1. Al fine di intraprendere misure preventive e di predisporre misure di preparazione, la Parte di origine adotterà misure, come opportuno, per individuare attività a rischio nell’ambito della sua giurisdizione ed accertare che le Parti colpite siano notificate riguardo ad ogni attività proposta o esistente.
2. Le Parti interessate, a richiesta di una qualsiasi Parte tra di loro, intavoleranno dibattiti sulla individuazione delle attività a rischio che sono ragionevolmente suscettibili di causare effetti transfrontalieri. Se le Parti interessate non raggiungono un accordo sul fatto di sapere se un’attività è a rischio o meno, ciascuna di esse può, a meno le Parti interessate non si accordino su un altro metodo per risolvere la questione, sottoporre tale questione ad una Commissione d’inchiesta in conformità con le disposizioni dell’Annesso II per un parere.
3. Le Parti, per quanto riguarda le attività proposte o esistenti, applicheranno le procedure stabilite nell’Annesso III al presente documento.
4. Quando un’attività a rischio è soggetta ad una valutazione dell’impatto ambientale in conformità con la convenzione sulla valutazione dell’impatto ambientale in un contesto transfrontaliero e che questa valutazione include un esame degli effetti transfrontalieri degli incidenti industriali derivanti da attività a rischio svolte ai sensi della presente Convenzione, la decisione finale adottata ai fini della Convenzione sulla valutazione dell’impatto ambientale in un contesto transfrontaliero, dovrà essere conforme ai requisiti pertinenti della presente Convenzione.
1. En vue de prendre des mesures préventives et de mettre au point des mesures de préparation, la Partie d’origine prend les dispositions appropriées pour identifier les activités dangereuses relevant de sa juridiction et faire en sorte que les Parties touchées reçoivent notification de toute activité de ce type proposée ou existante.
2. A la demande de l’une quelconque d’entre elles, les Parties concernées engagent des discussions concernant l’identification des activités dangereuses qui, raisonnablement, sont susceptibles d’avoir des effets transfrontières. Si les Parties concernées ne se mettent pas d’accord sur le point de savoir si une activité est une activité dangereuse de ce type, l’une quelconque de ces Parties peut soumettre cette question pour avis à une commission d’enquête au sens de l’Annexe II de la présente Convention, à moins que les Parties concernées ne conviennent d’une autre méthode pour régler la question.
3. En ce qui concerne les activités dangereuses, proposées ou existantes, les Parties appliquent les procédures décrites à l’Annexe III de la présente Convention.
4. Lorsqu’une activité dangereuse fait l’objet d’une évaluation de l’impact sur l’environnement conformément à la Convention sur l’évaluation de l’impact sur l’environnement dans un contexte transfrontière et lorsque cette évaluation comprend notamment une évaluation des effets transfrontières d’accidents industriels résultant de l’activité dangereuse qui est exercée conformément aux dispositions de la présente Convention, la décision définitive prise aux fins de la Convention sur l’évaluation de l’impact sur l’environnement dans un contexte transfrontière remplit les conditions pertinentes requises par la présente Convention.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.