1. Dans le cas où une partie contractante considérerait qu’un avantage résultant pour elle directement ou indirectement du présent Accord se trouve annulé ou compromis, ou que la réalisation de l’un des objectifs de l’Accord est compromise du fait
2. Dans le cas où un règlement n’interviendrait pas dans un délai raisonnable entre les parties contractantes intéressées ou dans le cas où la difficulté serait de celles qui sont visées à l’alinéa c du par. 1er du présent article, la question pourra être portée devant les parties contractantes. Ces dernières procéderont sans délai à une enquête au sujet de toute question dont elles seront ainsi saisies et, selon le cas, adresseront des recommandations aux parties contractantes qui, à leur avis, sont en cause, ou statueront sur la question. Les parties contractantes pourront, lorsqu’elles le jugeront necessaire, consulter des parties contractantes, le Conseil économique et social des Nations Unies et toute autre organisation intergouvernementale compétente. Si elles considèrent que les circonstances sont suffisamment graves pour justifier une telle mesure, elles pourront autoriser une ou plusieurs parties contractantes à suspendre, à l’égard de telle autre ou telles autres parties contractantes, l’application de toute concession ou autre obligation résultant de l’Accord général dont elles estimeront la suspension justifiée, compte tenu des circonstances. Si une telle concession ou autre obligation est effectivement suspendue à l’égard d’une partie contractante, il sera loisible à ladite partie contractante, dans un délai de soixante jours à compter de la mise en application de cette suspension, de notifier par écrit au Secrétaire exécutif des parties contractantes son intention de dénoncer l’Accord général; cette dénonciation prendra effet à l’expiration d’un délai de soixante jours à compter de celui où le Secrétaire exécutif des parties contractantes aura reçu ladite notification.
1. La Parte contraente la quale reputi annullato o messo in pericolo un vantaggio derivantele direttamente o indirettamente dal presente accordo, oppure reputi compromessa l’attuazione degli scopi cui il medesimo tende, per la cagione
2. Quando alle Parti contraenti non venisse fatto, in uno spazio di tempo ragionevole, di trovare un temperamento, oppure se si trattasse di una delle difficoltà considerate nelle lettera c del numero 1 del presente articolo, la questione potrà essere sottoposta alle Parti contraenti. Su ogni questione che fosse loro sottoposta, queste daranno subito principio a un’indagine e, secondo i casi, faranno raccomandazioni alle Parti contraenti delle quali, a loro giudizio, si tratta, oppure delibereranno sulla faccenda. Le Parti contraenti, quando stimino che occorra, potranno consultare con delle Parti contraenti, con il Consiglio economico e sociale delle Nazioni Unite e con qualsiasi altra organizzazione intergovernativa competente. Qualora reputino che lo stato delle cose sia tanto grave da giustificare il provvedimento, esse potranno dare facoltà a una, o a parecchie Parti contraenti, di sospendere rispetto ad altre Parti, secondo stimino che occorra, l’applicazione di qualunque concessione, od obbligo, risultante dall’accordo generale. Se una concessione o un obbligo siffatti venissero sospesi rispetto a un’altra Parte, questa avrà la facoltà di notificare per iscritto, nel termine di sessanta giorni a contare dall’attuazione della sospensione, al segretario esecutivo delle Parti contraenti il suo intendimento di disdire l’accordo generale; la disdetta avrà effetto sessanta giorni dopo quello in cui il detto segretario abbia ricevuto la notificazione.
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Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.