Diritto internazionale 0.6 Finanze 0.67 Doppia imposizione
Droit international 0.6 Finances 0.67 Double imposition

0.672.974.31 Convenzione del 4 dicembre 1995 tra il Consiglio federale svizzero e il Governo della Repubblica Ceca per evitare le doppie imposizioni in materia di imposte sul reddito e sul patrimonio (con Protocollo)

0.672.974.31 Convention du 4 décembre 1995 entre le Conseil fédéral suisse et le gouvernement de la République tchèque en vue d'éviter les doubles impositions en matière d'impôts sur le revenu et sur la fortune (avec prot.)

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Art. 24 Non discriminazione

1.  I cittadini di uno Stato contraente non sono assoggettati nell’altro Stato contraente ad alcuna imposizione o ad alcun obbligo ad essa relativo, diversi o più onerosi di quelli cui sono o potranno essere assoggettati i cittadini di detto altro Stato che si trovino nella stessa situazione, in particolare in relazione alla residenza. La presente disposizione si applica altresì, nonostante le disposizioni dell’articolo 1, alle persone che non sono residenti di uno o di entrambi gli Stati contraenti.

2. L’imposizione di una stabile organizzazione che un’impresa di uno Stato contraente possiede nell’altro Stato contraente o di una base fissa della quale un residente di uno Stato contraente dispone nell’altro Stato contraente non può essere in questo altro Stato meno favorevole dell’imposizione a carico delle imprese di detto altro Stato che svolgono la medesima attività.16 La presente disposizione non può essere interpretata nel senso che faccia obbligo a uno Stato contraente di accordare ai residenti dell’altro Stato contraente le deduzioni personali, le esenzioni e le deduzioni d’imposta che esso accorda ai propri residenti in relazione alla loro situazione o ai loro carichi di famiglia.

3.  Fatta salva l’applicazione delle disposizioni del paragrafo 1 dell’articolo 9, del paragrafo 5 dell’articolo 1117 o del paragrafo 6 dell’articolo 12, gli interessi, i canoni ed altre spese pagati da un’impresa di uno Stato contraente ad un residente dell’altro Stato contraente sono deducibili ai fini della determinazione degli utili imponibili di detta impresa, nelle stesse condizioni in cui sarebbero deducibili se fossero pagati ad un residente del primo Stato. Allo stesso modo, i debiti di un’impresa di uno Stato contraente nei confronti di un residente dell’altro Stato contraente sono deducibili, ai fini della determinazione del patrimonio imponibile di tale impresa, nelle stesse condizioni in cui sarebbero deducibili se fossero contratti nei confronti di un residente del primo Stato.

4.  Le imprese di uno Stato contraente, il cui capitale è, in tutto o in parte, direttamente o indirettamente, posseduto o controllato da uno o più residenti dell’altro Stato contraente, non sono assoggettate nel primo Stato contraente ad alcuna imposizione o ad alcun obbligo ad essa relativo, diversi o più onerosi di quelli cui sono o potranno essere assoggettate le altre imprese della stessa natura del primo Stato.

5.  Le disposizioni del presente articolo si applicano, nonostante le disposizioni dell’articolo 2, alle imposte di ogni natura o denominazione.

6.  I contributi pagati da o per conto di una persona che esercita un’attività dipendente in uno Stato contraente, a un’istituzione di previdenza istituita e riconosciuta ai fini fiscali nell’altro Stato contraente, sono trattati, per la determinazione dell’imposta dovuta da tale persona fisica in questo primo Stato menzionato e per la determinazione degli utili aziendali ivi imponibili, secondo le stesse condizioni e limitazioni dei contributi pagati a un’istituzione di previdenza riconosciuta ai fini fiscali nel primo Stato contraente, se:

a)
la persona fisica non era residente di questo Stato immediatamente prima di iniziarvi la sua attività e già allora era affiliata a questa istituzione di previdenza; e
b)
l’autorità competente di questo Stato ha constatato che l’istituzione di previdenza corrisponde in linea di principio a un’istituzione di previdenza del primo Stato menzionato riconosciuta ai fini fiscali.18

7.  Ai fini del paragrafo 6:

a)
l’espressione «istituzione di previdenza» designa un’istituzione presso cui una persona fisica è affiliata al fine di beneficiare delle prestazioni di previdenza; e
b)
un’istituzione di previdenza è riconosciuta fiscalmente in uno Stato contraente se i contributi versati a tale istituzione permettono di beneficiare di un’agevolazione fiscale in detto Stato.19

16 Nuovo testo giusta l’art. IX cpv. 1 del Prot. dell’11 set. 2012, approvato dall’AF il 21 giu. 2013 ed in vigore dall’11 ott. 2013 (RU 2013 3605 3603; FF 2012 8407).

17 Nuova espr. giusta l’art. IX cpv. 2 del Prot. dell’11 set. 2012, approvato dall’AF il 21 giu. 2013 ed in vigore dall’11 ott. 2013 (RU 2013 3605 3603; FF 2012 8407).

18 Introdotto dall’art. IX cpv. 3 del Prot. dell’11 set. 2012, approvato dall’AF il 21 giu. 2013 ed in vigore dall’11 ott. 2013 (RU 2013 3605 3603; FF 2012 8407).

19 Introdotto dall’art. IX cpv. 3 del Prot. dell’11 set. 2012, approvato dall’AF il 21 giu. 2013 ed in vigore dall’11 ott. 2013 (RU 2013 3605 3603; FF 2012 8407).

Art. 24 Non-discrimination

1.  Les nationaux d’un État contractant ne sont soumis dans l’autre État contractant à aucune imposition ou obligation y relative, qui est autre ou plus lourde que celles auxquelles sont ou pourront être assujettis les nationaux de cet autre État qui se trouvent dans la même situation, notamment au regard de la résidence. La présente disposition s’applique aussi, nonobstant les dispositions de l’art. 1, aux personnes qui ne sont pas des résidents d’un État contractant ou des deux États contractants.

2. L’imposition d’un établissement stable qu’une entreprise d’un État contractant a dans l’autre État contractant ou d’une base fixe dont dispose un résident d’un État contractant dans l’autre État contractant n’est pas établie dans cet autre État d’une façon moins favorable que l’imposition des entreprises de cet autre État qui exercent la même activité.16 La présente disposition ne peut être interprétée comme obligeant un État contractant à accorder aux résidents de l’autre État contractant les déductions personnelles, abattements et réductions d’impôt en fonction de la situation ou des charges de famille qu’il accorde à ses propres résidents.

3.  À moins que les dispositions du par. 1 de l’art. 9, du par. 5 de l’art. 11 ou du par. 6 de l’art. 1217 ne soient applicables, les intérêts, redevances et autres dépenses payés par une entreprise d’un État contractant à un résident de l’autre État contractant sont déductibles, pour la détermination des bénéfices imposables de cette entreprise, dans les mêmes conditions que s’ils avaient été payés à un résident du premier État. De même, les dettes d’une entreprise d’un État contractant envers un résident de l’autre État contractant sont déductibles, pour la détermination de la fortune imposable de cette entreprise, dans les mêmes conditions que si elles avaient été contractées envers un résident du premier État.

4.  Les entreprises d’un État contractant, dont le capital est en totalité ou en partie, directement ou indirectement, détenu ou contrôlé par un ou plusieurs résidents de l’autre État contractant, ne sont soumises dans le premier État à aucune imposition ou obligation y relative, qui est autre ou plus lourde que celles auxquelles sont ou pourront être assujetties les autres entreprises similaires du premier État.

5.  Les dispositions du présent article s’appliquent, nonobstant les dispositions de l’art. 2, aux impôts de toute nature ou dénomination.

6.18  Les cotisations qu’une personne physique qui exerce un emploi salarié dans un État contractant verse à une institution de prévoyance établie et reconnue aux fins de l’imposition dans l’autre État contractant, ou qui sont versées à une telle institution pour son compte, doivent être traitées selon les mêmes conditions et limitations, pour déterminer l’impôt dû par cette personne physique dans le premier État contractant et les bénéfices des entreprises qui y sont imposables, que les cotisations versées à une institution de prévoyance reconnue aux fins de l’imposition dans le premier État contractant, à condition que:

a)
ladite personne physique n’était pas un résident de cet État et a été affiliée à l’institution de prévoyance immédiatement avant le début de son activité dans cet État, et
b)
l’institution de prévoyance soit acceptée par l’autorité compétente de cet État comme correspondant de façon générale à une institution de prévoyance reconnue comme tel aux fins d’imposition dans cet État.

7.19  Aux fins du par. 6:

a)
l’expression «institution de prévoyance» désigne un plan auquel la personne physique participe afin de bénéficier de prestations de vieillesse, et
b)
une institution de prévoyance est reconnue aux fins de l’imposition dans un État lorsque les cotisations versées à cette institution donneraient droit à un allégement fiscal dans cet État.

16 Nouvelle teneur selon l’art. IX par. 1 du Prot. du 11 sept. 2012, approuvé par l’Ass. féd. le 21 juin 2013, en vigueur depuis le 11 oct. 2013 (RO 2013 3605 3603; FF 2012 8861).

17 Nouvelle teneur des références selon l’art. IX par. 2 du Prot. du 11 sept. 2012, approuvé par l’Ass. féd. le 21 juin 2013, en vigueur depuis le 11 oct. 2013 (RO 2013 3605 3603; FF 2012 8861).

18 Introduit par l’art. IX par. 3 du Prot. du 11 sept. 2012, approuvé par l’Ass. féd. le 21 juin 2013, en vigueur depuis le 11 oct. 2013 (RO 2013 3605 3603; FF 2012 8861).

19 Introduit par l’art. IX par. 3 du Prot. du 11 sept. 2012, approuvé par l’Ass. féd. le 21 juin 2013, en vigueur depuis le 11 oct. 2013 (RO 2013 3605 3603; FF 2012 8861).

 

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