1. Les Parties reconnaissent la contribution des ressources génétiques et des savoirs traditionnels aux développements scientifique, culturel et économique.
2. Les Parties reconnaissent et réaffirment les principes établis dans la Convention du 5 juin 1992 sur la diversité biologique45 et encouragent les efforts en vue d’améliorer le renforcement mutuel entre l’Accord sur les ADPIC et la Convention sur la diversité biologique dans les domaines des ressources génétiques et des savoirs traditionnels.
3. Sous réserve des droits et obligations internationaux et de la législation nationale de chaque Partie, les Parties peuvent adopter ou maintenir des mesures visant à promouvoir la préservation de la diversité biologique et le partage équitable des avantages découlant de l’exploitation des ressources génétiques et des savoirs traditionnels.
4. Les Parties peuvent exiger des déposants de demandes de brevets qu’ils indiquent la source de la ressource génétique et, si la législation nationale l’exige, du savoir traditionnel auxquels l’inventeur ou le déposant de la demande de brevet a eu accès, pour autant que l’invention porte directement sur cette ressource ou ce savoir conformément aux lois et réglementations nationales.
5. Lorsqu’une demande de brevet ne remplit pas les conditions visées à l’al. 4, les Parties peuvent impartir un délai au déposant de la demande pour remédier à cette insuffisance. Elles peuvent refuser la demande ou la considérer comme retirée si l’insuffisance visée au présent alinéa n’a pas été corrigée dans le délai imparti.
6. Lorsqu’il est découvert, après la délivrance du brevet, que le déposant de la demande n’a pas indiqué la source ou qu’il a délibérément fourni de faux renseignements, ou qu’il a enfreint d’autres lois et réglementations pertinentes, les Parties peuvent prévoir des conséquences juridiques adéquates.
1. Le Parti riconoscono il contributo fornito dalle risorse genetiche e dalle conoscenze tradizionali allo sviluppo scientifico, culturale ed economico.
2. Le Parti riconoscono e riaffermano i principi stabiliti nella Convenzione sulla diversità biologica adottati il 5 giugno 199245 e incentivano gli sforzi volti a favorire un rapporto di reciproco supporto tra l’Accordo TRIPS e la Convenzione sulla diversità biologica per quanto riguarda le risorse genetiche e le conoscenze tradizionali.
3. Fatti salvi i diritti e gli obblighi internazionali e delle rispettive legislazioni nazionali, le Parti possono adottare o mantenere misure volte a promuovere la salvaguardia della diversità biologica e un’equa condivisione dei vantaggi derivanti dallo sfruttamento delle risorse genetiche e delle conoscenze tradizionali.
4. Le Parti possono esigere da chi richiede un brevetto di indicare la fonte della risorsa genetica e, se richiesto dalla legislazione nazionale, delle conoscenze tradizionali alle quali l’inventore o il richiedente ha avuto accesso, a condizione che l’invenzione sia direttamente basata su questa risorsa o queste conoscenze conformemente alle leggi e alle ordinanze nazionali.
5. Se un richiedente non soddisfa i requisiti di cui al paragrafo 4, le Parti possono imporre un termine entro cui porvi rimedio. Le Parti possono respingere la domanda di brevetto o considerarla ritirata se l’insufficienza ravvisata non è stata corretta entro il termine fissato.
6. Se una volta concesso il brevetto si scopre che il richiedente non ha indicato la fonte o che ha deliberatamente fornito informazioni false, o che ha infranto altre leggi e regolamentazioni pertinenti, le Parti possono prevedere appropriate conseguenze giuridiche.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.