Gli attinenti dei paesi che non ammettono il principio dell’estradizione dei loro propri cittadini, che rientrano in patria dopo essersi resi colpevoli dei fatti indicati nell’articolo 3, devono essere puniti come se il fatto fosse stato commesso nel loro paese di origine, e ciò anche nel caso in cui il colpevole avesse acquistato la sua nazionalità dopo aver commesso l’infrazione.5
Questa disposizione non è applicabile qualora, in analoghe circostanze, non si possa accordare l’estradizione di uno straniero.
Dans les pays qui n’admettent pas le principe de l’extradition des nationaux, leurs ressortissants qui sont rentrés sur les territoires de leur pays, après s’être rendus coupables à l’étranger de faits prévus par l’art. 3, doivent être punis de la même manière que si le fait avait été commis sur leur territoire, et cela même dans le cas où le coupable aurait acquis sa nationalité postérieurement à l’accomplissement de l’infraction.4
Cette disposition n’est pas applicable si, dans un cas semblable, l’extradition d’un étranger ne pouvait pas être accordée.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.