1. Les agents d’une des Parties contractantes qui, dans leur pays, suivent une personne:
2. Au plus tard au moment du franchissement de la frontière, les agents poursuivants font appel aux services compétents de la Partie sur le territoire de laquelle la poursuite a lieu. La poursuite doit être arrêtée dès que la Partie sur le territoire de laquelle la poursuite doit avoir lieu le demande. A la demande des agents poursuivants, les services localement compétents appréhendent la personne poursuivie pour établir son identité ou procéder à son arrestation.
3. Les agents poursuivants ne disposent pas du droit d’interpellation.
4. La poursuite doit être communiquée, au plus tard au moment du franchissement de la frontière, aux centres communs qui avisent:
Les centres communs informent les services centraux nationaux des poursuites transfrontalières réalisées.
5. La poursuite peut s’exercer sans limitation dans l’espace et dans le temps.
6. Les agents poursuivants sont:
7. La poursuite ne peut s’exercer qu’aux conditions générales suivantes:
Pour le surplus, l’art. 12, par. 6, s’applique par analogie, à l’exception de la let. c.
8. Une personne qui, à l’issue de la poursuite, a été arrêtée par les services localement compétents, peut, quelle que soit sa nationalité, être retenue aux fins d’interrogatoire, dans les limites du droit de la Partie sur le territoire de laquelle l’arrestation a eu lieu. Si cette personne n’a pas la nationalité de la Partie sur le territoire de laquelle elle a été arrêtée, elle sera mise en liberté au plus tard six heures après l’arrestation, les heures entre minuit et neuf heures non comptées, à moins que les services localement compétents aient reçu, avant l’écoulement de ce délai, un avis annonçant une demande d’arrestation provisoire aux fins d’extradition sous quelque forme que ce soit.
9. La présente disposition s’applique au non-respect d’une injonction de s’arrêter émanant des agents visés à l’art. 1 du présent Accord et munis de leurs insignes de fonction, ainsi qu’aux passages de vive force dans la zone frontalière au sens de l’art. 2.
1. Beamte einer Vertragspartei, die in ihrem Land eine Person verfolgen,
2. Spätestens bei Grenzübertritt nehmen die nacheilenden Beamten Kontakt auf mit den zuständigen Dienststellen der Vertragspartei, in deren Hoheitsgebiet die Nacheile stattfindet. Die Nacheile ist einzustellen, sobald die Vertragspartei, in deren Hoheitsgebiet die Nacheile stattfinden soll, dies verlangt. Auf Ersuchen der nacheilenden Beamten ergreifen die örtlich zuständigen Dienststellen die verfolgte Person, um ihre Identität festzustellen oder die Verhaftung vorzunehmen.
3. Die nacheilenden Beamten haben kein Festhalterecht.
4. Die Nacheile muss spätestens beim Grenzübertritt den gemeinsamen Zentren mitgeteilt werden, die ihrerseits folgende Stellen benachrichtigen:
Die gemeinsamen Zentren informieren die nationalen Zentralstellen über die grenzüberschreitende Nacheile.
5. Die Nacheile kann ohne räumliche oder zeitliche Begrenzung ausgeübt werden.
6. Die nacheilenden Beamten sind:
7. Die Nacheile ist nur unter den folgenden allgemeinen Voraussetzungen zulässig:
Im Übrigen gilt Artikel 12 Absatz 6 mit Ausnahme von Buchstabe c sinngemäss.
8. Eine Person, die nach Beendigung einer Nacheile von den örtlich zuständigen Dienststellen festgenommen wird, kann ungeachtet ihrer Staatsangehörigkeit zum Zweck der Einvernahme festgehalten werden; es gelten diesbezüglich die Rechtsbestimmungen der Vertragspartei, in deren Hoheitsgebiet die Festnahme stattgefunden hat. Hat diese Person nicht die Staatsangehörigkeit der Vertragspartei, in deren Hoheitsgebiet sie festgenommen wurde, so wird sie spätestens sechs Stunden nach ihrer Festnahme freigelassen, wobei die Stunden zwischen Mitternacht und neun Uhr nicht mitzählen, es sei denn, die örtlich zuständigen Dienststellen erhalten eine Mitteilung, die – gleich in welcher Form – ein Ersuchen um vorläufige Festnahme zum Zweck der Auslieferung ankündigt.
9. Diese Bestimmung gilt auch bei Missachtung eines Haltebefehls eines gekennzeichneten Beamten nach Artikel 1 und bei gewaltsamer Durchfahrt im Grenzgebiet nach Artikel 2.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Dies ist keine amtliche Veröffentlichung. Massgebend ist allein die Veröffentlichung durch die Bundeskanzlei.