(1) Les ressortissants hongrois qui sont soumis à l’obligation de cotiser à l’assurance-vieillesse, survivants et invalidité suisse au moment où survient l’invalidité ont droit aux mesures de réadaptation aussi longtemps qu’ils séjournent en Suisse. L’art. 14, let. a, est applicable par analogie.
(2) Les ressortissants hongrois qui, au moment où survient l’invalidité, ne sont pas soumis à l’obligation de cotiser à l’assurance-vieillesse, survivants et invalidité suisse, mais qui y sont assurés, ont droit aux mesures de réadaptation aussi longtemps qu’ils conservent leur domicile en Suisse si, immédiatement avant le moment où est survenue l’invalidité, ils ont résidé en Suisse de manière ininterrompue pendant une année au moins. Les enfants mineurs ont en outre droit à de telles mesures lorsqu’ils ont leur domicile en Suisse et y sont nés invalides ou y ont résidé de manière ininterrompue depuis leur naissance.
(3) Les ressortissants hongrois résidant en Suisse qui quittent ce pays pour une durée n’excédant pas trois mois n’interrompent pas leur résidence en Suisse au sens du par. 2.
(4) Les enfants nés invalides en Hongrie dont la mère a séjourné pendant une période totale de deux mois au plus en Hongrie avant la naissance sont assimilés aux enfants nés invalides en Suisse. En cas d’infirmité congénitale de l’enfant, l’assurance-invalidité suisse prend à sa charge les prestations fournies pendant les trois premiers mois après la naissance en Hongrie, dans la mesure où elle aurait été tenue d’accorder de telles prestations en Suisse.
(5) Le par. 4 est applicable par analogie aux enfants nés invalides en dehors du territoire des Parties contractantes; dans ce cas, l’assurance-invalidité suisse ne prend toutefois à sa charge les prestations à l’étranger que si elles doivent y être accordées d’urgence en raison de l’état de santé de l’enfant.
(1) I cittadini ungheresi che, all’insorgenza dell’invalidità, sono sottoposti all’obbligo contributivo nell’assicurazione federale per la vecchiaia, i superstiti e l’invalidità, hanno diritto ai provvedimenti d’integrazione fintanto che dimorano in Svizzera. L’articolo 14 lettera a si applica per analogia.
(2) I cittadini ungheresi che, all’insorgenza dell’invalidità, non sono sottoposti all’obbligo contributivo nell’assicurazione federale per la vecchiaia, i superstiti e l’invalidità, ma vi sono assicurati, hanno diritto ai provvedimenti d’integrazione fintanto che sono domiciliati in Svizzera se, immediatamente prima dell’insorgere dell’invalidità, hanno risieduto in Svizzera ininterrottamente per almeno un anno. I figli minorenni possono inoltre pretendere tali provvedimenti qualora siano domiciliati in Svizzera e vi siano nati invalidi o vi abbiano risieduto ininterrottamente dalla nascita.
(3) I cittadini ungheresi residenti in Svizzera che lasciano la Svizzera per un periodo non superiore a tre mesi non interrompono la loro durata di residenza in Svizzera ai sensi del paragrafo 2.
(4) I figli nati invalidi in Ungheria e la cui madre non abbia soggiornato in Ungheria per più di due mesi prima della nascita sono assimilati ai bambini nati invalidi in Svizzera. In caso d’infermità congenita del bambino, l’assicurazione federale per l’invalidità si assume i costi per le prestazioni fornite in Ungheria per una durata di tre mesi dopo la nascita fino all’importo che avrebbe dovuto concedere in Svizzera.
(5) Il paragrafo 4 si applica per analogia ai bambini nati al di fuori del territorio delle Parti contraenti; in questo caso l’assicurazione federale per l’invalidità assume i costi delle prestazioni fornite all’estero solo se devono essere concesse d’urgenza a causa delle condizioni di salute del bambino.
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