1. Si la Suisse estime qu’il y a abus d’un privilège ou d’une immunité accordé au titre du présent accord, des consultations ont lieu entre la Suisse et l’OIAC afin de déterminer si un tel abus s’est produit et, dans l’affirmative, d’essayer d’en prévenir la répétition. Si les consultations n’aboutissent pas à un résultat satisfaisant pour la Suisse et pour l’OIAC, la question de savoir s’il y a eu abus d’un privilège ou d’une immunité est réglée conformément à la procédure prévue à l’art. 10.
2. Les personnes appartenant à l’une des catégories visées dans les art. 6 et 7 du présent accord ne sont pas contraintes par les autorités territoriales de quitter le territoire de la Suisse en raison d’activités qu’elles ont exercées dans le cadre de leurs fonctions officielles. Toutefois, dans les cas où une telle personne abuserait d’un privilège dans l’exercice d’activités sans rapport avec ses fonctions officielles, ladite personne peut être contrainte par le Gouvernement suisse de quitter le territoire, sous réserve que la décision d’expulsion soit prise par les autorités territoriales, avec l’approbation du Ministre des affaires étrangères suisse. Cette approbation n’est donnée qu’après consultation avec le Directeur général de l’OIAC. Si une procédure d’expulsion est engagée contre ladite personne, le Directeur général de l’OIAC a le droit d’intervenir dans cette procédure au nom de la personne contre laquelle la procédure est intentée.
1. Ist die Schweiz der Ansicht, dass ein Missbrauch eines Vorrechts oder einer Immunität nach diesem Abkommen vorliegt, finden Beratungen zwischen der Schweiz und der OPCW statt, um festzustellen, ob ein solcher Missbrauch stattgefunden hat, und gegebenenfalls sicherzustellen, dass sich ein solcher Fall nicht wiederholt. Wenn diese Beratungen zu keinem für die Schweiz und die OPCW zufrieden stellenden Ergebnis führen, wird die Frage, ob ein Missbrauch eines Vorrechts oder einer Immunität vorliegt, durch ein Verfahren gemäss Artikel 10 entschieden.
2. Die unter Artikel 6 und 7 genannten Personen dürfen von den örtlichen Behörden wegen Handlungen, die sie in ihrer amtlichen Eigenschaft ausgeführt haben, nicht zum Verlassen des schweizerischen Hoheitsgebiets aufgefordert werden. Sollte ein Missbrauch von Vorrechten durch eine solche Person bei Tätigkeiten ausserhalb ihrer amtlichen Funktionen vorliegen, kann diese von der schweizerischen Regierung zum Verlassen des Landes aufgefordert werden, vorausgesetzt die Ausweisung wurde von den örtlichen Behörden mit Genehmigung des schweizerischen Aussenministers ausgesprochen. Eine solche Genehmigung wird nur nach Rücksprache mit dem Generaldirektor der OPCW erteilt. Wenn ein Ausweisungsverfahren gegen diese Person eingeleitet wird, hat der Generaldirektor der OPCW das Recht, in diesem Verfahren auf Seiten jener Person aufzutreten, gegen die das Verfahren eingeleitet wurde.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Dies ist keine amtliche Veröffentlichung. Massgebend ist allein die Veröffentlichung durch die Bundeskanzlei.