1. La domanda di riammissione deve essere presentata all’autorità competente dello Stato richiesto entro sei mesi al massimo dalla data in cui l’autorità competente dello Stato richiedente è venuta a conoscenza del fatto che una persona non soddisfa o non soddisfa più le condizioni per l’entrata o il soggiorno nel suo territorio.
Qualora, a causa di ostacoli giuridici o effettivi, non sia possibile presentare in tempo la domanda, il termine è prorogato, su istanza dello Stato richiedente, fintanto che sussistono gli ostacoli.
2. Alla domanda di riammissione è data risposta scritta entro un termine ragionevole, in ogni caso entro un massimo di 30 giorni di calendario. Qualora, a causa di ostacoli giuridici o effettivi, non sia possibile rispondere in tempo utile, il termine è prorogato, su istanza debitamente motivata, fino a un massimo di 60 giorni di calendario.
Il termine decorre dalla data di ricevimento della domanda di riammissione. Se non è data risposta nei termini prescritti, il trasferimento si considera accettato.
La risposta alla domanda di riammissione può essere presentata tramite qualsiasi canale di comunicazione, anche elettronico, quale fax o messaggio di posta elettronica criptato.
3. Autorizzata la riammissione o, se del caso, scaduti i termini di cui al paragrafo 2, l’interessato è trasferito entro tre mesi. Su istanza dello Stato richiedente, questo termine può essere prorogato per il tempo necessario a sormontare gli ostacoli giuridici o pratici.
4. Il rigetto di una domanda di riammissione deve essere motivato per scritto.
1. La demande de réadmission doit être présentée à l’autorité compétente de l’État requis au plus tard six mois après que l’autorité compétente de l’État requérant a eu connaissance du fait qu’une personne ne remplissait pas, ou ne remplissait plus, les conditions d’entrée ou de séjour sur son territoire.
Lorsque des obstacles factuels ou juridiques s’opposent à ce que la demande soit présentée en temps voulu, le délai est prolongé, à la demande de l’État requérant, mais seulement jusqu’à ce que ces obstacles cessent d’exister.
2. La réponse à la demande de réadmission doit être fournie par écrit dans un délai raisonnable, et en tout état de cause au plus tard dans les 30 jours calendaires. Lorsque des obstacles factuels ou juridiques s’opposent à ce qu’il soit répondu à la demande en temps voulu, le délai peut, sur demande dûment motivée, être porté à 60 jours calendaires.
Le délai commence à courir à la date de confirmation de la réception de la demande de réadmission. En l’absence de réponse dans le délai fixé, le transfert est réputé approuvé.
La réponse à une demande de réadmission peut être transmise par tout moyen de communication, y compris par voie électronique, par exemple par télécopie ou par courrier électronique sécurisé.
3. Après approbation du transfert ou, le cas échéant, à l’expiration du délai mentionné au par. 2 du présent article, l’intéressé est transféré dans les trois mois. À la demande de l’État requérant, ce délai peut être prolongé aussi longtemps que les obstacles d’ordre juridique ou pratique l’exigent.
4. Le rejet d’une demande de réadmission doit être motivé par écrit.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.