Diritto nazionale 1 Stato - Popolo - Autorità 17 Autorità federali
Droit interne 1 État - Peuple - Autorités 17 Autorités fédérales

172.010.321 Ordinanza del 30 settembre 1996 sullo statuto del personale dell'Istituto federale della proprietà intellettuale (OPer-IPI)

172.010.321 Ordonnance du 30 septembre 1996 sur le statut du personnel de l'Institut Fédéral de la Propriété Intellectuelle (OPer-IPI)

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Art. 22 Disdetta abusiva

1 Nel caso di disdetta abusiva, la controparte può fare opposizione per scritto all’altra parte entro la scadenza del termine di disdetta.

2 La disdetta è abusiva segnatamente se pronunciata:

a.
per ragioni intrinseche alla personalità dell’impiegato, in quanto tali ragioni non abbiano connessioni con il rapporto d’impiego e non lo pregiudichino in modo sostanziale;
b.
perché l’impiegato esercita un diritto costituzionale, in quanto l’esercizio di tale diritto non leda alcun obbligo dell’impiegato e non pregiudichi in modo essenziale la collaborazione;
c.
perché l’impiegato adempie un obbligo legale, un servizio militare volontario nell’esercito svizzero, un servizio volontario nella protezione civile o un servizio nella Croce Rossa;
d.
per appartenenza o non appartenenza dell’impiegato a un’associazione del personale o per legittimo esercizio di un’attività sindacale;
e.
senza motivo giustificato durante il periodo nel quale l’impiegato è nominato rappresentante di un organo aziendale o di un’istituzione legata all’IPI;
f.
soltanto per vanificare l’insorgere di pretese della controparte derivanti dal rapporto d’impiego;
g.
perché la controparte fa valere in buona fede pretese derivanti dal rapporto d’impiego.

3 Se le parti non si accordano, il destinatario della disdetta può richiedere in via giudiziaria il versamento di un’indennità. L’ammontare di quest’ultima non può eccedere l’equivalente del salario annuo dovuto per il periodo di calcolo in corso. È fatta salva la riassunzione in seno ad altra unità amministrativa della Confederazione.

4 Sono fatte salve altre pretese di risarcimento dei danni derivanti da altri titoli giuridici.

Art. 22 Résiliation abusive

1 En cas de résiliation abusive, la partie adverse peut faire opposition par écrit auprès de celle qui a donné le congé, jusqu’à l’expiration du délai de résiliation.

2 La résiliation est abusive notamment lorsqu’elle intervient:

a.
pour des raisons inhérentes à la personnalité de l’employé, pour autant que ces raisons n’aient aucun lien avec les rapports de service et ne portent aucun préjudice essentiel à ces derniers;
b.
en raison de l’exercice d’un droit constitutionnel de la part de l’employé, pour autant que l’exercice de ce droit ne viole aucune obligation de l’employé et ne porte aucun préjudice essentiel à la collaboration;
c.
parce que l’employé accomplit une obligation légale, un service militaire facultatif dans l’armée suisse, un service facultatif dans la protection civile ou un service pour la Croix-Rouge;
d.
en raison de l’appartenance ou de la non-appartenance de l’employé à une organisation du personnel ou en raison de l’exercice conforme au droit d’une activité syndicale;
e.
sans motif, pendant que l’employé est représentant élu d’un organe de l’entreprise ou d’une institution liée à l’IPI;
f.
à seule fin d’empêcher l’autre partie de faire valoir des prétentions résultant des rapports de service;
g.
parce que l’autre partie fait valoir de bonne foi des prétentions résultant des rapports de service.

3 A défaut d’accord entre les parties, celle qui a reçu le congé peut exiger une indemnité par voie de droit. Son montant ne peut dépasser le salaire annuel dû pour la période de décompte en cours. Le réengagement dans une autre unité administrative de la Confédération est réservé.

4 Sont réservés les dommages-intérêts dus à un autre titre.

 

Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.