1. I cittadini turchi hanno diritto alla rendita ordinaria ed agli assegni per grandi invalidi dell’assicurazione invalidità svizzera, con riserva dei paragrafi 2 e 3, alle stesse condizioni vigenti per i cittadini svizzeri.
2. Le rendite ordinarie degli assicurati con un grado d’invalidità inferiore al cinquanta percento non possono essere versate ai cittadini turchi che lasciano definitivamente la Svizzera. Qualora un cittadino turco beneficiario di una semi‑rendita ordinaria dell’assicurazione invalidità svizzera risiede all’estero, questa rendita continua ad essergli versata senza modifiche se l’invalidità di cui soffre si aggrava.
3. Per determinare i periodi contributivi che devono servire come base per il calcolo della rendita ordinaria dell’assicurazione invalidità svizzera dovuta ad un cittadino turco o svizzero, i periodi contributivi compiuti secondo le disposizioni legali turche sono considerati come periodi contributivi svizzeri, in quanto però non si sovrappongono. Per il computo, 30 giorni di contribuzioni compiuti secondo le legislazione turca indicata all’articolo 1 paragrafo 1 capoverso A lettera a sono considerati come equivalenti ad un mese di contributi compiuti secondo la legislazione svizzera. Il salario annuale medio è determinato solo sulla base dei periodi contributivi svizzeri.
4. Le rendite ordinarie di vecchiaia o per superstiti dell’assicurazione svizzera che sostituiscono una rendita d’invalidità, fissata secondo il paragrafo precedente, sono calcolate sulla base delle disposizioni legali svizzere tenendo conto esclusivamente dei periodi contributivi svizzeri. I periodi turchi d’assicurazione, visto l’articolo 12, che non dessero eccezionalmente diritto ad una prestazione turca analoga, sono però tenuti in considerazione per determinare i periodi contributivi che devono servire come base per il calcolo delle rendite svizzere summenzionate.
1. Les ressortissants turcs ont droit aux rentes ordinaires et aux allocations pour impotents de l’assurance-invalidité suisse, sous réserve des par. 2 et 3, aux mêmes conditions que les ressortissants suisses.
2. Les rentes ordinaires pour les assurés dont le degré d’invalidité est inférieur à cinquante pour cent ne peuvent pas être versées aux ressortissants turcs qui quittent définitivement la Suisse. Lorsqu’un ressortissant turc bénéficiaire d’une demi-rente ordinaire de l’assurance invalidité suisse réside à l’étranger, cette rente continue de lui être versée sans modifications si l’invalidité dont il souffre subit une aggravation.
3. Pour déterminer les périodes de cotisations qui doivent servir de base au calcul de la rente ordinaire de l’assurance-invalidité suisse due à une ressortissant turc ou suisse, les périodes de cotisations accomplies selon les dispositions légales turques sont prises en compte comme des périodes de cotisations suisses en tant qu’elles ne se superposent pas à ces dernières. Pour ladite prise en compte, 30 jours de cotisations accomplis selon la législation turque visée à l’art. 1, par. 1, al. A, let. a) sont considérés comme équivalents à un mois de cotisations accompli selon la législation suisse. Seules les périodes de cotisations suisses sont prises en considération pour déterminer le salaire annuel moyen.
4. Les rentes ordinaires de vieillesse ou de survivants de l’assurance suisse venant se substituer à une rente d’invalidité, fixée selon le paragraphe précédent, sont calculées sur la base des dispositions légales suisses compte tenu exclusivement des périodes de cotisations suisses. Si toutefois les périodes d’assurance turques, compte tenu de l’art. 12, n’ouvrent exceptionnellement pas droit à une prestation turque analogue, elles sont également prises en compte pour déterminer les périodes de cotisations qui doivent servir de base au calcul des rentes suisses susmentionnées.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
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