(1) Chaque partie contractante réadmet sur son territoire, à la demande de l’autre partie contractante et sans formalités, toute personne qui se trouve en séjour irrégulier sur le territoire de la partie contractante requérante s’il est établi ou présumé qu’elle possède la nationalité de la partie contractante requise. La partie contractante requérante réadmet dans les mêmes conditions cette personne s’il apparaît par la suite qu’elle ne possédait pas la nationalité de la partie contractante requise au moment de sa sortie du territoire de la partie contractante requérante-
(2) Si la nationalité est seulement présumée, la partie requise peut refuser la réadmission si elle parvient, dans un délai de sept jours ouvrables; à conclure définitivement que la personne concernée, contrairement aux indices, ne possède pas sa nationalité et qu’elle en informe la partie requérante. Dans un tel cas, la réponse de la partie requise a caractère obligatoire.
(1) Ciascuna Parte contraente, su richiesta dell’altra Parte, riaccetta senza formalità speciale la persona che dimora illegalmente sul territorio nazionale della Parte richiedente, se è comprovabile o verosimile che questa persona possiede la cittadinanza della Parte richiesta. La Parte richiedente riaccetta la persona se risulta
successivamente che, al momento di lasciare il territorio nazionale della Parte
richiedente, questa persona non possedeva la cittadinanza della Parte richiesta.
(2) Se la cittadinanza è soltanto verosimile, la Parte richiesta può rifiutare la riaccettazione se entro 7 giorni feriali giunge definitivamente alla conclusione, e ne informa la Parte richiedente, che la persona in questione, contrariamente agli indizi esistenti, non possiede la cittadinanza della Parte richiesta. In tal caso la risposta della Parte richiesta è vincolante.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.