(1) Per trovare una soluzione alle controversie tra una Parte contraente e un investitore dell’altra Parte contraente in merito agli investimenti, e lasciando impregiudicato l’articolo 12 del presente Accordo (Controversie tra le Parti contraenti), le parti interessate procedono a consultazioni.
(2) Se tali consultazioni non portano a una soluzione entro sei mesi dalla domanda scritta di consultazioni, l’investitore può sottoporre la controversia alla giurisdizione giudiziaria o amministrativa competente della Parte contraente sul cui territorio è stato effettuato l’investimento oppure all’arbitrato internazionale. In quest’ultimo caso l’investitore può scegliere tra:
(3) Ciascuna Parte contraente acconsente a sottoporre le controversie sugli investimenti all’arbitrato internazionale.
(4) Una controversia sottoposta alla giurisdizione competente della Parte contraente interessata, in conformità del paragrafo (2) del presente articolo, potrà essere sottoposta all’arbitrato internazionale solamente se l’investitore ha già ritirato la controversia alla detta giurisdizione.
(5) La Parte contraente che è parte in controversia non può, in nessun momento della procedura, eccepire la propria immunità o il fatto che l’investitore abbia ottenuto, in virtù di un contratto di assicurazione, un indennizzo a copertura totale o parziale del danno subito.
(6) Nessuna delle Parti contraenti ricorre alla via diplomatica per una controversia sottoposta all’arbitrato internazionale, salvo che l’altra Parte contraente rifiuti di conformarsi alla sentenza arbitrale.
(7) La sentenza arbitrale è definitiva e vincolante per le parti in controversia ed è eseguita senza ritardo conformemente alla legislazione della Parte contraente interessata.
(1) Afin de trouver une solution aux différends relatifs à des investissements entre une Partie contractante et un investisseur de l’autre Partie contractante, et sans préjudice de l’art. 12 du présent Accord (Différends entre les Parties contractantes), des consultations auront lieu entre les parties concernées.
(2) Si ces consultations n’apportent pas de solution dans les six mois à compter de la demande écrite de les engager, l’investisseur pourra soumettre le différend soit aux juridictions judiciaires ou administratives de la Partie contractante sur le territoire de laquelle l’investissement a été effectué, soit à l’arbitrage international. Dans ce dernier cas, l’investisseur aura le choix entre:
(3) Chaque Partie contractante donne son consentement à la soumission à l’arbitrage international de tout différend relatif à un investissement.
(4) Un différend porté, conformément à l’al. (2) du présent article, devant une juridiction compétente de la Partie contractante concernée ne pourra être soumis à l’arbitrage international que si l’investisseur a préalablement retiré l’affaire à ladite juridiction.
(5) La Partie contractante qui est partie au différend ne pourra, à aucun moment de la procédure, exciper de son immunité ou du fait que l’investisseur a reçu, en vertu d’un contrat d’assurance, une indemnité couvrant tout ou partie du dommage subi.
(6) Aucune Partie contractante ne poursuivra par la voie diplomatique un différend soumis à l’arbitrage international, à moins que l’autre Partie contractante ne se conforme pas à la sentence arbitrale.
(7) La sentence arbitrale sera définitive et obligatoire pour les parties au différend, et sera exécutée sans délai conformément à la législation de la Partie contractante concernée.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
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