1. Lorsque le batelier rhénan victime d’une maladie professionnelle a exercé une activité susceptible de provoquer cette maladie sous la législation de deux ou plusieurs Parties contractantes, les prestations auxquelles cette victime ou ses survivants peuvent prétendre sont accordées exclusivement au titre de la législation de la dernière desdites Parties aux conditions de laquelle ils satisfont, compte tenu, le cas échéant, des dispositions des par. 2, 3 et 4 du présent article.
2. Si la législation d’une Partie contractante subordonne le bénéfice des prestations de maladie professionnelle à la condition que la maladie considérée ait été constatée médicalement pour la première fois sur son territoire, cette condition est réputée remplie lorsque cette maladie a été constatée pour la première fois sur le territoire d’une autre Partie contractante.
3. Si la législation d’une Partie contractante subordonne explicitement ou implicitement le bénéfice des prestations de maladie professionnelle à la condition que la maladie considérée ait été constatée dans un délai déterminé après la cessation de la dernière activité susceptible de provoquer une telle maladie, l’institution compétente de cette Partie, lorsqu’elle examine à quel moment a été exercée cette dernière activité, tient compte, dans la mesure nécessaire, des activités de même nature exercées sous la législation de toute autre Partie contractante, comme si elles avaient été exercées sous la législation de la première Partie.
4. Si la législation d’une Partie contractante subordonne explicitement ou implicitement le bénéfice des prestations de maladie professionnelle à la condition qu’une activité susceptible de provoquer la maladie considérée ait été exercée pendant une certaine durée, l’institution compétente de cette Partie tient compte, dans la mesure nécessaire, aux fins de totalisation, des périodes pendant lesquelles une telle activité a été exercée sous la législation de toute autre Partie contractante.
1. Se il battelliere del Reno, vittima di una malattia professionale, ha esercitato un’attività che poteva provocarla a norma della legislazione di due o più Parti Contraenti, le prestazioni rivendicabili dalla vittima o dai superstiti sono concesse esclusivamente a titolo della legislazione dell’ultima Parte di cui essi soddisfacevano le condizioni, tenendo eventualmente conto dei paragrafi 2, 3 e 4 del presente articolo.
2. Se la legislazione di una Parte Contraente subordina il beneficio delle prestazioni di malattia professionale alla condizione che la malattia considerata sia stata constatata da un medico per la prima volta sul suo territorio, si considera che questa condizione è realizzata anche quando la malattia è stata constatata per la prima volta sul territorio di un’altra Parte Contraente.
3. Se la legislazione di una Parte Contraente subordina, esplicitamente o implicitamente, il beneficio delle prestazioni di malattia professionale alla condizione che la malattia sia stata constatata entro un certo termine dopo la cessazione dell’ultima attività che avrebbe potuto provocarla, l’istituto competente di questa Parte, che esamina quando questa attività è stata esercitata, deve tenere in debito conto anche le attività simili esercitate a norma della legislazione di un’altra Parte Contraente, come se fossero state effettuate a norma della legislazione della prima.
4. Se la legislazione di una Parte contraente, esplicitamente o implicitamente, subordina il beneficio delle prestazioni di malattia professionale alla condizione che sia stata esercitata per un certo tempo un’attività che può provocarla, l’istituto competente di questa Parte deve tenere in debito conto per la somma totale anche i periodi durante i quali quest’attività è stata svolta a norma della legislazione di un’altra Parte contraente.
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