1 Il costo del terreno consta dei costi principale ed accessori di acquisto, delle spese di indennizzo, di pianificazione e di finanziamento prima della messa in cantiere, dei costi di urbanizzazione generale, inclusi i relativi contributi ai Comuni ed agli enti.
2 Il costo del terreno deve risultare proporzionato ai costi di costruzione. Nell’apprezzamento della sua congruità, occorre valutare il valore venale, il grado d’urbanizzazione, le caratteristiche dell’area edificabile, eventuali immissioni nocive o moleste e le possibilità di utilizzazione.
3 Nell’apprezzamento della congruità del canone del diritto di superficie si applica per analogia il capoverso 2. Occorre inoltre considerare la durata del diritto di superficie, l’indennità dovuta al superficiario per la devoluzione (indennità di devoluzione) e l’indennità per il diritto di superficie (canone del diritto di superficie).78
4 L’indennità di devoluzione e il canone del diritto di superficie possono essere adeguati in base a determinate condizioni economiche. Per il canone del diritto di superficie si tiene conto in particolare dell’evoluzione dei tassi d’interesse applicati alle vecchie ipoteche; per il valore fondiario, invece, dell’indice svizzero dei prezzi al consumo nonché dei costi di costruzione e dei costi d’investimento che producono plusvalore.79
5 Se è stato convenuto d’indicizzare il canone del diritto di superficie, di regola l’adeguamento annuo non può superare la metà del rincaro calcolato secondo l’indice svizzero dei prezzi al consumo.80
78 Nuovo testo giusta il n. I dell’O del 25 mar. 1998, in vigore dal 1° lug. 1998 (RU 1998 1420).
79 Introdotto dal n. I dell’O del 21 nov. 1990 (RU 1990 1851). Nuovo testo giusta il n. I dell’O del 25 mar. 1998, in vigore dal 1° lug. 1998 (RU 1998 1420).
80 Introdotto dal n. I dell’O del 25 mar. 1998, in vigore dal 1° lug. 1998 (RU 1998 1420).
1 Le coût du terrain se compose des coûts principaux et accessoires d’acquisition, des dépenses résultant d’indemnisations, de travaux de planification et du financement précédant la mise en chantier, ainsi que du coût de l’équipement général, y compris les contributions d’équipement versées aux commune aux collectivités.
2 Un rapport équilibré doit exister entre le coût du terrain et le coût de construction. Pour déterminer si ce coût reste dans des limites admissibles, il faut tenir compte de la valeur vénale, du degré d’équipement, de la nature du sol, des nuisances éventuelles et des possibilités d’utilisation.
3 Pour déterminer si la rente du droit de superficie est équitable, il y a lieu d’appliquer l’al. 2 par analogie. Il faut en outre tenir compte de la durée du droit de superficie, de l’indemnisation du superficiaire liée au retour au propriétaire (indemnité de retour) et de l’indemnisation du droit de superficie (rente du droit de superficie).79
4 L’indemnisation de retour et la rente du droit de superficie peuvent être adaptées à certaines données économiques. Pour la rente du droit de superficie, ces données sont notamment l’évolution des taux d’intérêt appliqués aux anciennes hypothèques; pour la valeur foncière, il s’agit de l’indice suisse des prix à la consommation ainsi que des coûts de construction et des coûts d’investissement créant une plus-value.80
5 S’il a été convenu d’indexer la rente du droit de superficie, l’adaptation annuelle ne peut, en règle générale, excéder la moitié de la hausse de l’indice suisse des prix à la consommation.81
79 Nouvelle teneur selon le ch. I de l’O du 25 mars 1998, en vigueur depuis le 1er juil. 1998 (RO 1998 1420).
80 Introduit par le ch. I de l’O du 21 nov. 1990 (RO 1990 1851). Nouvelle teneur selon le ch. I de l’O du 25 mars 1998, en vigueur depuis le 1er juil. 1998 (RO 1998 1420).
81 Introduit par le ch. I de l’O du 25 mars 1998, en vigueur depuis le 1er juil. 1998 (RO 1998 1420).
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