Diritto internazionale 0.9 Economia - Cooperazione tecnica 0.97 Sviluppo e cooperazione
Droit international 0.9 Économie - Coopération technique 0.97 Développement et coopération

0.975.271.2 Accordo del 23 settembre 1981 tra il Governo della Confederazione Svizzera e il Governo della Repubblica democratica Socialista dello Sri Lanka concernente il promovimento e la protezione reciproca degli investimenti (con Scambio di lettere)

0.975.271.2 Accord du 23 septembre 1981 entre le Gouvernement de la Confédération suisse et le Gouvernement de la République démocratique socialiste de Sri Lanka concernant l'encouragement et la protection réciproque des investissements (avec échange de lettres)

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Art. 9 Centro internazionale per la composizione delle controversie relative agli investimenti

1.  In caso di controversia d’ordine giuridico tra un cittadino o una società di una Parte Contraente e un cittadino o una società dell’altra Parte Contraente, concernente un investimento sul territorio di quest’altra Parte Contraente, la controversia è sottoposta, nella misura in cui le due Parti sono d’accordo, all’arbitrato del Centro internazionale per la composizione delle controversie, istituito dalla Convenzione di Washington del 18 marzo 1965 per la composizione delle controversie relative agli investimenti tra Stati e cittadini di altri Stati.

2.  Una società fondata o istituita conformemente alle leggi vigenti sul territorio della Parte Contraente, e che, innanzi la sopravvenienza della controversia, è diretta da cittadini o da società dell’altra Parte Contraente, è considerata, giusta l’articolo 25 (2) della Convenzione di Washington, come una società dell’altra Parte Contraente ai sensi del presente Accordo. Nella misura in cui tale controversia tra le Parti non può essere risolta entro dodici mesi mediante procedure governative interne o mediante altra via, e allorché il cittadino o la società interessati hanno parimenti espresso per iscritto il loro consenso nel voler sottoporre il caso, oggetto della controversia, al Centro per la composizione delle controversie, per conciliazione o arbitrato nel quadro dell’Accordo, ciascuna Parte può introdurre la procedura, presentando una proposta in merito al Segretario generale del Centro, come previsto negli articoli 28 e 36 dell’Accordo. Qualora le Parti non s’intendessero sulla scelta della procedura – consultazione o arbitrato – la decisione sarà presa dal cittadino o dalla società. La Parte Contraente, che è parte nella controversia non può, in nessun momento della procedura di componimento o d’esecuzione della controversia, esigere che l’altra Parte in causa, cittadino o società, riceva, in virtù di un contratto d’assicurazione, un’indennizzo che copre totalmente o parzialmente il danno subito.

3.  Nessuna Parte Contraente continuerà la procedura per una controversia che è stata sottoposta al Centro in via diplomatica, salvo che

a)
il Segretario generale del Centro, o una commissione di conciliazione oppure un tribunale arbitrale istituito dal Centro stesso, decida che la controversia non dipende dalla competenza del Centro, o che
b)
l’altra Parte Contraente non si sottomette alla sentenza resa nell’affare, oggetto della controversia.

Art. 9 Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements

1.  En cas de différend entre un ressortissant ou une société d’une Partie Contractante et l’autre Partie Contractante concernant un investissement sur le territoire de cette autre Partie Contractante, le différend sera soumis pour arbitrage, sous réserve de l’accord des deux parties, au Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements, institué par la Convention de Washington du 18 mars 19654 pour le règlement des différends relatifs aux investissements entre Etats et ressortissants d’autres Etats.

2.  Une société qui a été incorporée ou constituée conformément aux lois en vigueur sur le territoire de la Partie Contractante, et qui, avant la naissance du différend, est contrôlée par des ressortissants ou des sociétés de l’autre Partie Contractante, est considérée, au sens de la Convention de Washington et conformément à son art. 25 (2) (b), comme une société de l’autre Partie Contractante. Si un tel différend ne peut pas être réglé entre les parties dans un délai de douze mois par les voies de recours internes ou par une autre voie, et que le ressortissant ou la société en cause a consenti par écrit à soumettre le différend au Centre, en vue de son règlement par conciliation ou arbitrage dans le cadre de la Convention, chaque partie peut entamer la procédure en adressant une requête à cet effet au Secrétaire général du Centre, comme le prévoient les art. 28 et 36 de la Convention. Au cas où les parties seraient en désaccord sur le point de savoir si la conciliation ou l’arbitrage est la procédure la plus appropriée, le choix revient au ressortissant ou à la société en cause. La Partie Contractante qui est partie au différend ne peut, à aucun moment lors de la procédure de règlement ou de l’exécution d’une sentence, exciper du fait que l’autre partie au différend, ressortissant ou société, a reçu, en vertu d’un contrat d’assurance, une indemnité couvrant tout ou partie du dommage encouru.

3.  Aucune Partie Contractante ne poursuivra par la voie diplomatique un différend soumis au Centre, à moins que

a)
le Secrétaire général du Centre, ou une commission de conciliation ou un tribunal arbitral institué par le Centre ne décide que le différend ne relève pas de la compétence de ce dernier, ou que
b)
l’autre Partie Contractante ne se conforme pas à la sentence rendue par un tribunal arbitral.
 

Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.