(1) Per quanto possibile, qualsiasi controversia in merito agli investimenti ai sensi del presente Accordo tra una Parte contraente e un investitore dell’altra Parte contraente è composta in via amichevole tra le parti in causa. A tal fine le Parti interessate procedono a consultazioni.
(2) Se tali consultazioni non portano ad alcuna soluzione, la controversia può essere sottoposta alle giurisdizioni competenti della Parte contraente sul cui territorio è stato effettuato l’investimento.
(3) Se, entro diciotto mesi dalla notifica dell’avvio di una procedura davanti ai tribunali competenti, questi non avranno emesso una sentenza di ultima istanza, la controversia potrà essere sottoposta, su richiesta dell’investitore, a una delle procedure d’arbitrato previste nel paragrafo (5) del presente articolo.
(4) Dal momento in cui è stata avviata una procedura d’arbitrato, ogni parte in causa prende ogni provvedimento necessario alla sua desistenza dall’istanza giudiziaria in corso.
(5) In caso di ricorso all’arbitrato internazionale, la controversia è sottoposta, su richiesta dell’investitore, a uno dei seguenti organi arbitrali:
(6) La Parte contraente che è parte in causa non può, in nessun momento della procedura d’arbitrato, eccepire che l’investitore ha ottenuto, in virtù di un contratto di assicurazione o della garanzia prevista nell’articolo 8 del presente Accordo, un indennizzo a copertura totale o parziale del danno subìto.
(7) L’organo arbitrale si pronuncia sulla base delle disposizioni del presente Accordo e di altri accordi applicabili fra le Parti contraenti, dei termini degli accordi individuali stabiliti in merito all’investimento, del diritto della Parte contraente che è parte in causa – comprese le norme relative ai conflitti di leggi – nonché dei principi e delle disposizioni del diritto internazionale in materia.
(8) I lodi sono definitivi e vincolanti per le Parti in causa.
(1) Tout différend relatif aux investissements au sens du présent Accord entre un investisseur de l’une des Parties Contractantes et l’autre Partie Contractante sera, dans la mesure du possible, réglé à l’amiable entre les parties au différend. A cet effet, des consultations auront lieu entre les parties concernées.
(2) Si ces consultations n’apportent pas de solution, le différend pourra être soumis aux juridictions compétentes de la Partie Contractante sur le territoire de laquelle l’investissement a été effectué.
(3) Si, dans un délai de 18 mois dès la notification de l’engagement d’une procédure devant les tribunaux compétents, ceux-ci n’ont pas rendu un jugement de dernière instance, le différend pourra être soumis, à la requête de l’investisseur, à l’une des procédures d’arbitrage prévues à l’al. (5) du présent article.
(4) Dès l’introduction de l’une des procédures d’arbitrage, chaque partie au différend prendra toutes les mesures requises en vue de son désistement de l’instance judiciaire en cours.
(5) En cas de recours à l’arbitrage international, le différend pourra être soumis, à la requête de l’investisseur, à l’un des organes d’arbitrage désignés ci-après:
(6) Aucune des Parties Contractantes qui est partie à un différend ne peut, à aucun stade de la procédure d’arbitrage, exciper du fait que l’investisseur, a reçu, en vertu d’un contrat d’assurance ou de la garantie prévue à l’art. 8 du présent Accord, une indemnité couvrant tout ou partie du dommage subi.
(7) L’organe d’arbitrage statuera sur la base des dispositions du présent Accord et d’autres accords applicables entre les Parties Contractantes, des termes des accords particuliers intervenus au sujet de l’investissement, du droit de la Partie Contractante partie au différend – y compris les règles relatives aux conflits de lois –, ainsi que des principes et dispositions du droit international en la matière.
(8) Les sentences arbitrales sont définitives et obligatoires pour les parties au différend.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
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