(1) Al fine di risolvere le controversie relative agli investimenti tra una Parte contraente e un investitore dell’altra Parte ed impregiudicato l’articolo 10 del presente Accordo (controversie tra Parti contraenti), le Parti interessate procederanno a consultazioni per risolvere il caso, per quanto possibile, in via bonaria.
(2) Se tali consultazioni non portano ad alcuna soluzione entro un termine di sei mesi a decorrere dalla domanda, l’investitore può sottoporre la controversia alla giurisdizione nazionale della Parte contraente sul cui territorio è stato effettuato l’investimento o all’arbitrato internazionale. In quest’ultimo caso può scegliere tra:
(3) Se l’investitore ha sottoposto la controversia alla giurisdizione nazionale, non può ricorrere ai tribunali arbitrali menzionati al capoverso (2) del presente articolo, a meno che, trascorsi 18 mesi, l’istanza nazionale competente non abbia ancora emesso una sentenza finale.
(4) Ciascuna Parte contraente si impegna nel presente Accordo a sottoporre a una procedura arbitrale internazionale le controversie relative a un investimento.
(5) La Parte contraente in causa non può in alcun momento della procedura eccepire la sua immunità o il fatto che l’investitore abbia ricevuto, in virtù di un contratto di assicurazione, un indennizzo a copertura totale o parziale del danno subito.
(6) Il tribunale arbitrale prende la sua decisione sulla base del presente Accordo e di altri accordi pertinenti tra le Parti contraenti, come pure delle disposizioni di eventuali accordi particolari relativi all’investimento in questione, del diritto della Parte contraente in causa, comprese le regole relative ai conflitti di norme come pure dei principi e delle regole del diritto internazionale che potrebbero essere applicabili.
(7) Le decisioni del tribunale sono definitive e vincolanti per le parti in causa nella controversia.
(1) Afin de trouver une solution aux différends relatifs à des investissements entre une Partie Contractante et un investisseur de l’autre Partie Contractante et sans préjudice de l’art. 10 du présent Accord (Différends entre Parties Contractantes), des consultations auront lieu entre les parties concernées en vue de résoudre le cas dans la mesure du possible à l’amiable.
(2) Si ces consultations n’apportent pas de solution dans un délai de six mois à compter de la date de la demande de consultations, l’investisseur peut soumettre le différend à la juridiction nationale de la Partie Contractante sur le territoire de laquelle l’investissement a été effectué, ou à l’arbitrage international. Dans ce dernier cas, l’investisseur peut choisir entre les options suivantes:
(3) Si l’investisseur a soumis le différend à la juridiction nationale, il ne peut pas recourir aux tribunaux arbitraux mentionnés à l’al. (2) de cet article, à moins que l’instance nationale compétente n’ait rendu de jugement final après une période de 18 mois.
(4) Chaque Partie Contractante s’engage dans le présent Accord à soumettre un différend relatif à un investissement à une procédure d’arbitrage international.
(5) La Partie Contractante qui est partie au différend ne peut, à aucun moment de la procédure, exciper de son immunité ou du fait que l’investisseur a reçu, en vertu d’un contrat d’assurance, une indemnité couvrant tout ou partie du dommage subi.
(6) Le tribunal arbitral prendra sa décision sur la base du présent Accord et d’autres accords pertinents entre les Parties Contractantes, des termes de tout accord particulier intervenu au sujet de l’investissement en question, du droit de la Partie Contractante partie au différend, y compris les règles relatives aux conflits de lois ainsi que des principes et des règles de droit international qui pourraient être applicables.
(7) Les décisions du tribunal sont définitives et obligatoires pour les parties au différend.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
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