1. Le Parti che sono Paesi sviluppati forniscono risorse finanziarie per assistere le Parti che sono Paesi in sviluppo sia per la mitigazione che per l’adattamento quale continuazione degli obblighi già esistenti per loro in virtù della Convenzione.
2. Le altre Parti sono incoraggiate a offrire o continuare a offrire volontariamente tale sostegno.
3. Nell’ambito di uno sforzo globale, le Parti che sono Paesi sviluppati continuano a svolgere un ruolo guida nel mobilitare mezzi per il finanziamento dell’azione climatica da un’ampia gamma di fonti, strumenti e canali, prendendo atto del ruolo significativo dei finanziamenti pubblici, tramite molteplici azioni, incluso il sostegno a strategie sviluppate a livello nazionale, e tenendo conto delle esigenze e delle priorità delle Parti che sono Paesi in sviluppo. Tale mobilitazione di mezzi per il finanziamento dell’azione climatica deve rappresentare un progresso rispetto agli sforzi precedenti.
4. La disponibilità di maggiori risorse finanziarie mira a raggiungere un equilibrio tra adattamento e mitigazione, alla luce delle strategie sviluppate a livello nazionale e delle priorità ed esigenze delle Parti che sono Paesi in sviluppo, in particolare di quelle particolarmente vulnerabili agli effetti negativi dei cambiamenti climatici e che hanno capacità significativamente limitate, quali i Paesi meno sviluppati e i piccoli Paesi insulari in sviluppo, prendendo in considerazione la necessità di risorse pubbliche e a titolo gratuito per l’adattamento.
5. Le Parti che sono Paesi sviluppati comunicano ogni due anni, a titolo indicativo, le informazioni sulla quantità e qualità delle risorse di cui ai paragrafi 1 e 3 del presente articolo, compresi se del caso, e se disponibili, i livelli di risorse finanziarie pubbliche previste da fornire alle Parti che sono Paesi in sviluppo. Le altre Parti che forniscono risorse sono incoraggiate a comunicare ogni due anni tali informazioni su base volontaria.
6. Il bilancio globale di cui all’articolo 14 tiene conto delle informazioni pertinenti comunicate dalle Parti che sono Paesi sviluppati, e/o dagli organi creati in virtù dell’Accordo, relative agli sforzi compiuti in materia di finanziamento dell’azione climatica.
7. Ogni due anni le Parti che sono Paesi sviluppati forniscono informazioni trasparenti e coerenti sul sostegno dato o mobilitato attraverso gli interventi pubblici alle Parti che sono Paesi in sviluppo, conformemente alle modalità, procedure e linee guida che la Conferenza delle Parti che agisce come riunione delle Parti all’Accordo di Parigi potrà adottare in occasione della sua prima sessione, come indicato al paragrafo 13 dell’articolo 13. Le altre Parti sono incoraggiate a fare altrettanto.
8. Il Meccanismo finanziario della Convenzione, inclusi i suoi uffici operativi, funge da meccanismo finanziario del presente Accordo.
9. Le istituzioni che concorrono all’applicazione del presente Accordo, incluse le entità del Meccanismo finanziario della Convenzione, mirano ad assicurare un accesso efficiente alle risorse finanziarie attraverso procedure di approvazione semplificate e maggiore prontezza nel supporto alle Parti che sono Paesi in sviluppo, in particolare per i Paesi meno sviluppati e i piccoli Paesi insulari in sviluppo, nell’ambito delle loro strategie e piani nazionali sul clima.
1. Les pays développés Parties fournissent des ressources financières pour venir en aide aux pays en développement Parties aux fins tant de l’atténuation que de l’adaptation dans la continuité de leurs obligations au titre de la Convention.
2. Les autres Parties sont invitées à fournir ou à continuer de fournir ce type d’appui à titre volontaire.
3. Dans le cadre d’un effort mondial, les pays développés Parties devraient continuer de montrer la voie en mobilisant des moyens de financement de l’action climatique provenant d’un large éventail de sources, d’instruments et de filières, compte tenu du rôle notable que jouent les fonds publics, par le biais de diverses actions, notamment en appuyant des stratégies impulsées par les pays et en tenant compte des besoins et des priorités des pays en développement Parties. Cette mobilisation de moyens de financement de l’action climatique devrait représenter une progression par rapport aux efforts antérieurs.
4. La fourniture de ressources financières accrues devrait viser à parvenir à un équilibre entre l’adaptation et l’atténuation, en tenant compte des stratégies impulsées par les pays et des priorités et besoins des pays en développement Parties, notamment de ceux qui sont particulièrement vulnérables aux effets néfastes des changements climatiques et dont les capacités sont très insuffisantes comme les pays les moins avancés, et les petits États insulaires en développement, eu égard à la nécessité de prévoir des ressources d’origine publique et sous forme de dons pour l’adaptation.
5. Les pays développés Parties communiquent tous les deux ans des informations quantitatives et qualitatives à caractère indicatif ayant trait aux par. 1 et 3 du présent article, selon qu’il convient, notamment, s’ils sont disponibles, les montants prévus des ressources financières publiques à accorder aux pays en développement Parties. Les autres Parties qui fournissent des ressources sont invitées à communiquer ces informations tous les deux ans à titre volontaire.
6. Le bilan mondial prévu à l’art. 14 prendra en compte les informations pertinentes communiquées par les pays développés Parties et/ou les organes créés en vertu de l’Accord sur les efforts liés au financement de l’action climatique.
7. Les pays développés Parties communiquent tous les deux ans des informations transparentes et cohérentes sur l’appui fourni aux pays en développement Parties et mobilisé par des interventions publiques, conformément aux modalités, procédures et lignes directrices que la Conférence des Parties agissant comme réunion des Parties au présent Accord adoptera à sa première session, comme il est prévu au par. 13 de l’art. 13. Les autres Parties sont invitées à faire de même.
8. Le Mécanisme financier de la Convention, y compris ses entités fonctionnelles, remplit les fonctions de mécanisme financier du présent Accord.
9. Les institutions concourant à l’application du présent Accord, y compris les entités fonctionnelles du Mécanisme financier de la Convention, visent à garantir l’accès effectif aux ressources financières par le biais de procédures d’approbation simplifiées et d’un appui renforcé à la préparation en faveur des pays en développement Parties, en particulier des pays les moins avancés et des petits États insulaires en développement, dans le cadre de leurs stratégies et leurs plans nationaux relatifs au climat.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.