Droit international 0.1 Droit international public général 0.14 Nationalité. Établissement et séjour
Internationales Recht 0.1 Internationales Recht im Allgemeinen 0.14 Staatsangehörigkeit. Niederlassung und Aufenthalt

0.142.114.769 Accord du 24 mars 2016 entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de l'État du Koweït relatif à la réadmission de personnes en situation irrégulière (avec annexes)

0.142.114.769 Abkommen vom 24. März 2016 zwischen dem Schweizerischen Bundesrat und der Regierung des Staates Kuwait über die Rückübernahme von Personen mit unbefugtem Aufenthalt (mit Anhängen)

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Art. 4 Réadmission de ressortissants d’États tiers

1.  À la demande de l’État requérant et sans autres formalités que celles prévues dans le présent Accord, l’État requis réadmet sur son territoire toute personne qui ne remplit pas, ou ne remplit plus, les conditions d’entrée ou de séjour applicables sur le territoire de l’État requérant s’il est prouvé, ou peut être raisonnablement présumé sur la base des éléments de preuve fournis, conformément à l’art. 8 du présent Accord, que ladite personne:

(a)
possède, au moment du dépôt de la demande de réadmission, un visa ou un titre de séjour en cours de validité délivré par l’État requis ou en a possédé un par le passé;
(b)
est entrée illégalement et directement sur le territoire de l’État requérant après avoir transité par le territoire de l’État requis ou après y avoir séjourné.

2.  L’obligation de réadmission énoncée au par. 1 du présent article ne s’applique pas dans les cas suivants:

(a)
si le ressortissant d’un État tiers n’a effectué qu’un transit par un aéroport international de l’État requis;
(b)
si le ressortissant d’un État tiers est dispensé de l’obligation de visa pour entrer sur le territoire de l’État requis.

3.  Lorsque l’État requis a fait droit à la demande de réadmission ou, le cas échéant, à l’expiration des délais prévus à l’art. 9, par. 2, les autorités de l’État requis délivrent si nécessaire à la personne dont la réadmission a été acceptée, dans un délai de cinq jours ouvrables, le document de voyage national d’urgence requis pour son retour, d’une durée de validité de six mois.

4.  Si, pour des raisons juridiques ou factuelles, la personne à réadmettre ne peut pas être transférée au cours de la période de validité du document de voyage national d’urgence délivré initialement, les autorités de l’État requérant prolongent, dans un délai de cinq jours ouvrables, la validité du document ou, le cas échéant, en délivrent un nouveau sans autres formalités.

Art. 4 Rückübernahme Drittstaatsangehöriger

1.  Der ersuchte Staat rückübernimmt auf Ersuchen des ersuchenden Staates und ohne andere als die in diesem Abkommen vorgesehenen Förmlichkeiten alle Drittstaatsangehörigen in sein Hoheitsgebiet, die im Hoheitsgebiet des ersuchenden Staates die geltenden Voraussetzungen für Einreise oder Aufenthalt nicht oder nicht mehr erfüllen, sofern in Übereinstimmung mit Artikel 8 dieses Abkommens nachgewiesen oder durch vorgelegte Anscheinsbeweise glaubhaft gemacht wird, dass diese Personen:

(a)
zum Zeitpunkt der Übermittlung des Rückübernahmeantrags im Besitz eines vom ersuchten Staat ausgestellten gültigen Visums oder Aufenthaltstitels sind oder waren;
(b)
nach einem Aufenthalt im Hoheitsgebiet des ersuchten Staates oder einer Durchreise durch sein Hoheitsgebiet illegal und auf direktem Wege in das Hoheitsgebiet des ersuchenden Staates eingereist sind.

2.  Die Rückübernahmeverpflichtung nach Absatz 1 dieses Artikels gilt nicht, sofern:

(a)
der Drittstaatsangehörige nur im Transit über einen internationalen Flughafen des ersuchten Staates gereist ist; oder
(b)
dem Drittstaatsangehörigen visumfreier Zugang zum Hoheitsgebiet des ersuchenden Staats gewährt wurde.

3.  Nach Annahme des Rückübernahmegesuchs durch den ersuchten Staat, oder gegebenenfalls nach Ablauf der in Artikel 9 Absatz 2 festgelegten Fristen, stellen die Behörden des ersuchten Staates falls nötig innerhalb von fünf Arbeitstagen der Person, deren Rückübernahme akzeptiert worden ist, das für ihre Rückkehr erforderliche nationale Reisedokument mit einer Gültigkeitsdauer von sechs Monaten aus.

4.  Kann die betreffende Person aus rechtlichen oder tatsächlichen Gründen nicht innerhalb der Gültigkeitsdauer des ursprünglich ausgestellten nationalen Reisedokuments rückgeführt werden, verlängern die Behörden des ersuchten Staates innerhalb von fünf Arbeitstagen die Gültigkeitsdauer dieses Reisedokuments oder stellen falls nötig ohne Weiteres ein neues nationales Reisedokument mit gleicher Gültigkeitsdauer aus.

 

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Dies ist keine amtliche Veröffentlichung. Massgebend ist allein die Veröffentlichung durch die Bundeskanzlei.