Droit international 0.8 Santé - Travail - Sécurité sociale 0.83 Sécurité sociale
Diritto internazionale 0.8 Sanità - Lavoro - Sicurezza sociale 0.83 Sicurezza sociale

0.831.109.514.1 Convention de sécurité sociale du 8 mars 1989 entre la Confédération suisse et la Principauté de Liechtenstein (avec protocole final)

0.831.109.514.1 Convenzione dell'8 marzo 1989 di sicurezza sociale tra la Confederazione Svizzera e il Principato del Liechtenstein (con Protocollo finale)

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Art. 13

Lorsque l’acquisition du droit à des prestations est subordonnée, selon la législation de l’un des Etats contractants, à l’existence d’un rapport d’assurance, sont considérés comme des assurés

(1) les ressortissants des Etats contractants

a.
qui, au moment de la réalisation du risque assuré, sont assurés selon la législation de l’un des Etats;
b.
qui bénéficient de mesures de réadaptation accordées par l’un des Etats; ils sont soumis à l’obligation de cotiser à l’assurance-vieillesse, survivants et invalidité de cet Etat;
c.
qui, en qualité de frontaliers, ont exercé une activité lucrative dans l’un des Etats et qui, durant les trois années précédant immédiatement la réalisation du risque assuré conformément aux dispositions légales de cet Etat, ont versé des cotisations pendant douze mois au moins selon la législation de ce dernier;

(2) les ressortissants de l’autre Etat contractant

a.
contraints d’abandonner leur activité lucrative dans le premier Etat à la suite d’une maladie ou d’un accident, mais dont l’invalidité est constatée dans ce pays, pour la durée d’une année à compter de la date de l’interruption de travail suivie d’invalidité; ils sont tenus de cotiser à l’assurance-vieillesse, survivants et invalidité de cet Etat comme s’ils y étaient domiciliés;
b.
qui ne sont pas considérés comme étant assurés selon la lettre a ou le paragraphe premier, lettre b, en ce qui concerne les prestations conformément à la législation du premier Etat, et qui au moment de la réalisation du risque assuré, en vertu de cette législation,
aa.
ont droit à une rente de vieillesse ou d’invalidité de l’autre Etat ou bénéficient d’une telle rente ou
bb.
ont droit à des prestations de l’assurance-maladie ou accidents de l’autre Etat ou bénéficient de telles prestations ou
cc.
ont droit à des prestations en espèces de l’assurance-chômage de l’autre Etat ou bénéficient de telles prestations;

(3) d’autres personnes domiciliées sur le territoire de l’autre Etat contractant qui, en vertu de la législation du premier Etat, étaient soumises à l’obligation de cotiser immédiatement avant le début de l’interruption de l’activité lucrative conduisant à l’invalidité. Lorsque la législation de cet Etat prévoit que la personne concernée doit être domiciliée sur le territoire de cet Etat pour acquérir le droit à une rente d’invalidité et pour que celle-ci soit versée, cette condition est réputée remplie pour les ressortissants d’Etats tiers domiciliés sur le territoire de l’autre Etat contractant, si une réglementation internationale de sécurité sociale, conclue entre leur Etat d’origine et l’un des deux Etats, est en vigueur. Cette deuxième phrase ne s’applique pas aux rentes ordinaires d’invalidité des assurés invalides à moins de 50 pour cent.

25 Nouvelle teneur selon l’art. 1 ch. 10 de la première conv. compl. du 9 fév. 1996, approuvée par l’Ass. féd. le 18 sept. 1996 et en vigueur depuis le 1er nov. 1996 (RS 0.831.109.514.11).

Art. 14

(1)  I provvedimenti d’integrazione sono accordati ai cittadini degli Stati contraenti domiciliati sul territorio di uno di questi Stati conformemente alla legislazione dell’altro Stato se, immediatamente prima dell’esecuzione di tali provvedimenti, erano sottoposti all’obbligo contributivo conformemente alla legislazione di questo Stato sulla base di un rapporto d’impiego durevole a tempo pieno. Il rapporto d’impiego a tempo pieno è considerato durevole se è illimitato o concluso per una durata di almeno un anno e se l’attività svolta è sufficiente per coprire il fabbisogno vitale.

(2)  I figli di cittadinanza di uno degli Stati contraenti che sono nati invalidi sul territorio di questo Stato sono parificati ai figli nati sul territorio dell’altro Stato se la loro madre vi è domiciliata e, prima della nascita, ha soggiornato durante al massimo due mesi sul territorio del primo Stato. In caso d’infermità congenita del figlio, l’assicurazione per l’invalidità dello Stato di domicilio della madre assume le spese avute durante i primi tre mesi dopo la nascita nella misura in cui sarebbe stata tenuta a concederle sul territorio di questo Stato. La prima e la seconda frase sono applicabili per analogia ai bambini nati fuori del territorio degli Stati contraenti; in questo caso l’assicurazione per l’invalidità dello Stato di domicilio della madre assume le spese per le prestazioni fornite all’estero, unicamente se queste ultime hanno dovuto essere concesse d’urgenza a causa delle condizioni di salute del figlio.

(3)  Se, prima o durante l’esecuzione di provvedimenti d’integrazione, il domicilio è trasferito dal territorio di uno degli Stati contraenti al territorio dell’altro Stato, l’assicurazione del primo Stato rimane integralmente responsabile per le prestazioni uniche o di breve durata e, durante tre mesi al massimo, per le prestazioni di lunga durata; l’assicurazione del secondo Stato continua ad eseguire i provvedimenti come se il diritto ai provvedimenti fosse dato in virtù della sua legislazione. Le autorità competenti possono disciplinare in modo diverso, nel singolo caso, il trasferimento dell’obbligo delle prestazioni.

(4)  Per quanto riguarda l’applicazione dei provvedimenti d’integrazione accordati dall’assicurazione di uno degli Stati contraenti, il territorio dell’altro Stato non è considerato territorio straniero.

27 Nuovo testo giusta l’art. 1 n. 11 del Primo Acc. agg. del 9 feb. 1996, approvato dall’Ass. fed. il 18 set. 1996 e in vigore dal 1° nov. 1996 (RS 0.831.109.514.11).

 

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