Diritto internazionale 0.7 Lavori pubblici - Energie - Trasporti e comunicazioni 0.74 Trasporti e comunicazioni
Droit international 0.7 Travaux publics - Énergie - Transports et communications 0.74 Transports et communications

0.748.127.191.58 Accordo del 28 novembre 2008 tra il Consiglio federale svizzero e il Governo australiano concernente il traffico aereo (con all.)

0.748.127.191.58 Accord du 28 novembre 2008 entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement australien relatif aux services aériens (avec annexe)

Index Inverser les langues Précédent Suivant
Index Inverser les langues

Art. 6

1.  Conformemente ai diritti e agli obblighi loro derivanti in virtù del diritto internazionale, le Parti riaffermano che l’obbligo reciproco di proteggere l’aviazione civile dagli atti d’intervento illeciti, per assicurare la sicurezza, è parte integrante del presente Accordo. Senza limitare il complesso dei loro diritti e obblighi in virtù del diritto internazionale, le Parti agiscono in particolare conformemente alle disposizioni della Convenzione concernente le infrazioni e taluni altri atti commessi a bordo di aeromobili, conchiusa a Tokyo il 14 settembre 19633, della Convenzione per la repressione della cattura illecita di aeromobili, conchiusa all’Aia il 16 dicembre 19704, della Convenzione per la repressione di atti illeciti contro la sicurezza dell’aviazione civile, conclusa a Montreal il 23 settembre 19715, del Protocollo aggiuntivo per la repressione degli atti illeciti di violenza negli aeroporti adibiti all’aviazione civile internazionale, firmato a Montreal il 24 febbraio 19886 e di ogni altro accordo plurilaterale che regola la sicurezza dell’aviazione civile ai quali le Parti aderiscono.

2.  Su richiesta, le Parti si accordano reciprocamente tutta l’assistenza necessaria per prevenire gli atti di cattura illecita di aeromobili civili e altri atti illeciti diretti contro la sicurezza di detti aeromobili, dei loro passeggeri e degli equipaggi, degli aeroporti, delle installazioni e dei servizi di navigazione aerea, nonché qualsiasi altra minaccia per la sicurezza dell’aviazione civile.

3.  Nei loro rapporti reciproci, le Parti si conformano alle disposizioni relative alla sicurezza dell’aviazione stabilite dall’Organizzazione dell’aviazione civile internazionale e designate come Allegati alla Convenzione, per quanto queste disposizioni e condizioni si applichino ad entrambe le Parti.

4.  Le Parti esigono che gli esercenti o i detentori degli aeromobili immatricolati nei loro propri registri o che hanno la sede principale delle loro attività o la loro residenza permanente sul loro territorio, nonché gli esercenti di aeroporti situati sul loro territorio, si conformino a dette disposizioni concernenti la sicurezza dell’aviazione.

5.  Ciascuna Parte conviene che tali esercenti siano invitati a osservare le disposizioni contenute nei paragrafi 3 e 4 del presente articolo concernenti la sicurezza dell’aviazione che l’altra Parte esige per l’entrata, l’uscita o il soggiorno sul territorio di quest’altra Parte. Ciascuna Parte provvede affinché vengano applicati in modo efficace sul suo territorio provvedimenti appropriati per proteggere gli aeromobili e per garantire l’ispezione dei passeggeri, degli equipaggi, dei bagagli a mano, dei bagagli, delle merci e delle provviste di bordo, prima e dopo l’imbarco o il carico. Ciascuna Parte esamina inoltre con spirito favorevole qualsiasi richiesta dell’altra Parte di prendere ragionevoli misure di sicurezza speciali per fronteggiare una particolare minaccia.

6.  In caso di incidente o minaccia di incidente, di cattura illecita di aeromobili civili o di altri atti illeciti diretti contro la sicurezza di detti aeromobili, dei loro passeggeri e equipaggi, degli aeroporti o delle attrezzature e dei servizi di navigazione aerea, le Parti si aiutano facilitando la comunicazione e altri provvedimenti appropriati per porre fine con rapidità e sicurezza a un simile incidente o al pericolo di un simile incidente con il minor rischio possibile per le vite umane.

7.  Se una Parte ha ragionevoli motivi di credere che l’altra deroghi alle disposizioni di sicurezza del presente articolo, le autorità aeronautiche della prima Parte possono domandare consultazioni immediate con le autorità aeronautiche dell’altra Parte. Se non si giunge ad un accordo soddisfacente entro quindici (15) giorni dal momento dell’inoltro della richiesta, è dato un motivo per applicare il paragrafo 4 dell’articolo 2 (Designazione, autorizzazione e revoca) del presente Accordo. Se una situazione di emergenza lo richiede, la Parte può adottare misure secondo il paragrafo 4 articolo 2 del presente Accordo (Designazione, autorizzazione e revoca) prima del decorrere dei quindici (15) giorni. Tutte le misure adottate conformemente a questo paragrafo sono abrogate non appena l’altra Parte soddisfa le disposizioni di sicurezza di questo articolo.

8.  Le autorità aeronautiche di una Parte possono richiedere immediatamente consultazioni sulla sicurezza aerea presso le autorità aeronautiche dell’altra Parte.

Art. 6 Sûreté de l’aviation

1.  Conformément à leurs droits et obligations en vertu du droit international, les Parties contractantes réaffirment que leur obligation de protéger l’aviation civile contre les actes d’intervention illicite, pour en assurer la sûreté, fait partie intégrante du présent Accord. Sans limiter la généralité de leurs droits et obligations en vertu du droit international, les Parties contractantes agissent en particulier conformément aux dispositions de la Convention relative aux infractions et à certains autres actes survenant à bord des aéronefs3, ouverte à la signature à Tokyo le 14 septembre 1963, de la Convention pour la répression de la capture illicite d’aéronefs4, ouverte à la signature à La Haye le 16 décembre 1970, de la Convention pour la répression d’actes illicites dirigés contre la sécurité de l’aviation civile5, ouverte à la signature à Montréal le 23 septembre 1971, du Protocole additionnel pour la répression des actes illicites de violence dans les aéroports servant à l’aviation civile internationale6, signé à Montréal le 24 février 1988 et de tout autre accord multilatéral relatif à la sûreté de l’aviation contraignant pour les Parties contractantes.

2.  Les Parties contractantes s’accordent mutuellement, sur demande, toute l’assistance nécessaire pour prévenir les actes de capture illicites d’aéronefs civils et autres actes illicites dirigés contre la sécurité de ces aéronefs, de leurs passagers et de leurs équipages, des aéroports et des installations de navigation aérienne, ainsi que toute autre menace pour la sûreté de l’aviation civile.

3.  Les Parties contractantes, dans leurs rapports mutuels, se conforment aux dispositions relatives à la sûreté de l’aviation établies par l’Organisation de l’aviation civile internationale et établies dans les Annexes à la Convention, dans la mesure où ces dispositions de sûreté et les exigences s’appliquent aux Parties contractantes.

4.  Les Parties contractantes exigent des exploitants d’aéronefs immatriculés par elles, ou des exploitants d’aéronefs qui on le siège principal de leur exploitation ou leur résidence permanente sur leur territoire, et des exploitants d’aéroports situés sur leur territoire, qu’ils se conforment à ces dispositions relatives à la sûreté de l’aviation.

5.  Chaque Partie contractante convient que ces exploitants d’aéronefs peuvent être tenus d’observer les dispositions relatives à la sûreté de l’aviation dont il est question aux par. 3 et 4 du présent article et que l’autre Partie contractante prescrit pour l’arrivée, le départ ou le séjour sur le territoire de cette autre Partie contractante. Chaque Partie contractante veille à ce que des mesures adéquates soient appliquées efficacement sur son territoire pour protéger les aéronefs et pour assurer l’inspection des passagers, des membres d’équipage, des bagages à main, des bagages, du fret et des provisions de bord, avant et pendant l’embarquement ou le chargement. Chaque Partie contractante examine aussi favorablement toute demande que lui adresse l’autre Partie contractante en vue d’obtenir que des mesures spéciales de sûreté raisonnables soient prises pour faire face à une menace particulière.

6.  En cas d’incident ou de menace d’incident de capture illicite d’aéronefs civils ou d’autres actes illicites dirigés contre la sécurité de ces aéronefs, de leurs passagers et de leurs équipages, des aéroports ou des installations de navigation aérienne, les Parties contractantes s’entraident en facilitant les communications et autres mesures appropriées, destinées à mettre fin avec rapidité et au moindre risque en vie humaine à cet incident ou à cette menace d’incident.

7.  Lorsqu’une Partie contractante a des motifs raisonnables de croire que l’autre Partie contractante déroge aux dispositions du présent article, les autorités aéronautiques de la première Partie contractante peuvent demander l’engagement immédiat de négociations avec les autorités aéronautiques de l’autre Partie contractante. L’incapacité de parvenir à une entente satisfaisante sur les questions relatives à la sécurité des vols dans une délai de quinze (15) jours justifiera l’application du par. 4 de l’art. 2 du présent Accord (Désignation, autorisation et révocation). Si l’urgence le justifie, une Partie contractante pourra agir en application du par. 4 de l’art. 2 (Désignation, autorisation et révocation) avant l’expiration du délai de quinze (15) jours. Toute mesure appliquée par une Partie contractante en conformité avec le présent chiffre sera rapportée dès que l’autre Partie contractante se sera conformé aux dispositions relatives à la sûreté contenues dans le présent article.

8.  S’agissant de la sûreté de l’aviation, les autorités aéronautiques de l’une ou de l’autre Partie contractante peuvent demander des consultations immédiates avec les autorités aéronautiques de l’autre Partie contractante.

 

Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.