1 Dopo l’escussione della fideiussione da parte del mutuante o il pagamento anticipato della fideiussione, l’organizzazione che concede fideiussioni, cui è trasferito il credito, adotta tutte le misure necessarie per recuperare l’importo versato al mutuante; in particolare:
2 Se è soddisfatta la condizione di cui all’articolo 7 capoverso 2, l’organizzazione che concede fideiussioni può postergare parzialmente o integralmente il credito anche dopo l’escussione della fideiussione da parte del mutuante o il pagamento anticipato della fideiussione.
3 Se ritiene che nel caso concreto la postergazione non sia utile al risanamento durevole del mutuatario, l’organizzazione che concede fideiussioni può, alle stesse condizioni, rinunciare parzialmente al proprio credito.
4 Nell’ambito di una procedura concordataria, su richiesta del mutuatario l’organizzazione che concede fideiussioni può partecipare alle spese per l’onorario del commissario (art. 293b e 295 della legge federale dell’11 aprile 188913 sulla esecuzione e sul fallimento) fino a un importo massimo di 100 000 franchi se in tal modo i rischi finanziari per la Confederazione non aumentano in maniera significativa.
5 Se l’esazione dei crediti appare priva di probabilità di successo o il dispendio amministrativo e le spese dell’organizzazione che concede fideiussioni risultano sproporzionati rispetto all’importo scoperto, l’organizzazione che concede fideiussioni può:
6 Al fine di uniformare la prassi delle organizzazioni che concedono fideiussioni o di tutelare gli interessi della Confederazione, il Consiglio federale può emanare disposizioni sulla gestione dei crediti trasferiti alle organizzazioni che concedono fideiussioni.
1 Après la sollicitation du cautionnement par le donneur de crédit ou le versement anticipé du cautionnement, l’organisation de cautionnement prend, lors de la gestion de la créance qui lui a été transférée, toutes les mesures nécessaires pour recouvrer le montant versé au donneur de crédit; en particulier:
2 L’organisation de cautionnement dispose, si la condition mentionnée à l’art. 7, al. 2, est remplie, de la possibilité de la postposition partielle ou totale de créance même après la sollicitation du cautionnement par le donneur de crédit ou le versement anticipé du cautionnement.
3 Si l’organisation de cautionnement considère cette postposition comme inappropriée dans un cas particulier pour un assainissement durable du preneur de crédit, elle peut abandonner partiellement sa créance à la même condition.
4 Dans une procédure concordataire, l’organisation de cautionnement peut, sur demande du preneur de crédit, participer aux frais pour les honoraires du commissaire (art. 293b et 295 de la loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite13) jusqu’à concurrence de 100 000 francs sauf s’il est probable que les risques financiers de la Confédération s’en trouveront augmentés de façon déterminante.
5 Si le recouvrement de créances semble voué à l’échec ou si les charges et les coûts assumés par l’organisation de cautionnement sont disproportionnés par rapport au montant litigieux, l’organisation de cautionnement peut:
6 Le Conseil fédéral peut édicter des prescriptions concernant la gestion des créances transférées aux organisations de cautionnement afin d’uniformiser la pratique des organisations de cautionnement ou de préserver les intérêts de la Confédération.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.