Diritto internazionale 0.8 Sanità - Lavoro - Sicurezza sociale 0.83 Sicurezza sociale
Droit international 0.8 Santé - Travail - Sécurité sociale 0.83 Sécurité sociale

0.831.109.232.1 Convenzione di sicurezza sociale del 24 febbraio 1994 tra la Confederazione Svizzera e il Canada (con Protocollo finale)

0.831.109.232.1 Convention de sécurité sociale du 24 février 1994 entre la Confédération suisse et le Canada (avec protocole final)

Index Inverser les langues Précédent Suivant
Index Inverser les langues

Art. 14

1 I cittadini del Canada possono esigere le misure d’integrazione dell’assicurazione svizzera per l’invalidità finché conservano la dimora in Svizzera e se, immediatamente prima dell’insorgere dell’invalidità, hanno pagato contributi all’assicurazione svizzera per la vecchiaia, i superstiti e l’invalidità.

2 I cittadini del Canada che non esercitano un’attività lucrativa possono esigere i provvedimenti d’integrazione finché conservano il domicilio in Svizzera e se, immediatamente prima dell’insorgere dell’invalidità, hanno dimorato in Svizzera ininterrottamente almeno durante un anno. I figli minorenni domiciliati in Svizzera possono inoltre esigere siffatte misure se sono nati invalidi in Svizzera o vi hanno dimorato ininterrottamente dalla nascita; un soggiorno di tre mesi al massimo del figlio nel Canada immediatamente dopo la nascita è equiparato a un periodo di dimora in Svizzera.

3 I figli domiciliati in Svizzera e nati invalidi nel Canada, la cui madre non abbia soggiornato nel Canada durante più di due mesi in tutto prima della nascita, sono equiparati ai figli nati invalidi in Svizzera. L’assicurazione per l’invalidità, in caso di infermità congenita del figlio, prende le prestazioni a suo carico durante tre mesi dopo la nascita nella misura in cui essa sarebbe stata tenuta ad accordarle in Svizzera.

4 I paragrafi 2 e 3 qui sopra sono applicabili per analogia ai figli nati invalidi fuori della Svizzera e del Canada; in questo caso, l’assicurazione per l’invalidità prende tuttavia le prestazioni a suo carico soltanto se esse devono essere accordate d’urgenza all’estero a causa dello stato di salute del figlio.

Art. 14

1 Les ressortissants du Canada peuvent prétendre les mesures de réadaptation de l’assurance‑invalidité suisse aussi longtemps qu’ils conservent leur résidence en Suisse et si, immédiatement avant le moment où est survenue l’invalidité, ils ont payé des cotisations à l’assurance-vieillesse, survivants et invalidité suisse.

2 Les ressortissants du Canada qui n’exercent pas d’activité lucrative peuvent prétendre les mesures de réadaptation aussi longtemps qu’ils conservent leur domicile en Suisse et si, immédiatement avant le moment où est survenue l’invaliditié, ils ont résidé en Suisse de manière ininterrompue pendant une année au moins. Les enfants mineurs domiciliés en Suisse peuvent en outre prétendre de telles mesures lorsqu’ils sont nés invalides en Suisse ou y ont résidé de manière ininterrompue depuis leur naissance, un séjour de trois mois au maximum de l’enfant au Canada immédiatement après la naissance étant assimilé à une période de résidence en Suisse.

3 Les enfants domiciliés en Suisse et nés invalides au Canada, dont la mère n’a pas séjourné au Canada pendant plus de deux mois en tout avant la naissance, sont assimilés aux enfants nés invalides en Suisse. L’assurance‑invalidité prend les prestations en cas d’infirmité congénitale de l’enfant à sa charge pendant une durée de trois mois après la naissance dans la mesure où elle aurait été tenue de les accorder en Suisse.

4 Les par. 2 et 3 ci‑dessus sont applicables par analogie aux enfants nés invalides hors de Suisse et du Canada; dans ce cas, l’assurance-invalidité ne prend toutefois les prestations à sa charge que si elles doivent être accordées d’urgence à l’étranger en raison de l’état de santé de l’enfant.

 

Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.