1. Les signataires reconnaissent que des subventions autres que les subventions à l’exportation constituent d’importants instruments, largement utilisés afin de poursuivre des objectifs de politique sociale et économique, et ils n’entendent pas restreindre le droit des signataires de recourir à de telles subventions pour atteindre ces objectifs et d’autres objectifs importants de politique qu’ils jugent souhaitables. Les signataires notent que ces objectifs sont entre autres les suivants:
2. Les signataires reconnaissent toutefois que les subventions autres que les subventions à l’exportation, dont certains objectifs et formes possibles sont décrits respectivement aux par. 1 et 3 du présent article, peuvent causer ou menacer de causer un préjudice à une branche de production nationale d’un autre signataire ou un préjudice sérieux aux intérêts d’un autre signataire, ou annuler ou compromettre des avantages résultant de l’Accord général pour un autre signataire, en particulier lorsqu’elles influeraient défavorablement sur les conditions de concurrence normale. En conséquence, les signataires s’efforceront d’éviter de causer de tels effets en usant de subventions. En particulier, lorsqu’ils élaboreront leurs politiques et pratiques en la matière, non seulement les signataires évalueront les objectifs essentiels à atteindre sur le plan interne, mais encore pèseront autant que faire se pourra, en tenant compte des particularités de chaque cas, les effets défavorables qui pourraient en résulter pour le commerce. Ils prendront également en considération la situation mondiale du commerce, de la production (par exemple prix, utilisation des capacités, etc.) et de l’offre du produit en question.
3. Les signataires reconnaissent que les objectifs mentionnés au par. 1 ci-dessus peuvent être atteints, notamment, par le moyen de subventions accordées en vue de conférer un avantage à certaines entreprises. Ces subventions peuvent revêtir différentes formes, par exemple: financement par les autorités publiques d’entreprises commerciales, y compris sous la forme de dons, prêts ou garanties; fourniture par les autorités publiques, ou financement par ces autorités, de services publics, de distribution d’approvisionnements et autres services ou moyens matériels d’exploitation ou d’infrastructure; financement par les autorités publiques de programmes de recherche et développement; incitations fiscales; souscription ou participation des autorités publiques au capital social.
Les signataires notent que les formes de subvention susmentionnées sont normalement accordées par région ou par secteur. La liste ci-dessus de ces formes est exemplative et non exahustive; elle comprend les subventions qu’accordent actuellement un certain nombre de signataires du présent accord.
Les signataires reconnaissent néanmoins que la liste ci-dessus des formes de subvention devrait faire l’objet d’un examen périodique et qu’il conviendrait de procéder à cet examen par voie de consultations, conformément à l’esprit de l’art. XVI, par. 5, de l’Accord général.
4. Les signataires reconnaissent en outre que, sans préjudice des droits qui découlent pour eux du présent accord, aucune des dispositions des par. 1 à 3 ci-dessus, ni en particulier la liste des formes de subvention, ne crée en soi une base en vue d’une action au titre de l’Accord général, tel qu’il est interprété par le présent accord.
1. Die Unterzeichner erkennen an, dass andere Subventionen als Ausfuhrsubventionen sehr häufig als wichtige Instrumente zur Förderung sozial‑ und wirtschaftspolitischer Ziele verwendet werden; sie beabsichtigen nicht, das Recht der Unterzeichner. solche Subventionen zur Erreichung dieser und anderer wichtiger, von ihnen als wünschenswert erachteter politischer Ziele zu gewähren, einzuschränken. Die Unterzeichner stellen fest, dass zu diesen Zielen gehören:
2. Die Unterzeichner erkennen jedoch an, dass andere Subventionen als Ausfuhrsubventionen, die hinsichtlich einiger Ziele und möglicher Formen in den Absätzen 1 bzw. 3 beschrieben sind, möglicherweise eine Schädigung eines inländischen Wirtschaftszweigs eines anderen Unterzeichners oder eine ernsthafte Schädigung der Interessen eines anderen Unterzeichners verursachen oder zu verursachen drohen oder die einem anderen Unterzeichner aus dem Allgemeinen Abkommen erwachsenden Vorteile zunichte machen oder schmälern, besonders wenn sich diese Subventionen auf den normalen Wettbewerb nachteilig auswirken. Die Unterzeichner bemühen sich daher zu vermeiden, dass durch die Gewährung von Subventionen solche Wirkungen verursacht werden. Insbesondere wägen die Unterzeichner bei der Festlegung ihrer Politiken und Praktiken auf diesem Gebiet nicht nur die wesentlichen internen Zielsetzungen, sondern, soweit durchführbar, unter Berücksichtigung des jeweiligen Falles auch die möglichen nachteiligen Auswirkungen auf den Handel ab. Sie ziehen ferner die Gegebenheiten des Welthandels, der Produktion (z. B. Preis, Kapazitätsauslastung usw.) und des Angebots der betreffenden Ware in Betracht.
3. Die Unterzeichner erkennen an, dass die in Absatz 1 genannten Ziele unter anderem durch Subventionen erreicht werden können, die gewährt werden, um bestimmten Unternehmen einen Vorteil zu verschaffen. Beispiele für mögliche Formen dieser Subventionen sind: staatliche Finanzierung von Handelsunternehmen, einschliesslich Zuschüsse, Darlehen oder Bürgschaften; vom Staat bereitgestellte oder finanzierte öffentliche Versorgungsdienste, Liefer- und Vertriebssysteme und andere operationelle Dienstleistungen; staatliche Finanzierung von Forschungs- und Entwicklungsprogrammen; steuerliche Anreize; staatliche Zeichnung oder Bereitstellung von Unternehmenskapital.
Die Unterzeichner stellen fest, dass die genannten möglichen Subventionsformen normalerweise regional oder sektoral gewährt werden. Die Aufzählung der möglichen Subventionsformen ist nur beispielhaft und nicht erschöpfend, sie gibt solche Subventionen wieder, die derzeit von einer Reihe von Unterzeichnern dieses Übereinkommens gewährt werden.
Die Unterzeichner erkennen dennoch an, dass diese Aufzählung der möglichen Subventionsformen in regelmässigen Abständen überprüft werden sollte und diese Überprüfung durch Konsultationen im Geiste des Artikels XVI Absatz 5 des Allgemeinen Abkommens erfolgen sollte.
4. Die Unterzeichner erkennen ferner an, dass unbeschadet ihrer Rechte aus diesem Übereinkommen keine Bestimmung der Absätze 1 bis 3 noch insbesondere die Aufzählung der möglichen Subventionsformen für sich eine Grundlage für Massnahmen im Rahmen des Allgemeinen Abkommens in der Auslegung durch dieses Übereinkommen schafft.
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