat tiers, lorsqu’ils se trouvent sur le territoire de l’un des Etats contractants et ne sont pas traités comme des résidents dans l’un ou l’autre Etat contractant en matière d’impôts sur le revenu.
1. Le disposizioni della presente Convenzione non infirmano i privilegi fiscali di cui fruiscono i funzionari diplomatici e consolari, conformemente alle norme generali del diritto delle genti o ad altre disposizioni d’accordi particolari.
2. Il diritto all’imposizione spetta allo Stato accreditante, nella misura in cui il reddito non è imponibile nello Stato accreditatario a cagione dei privilegi fiscali concessi al funzionario diplomatico e consolare, conformemente alle norme generali del diritto delle genti e ad altre disposizioni d’accordi particolari.
3. Nell’applicazione della Convenzione, i membri di una missione diplomatica o consolare di uno Stato contraente, accreditata nell’altro o in un terzo Stato, sono considerati residenti nello Stato accreditante, qualora abbiano la sua nazionalità e ivi siano assoggettati all’imposta sul reddito come le persone residenti in questo Stato.
4. La presente Convenzione non si applica alle organizzazioni internazionali, ai loro organi e ai loro funzionari, né ai membri di una missione diplomatica o consolare di uno Stato terzo, che si trovano bensì sul territorio di uno Stato contraente, ma non sono parificati ai residenti di uno dei due Stati contraenti, quanto alle imposte sul reddito.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.