1. Wenn der ersuchende Staat ausdrücklich verlangt, dass die Aussage einer Person durch Eid oder Wahrheitsversprechen bekräftigt wird, so entspricht der ersuchte Staat diesem Ersuchen auch dann, wenn sein Verfahrensrecht darüber keine Vorschriften hat. In diesem Fall richten sich Zeitpunkt und Form des Eides oder des Wahrheitsversprechens nach den im ersuchenden Staat geltenden Verfahrensvorschriften. Wo ein Eid mit dem geltenden Recht unvereinbar ist, kann er durch ein Wahrheitsversprechen ersetzt werden, auch wenn ein Eid verlangt worden ist; eine solche Aussage wird im ersuchenden Staat als beeidet behandelt.
2. Die Anwesenheit des Beschuldigten oder Angeklagten seines Rechtsbeistandes oder beider, bei der Ausführung eines Ersuchens wird gestattet, wenn es der ersuchende Staat verlangt.
4. Personen, deren Anwesenheit nach Absatz 2 oder 3 bewilligt ist, haben das Recht, gemäss den im ersuchten Staat geltenden Verfahrensvorschriften Fragen zu stellen, soweit diese nach dem Recht eines der beiden Staaten nicht unstatthaft sind.
5. Werden im ersuchten Staat Zeugenaussagen und Erklärungen nach den Verfahrensvorschriften des ersuchenden Staats verlangt, so sind Personen, welche solche Zeugenaussagen oder Erklärungen abgeben, berechtigt, sich während des Verfahrens verbeiständen zu lassen. Solche Personen sind zu Beginn des Verfahrens über ihr Recht auf einen Rechtsbeistand audrücklich zu belehren. Mit Bewilligung der Zentralstelle des ersuchenden Staats kann, wenn nötig, ein Beistand ernannt werden.
6. Verlangt der ersuchende Staat ausdrücklich die Aufnahme eines wörtlichen Protokolls, so wird sich die ausführende Behörde nach Kräften bemühen, diesem Verlangen zu entsprechen.
8 Siehe auch den Briefwechsel vom 23. Dez. 1975 auf Seite 39 hiernach.
1. Lorsque l’Etat requérant exige expressément qu’une personne confirme ses déclarations par serment ou par promesse de dire la vérité, l’Etat requis donne suite à cette demande, même si son droit de procédure ne contient aucune disposition à ce sujet. Dans ce cas, le moment et la forme du serment ou de la promesse sont régis par les dispositions de procédure en vigueur dans l’Etat requérant. Si le serment est incompatible avec le droit en vigueur, il peut être remplacé par la promesse de dire la vérité, quand bien même il aurait été demandé; dans l’Etat requérant, une telle déclaration est considérée comme faite sous serment.
2. A la demande de l’Etat requérant, l’inculpé ou l’accusé, son conseil, ou les deux sont autorisés à assister à l’exécution de la demande.
4. Les personnes dont la présence est autorisée, selon l’al. 2 ou 3, ont le droit de poser des questions conformément aux règles de procédure applicables dans l’Etat requis, pour autant que ces questions ne soient pas inadmissibles selon le droit de l’un des deux Etats.
5. Si un témoignage ou une déclaration doivent être recueillis dans l’Etat requis conformément aux règles de procédure de l’Etat requérant, le témoin ou le déclarant peuvent se faire assister pendant la procédure. Ces personnes sont expressément renseignées, au début de celle‑ci, sur leur droit de se pourvoir d’un conseil. Si nécessaire, un conseil est désigné d’office, pour autant que l’office central de l’Etat requérant l’autorise.
6. Si l’Etat requérant demande expressément un procès‑verbal littéral, l’autorité d’exécution s’efforcera, dans la mesure du possible, de donner suite à cette requête.
9 Voir aussi l’échange de lettres du 23 déc. 1975, publié ci‑après à la page 38.
Dies ist keine amtliche Veröffentlichung. Massgebend ist allein die Veröffentlichung durch die Bundeskanzlei.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.