1. Ogni volta che a) la parità della valuta di un Paese membro, dichiarata al Fondo Monetario Internazionale, è ridotta rispetto al dollaro definito all’articolo 4 del presente Accordo, oppure b) a giudizio della Banca, previa consultazione del Fondo Monetario Internazionale, il cambio della valuta di un Paese membro abbia subito un notevole deprezzamento, il Paese membro versa alla Banca, in un lasso ragionevole di tempo, la valuta necessaria al mantenimento del valore dell’avere della Banca in detta valuta in cui non sono compresi a) i fondi che essa si è procurata contraendo mutui e b) i Fondi speciali accettati conformemente all’articolo 19, paragrafo 1 ii); rimangono tuttavia riservate eventuali disposizioni contrarie dell’accordo di fondazione dei summenzionati Fondi.
2. Ogni volta che, a) la parità della valuta di un Paese membro dichiarata al Fondo Monetario Internazionale, è aumentata rispetto al dollaro definito all’articolo 4 del presente Accordo, oppure b) a giudizio della Banca, previa consultazione del Fondo Monetario Internazionale, il cambio della valuta d’un Paese membro, è sensibilmente aumentato, la Banca, ristorna a detto Paese membro, entro un termine ragionevole, la valuta sufficiente a riadeguare l’avere in detta valuta, in cui non sono compresi: a) i fondi che essa si è procurata contraendo mutui e b) i Fondi speciali da essa accettati conformemente all’articolo 19, paragrafo 1 ii); rimangono tuttavia riservate le eventuali disposizioni contrarie dell’accordo di fondazione dei summenzionati Fondi.
3. La Banca ha la facoltà di rinunciare all’applicazione delle disposizioni del presente articolo, allorquando la modifica della parità è proporzionale e uniforme per tutte le valute dei Paesi membri.
1. Lorsque a) pour le Fonds monétaire international, la valeur nominale de la monnaie d’un pays membre par rapport au dollar, tel qu’il est défini à l’art. 4 du présent Accord, est réduite, ou que b) de l’avis de la Banque, après consultation du Fonds monétaire international, le taux de change de la monnaie d’un pays membre a subi une dépréciation notable, ledit pays membre verse à la Banque, dans des délais raisonnables, le montant supplémentaire de sa monnaie nécessaire pour maintenir la valeur de tous les avoirs que la Banque détient dans cette monnaie, à l’exclusion a) des fonds qu’elle s’est procurés par voie d’emprunt et b) sauf dispositions contraires de l’accord portant création de ces fonds, des ressources de fonds spéciaux acceptés par la Banque en application du par. 1, ii, de l’art. 19.
2. Lorsque a) pour le Fonds monétaire international, la valeur nominale de la monnaie d’un pays membre par rapport audit dollar est augmentée, ou que b) de l’avis de la Banque, après consultation du Fonds monétaire international, le taux de change de la monnaie d’un pays membre a connu une valorisation notable, la Banque reverse audit pays membre, dans des délais raisonnables, le montant de sa monnaie nécessaire pour ajuster la valeur de tous les avoirs que la Banque détient dans cette monnaie, à l’exclusion a) des fonds qu’elle s’est procurés par voie d’emprunt et b) sauf dispositions contraires de l’accord portant création de ces fonds, des ressources de fonds spéciaux acceptés par la Banque en application du par. 1, ii, de l’art. 19.
3. La Banque peut renoncer à appliquer les dispositions du présent article lorsque la valeur nominale des monnaies de tous les pays membres est modifiée dans une proportion uniforme.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
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