1. La personne condamnée peut présenter la demande de transfèrement directement à l’Etat récepteur, par le biais de sa représentation diplomatique ou consulaire, d’un représentant légal ou de membres de sa famille.
2. Le transfèrement peut être demandé par l’Etat de transfèrement ou par l’Etat récepteur. L’autorité compétente de l’Etat requérant transmet la demande à l’autorité compétente de l’État requis, laquelle y répond sans délai par voie diplomatique.
3. Toute demande de transfèrement et toute réponse doivent être formulées par écrit et transmises par voie diplomatique.
4. La demande indiquera notamment l’identité complète de la personne condamnée, son adresse actuelle dans l’Etat récepteur - concernant les citoyens cubains, la personne condamnée doit avoir son domicile sur le territoire national - ainsi que son lieu d’incarcération.
5. Pour prendre une décision, chacune des Parties tient compte de tous les éléments susceptibles de contribuer à la réadaptation sociale de la personne condamnée.
6. L’Etat requis doit informer l’Etat requérant, dans les plus brefs délais, de sa décision d’accepter ou de refuser le transfèrement demandé.
7. La personne condamnée doit être informée de l’évolution de son dossier, ainsi que de toute décision prise par l’un des deux Etats au sujet de son transfèrement.
1. Il condannato può presentare la domanda di trasferimento direttamente allo Stato ricevente, attraverso la rappresentanza diplomatica o consolare, un rappresentante legale o un membro della sua famiglia.
2. Il trasferimento può essere chiesto dallo Stato trasferente o dallo Stato ricevente. L’autorità competente dello Stato richiedente trasmette la domanda all’autorità competente dello Stato richiesto, che risponde senza indugio per via diplomatica.
3. Le domande di trasferimento e le risposte devono essere formulate per scritto e trasmesse per via diplomatica.
4. La domanda indica segnatamente l’identità completa del condannato, il suo indirizzo attuale nello Stato ricevente – per quanto concerne i cittadini cubani, il condannato deve essere domiciliato sul territorio nazionale – nonché il suo luogo di incarcerazione.
5. Per prendere una decisione, ogni Stato tiene conto di tutti gli elementi in grado di contribuire al reinserimento sociale del condannato.
6. Lo Stato richiesto deve informare senza indugio lo Stato richiedente della propria decisione di accettare o rifiutare il trasferimento chiesto.
7. Il condannato deve essere informato circa l’evoluzione del suo fascicolo come pure su qualsiasi decisione presa da uno dei due Stati in merito al suo trasferimento.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.