Diritto internazionale 0.8 Sanità - Lavoro - Sicurezza sociale 0.81 Sanità
Droit international 0.8 Santé - Travail - Sécurité sociale 0.81 Santé

0.814.321 Protocollo dell'8 luglio 1985 alla Convenzione del 1979 sull'inquinamento atmosferico attraverso le frontiere a lunga distanza relativo alla riduzione di almeno il 30 per cento delle emissioni di zolfo e dei loro flussi attraverso le frontiere

0.814.321 Protocole du 8 juillet 1985 à la Convention sur la pollution atmosphérique transfrontière à longue distance de 1979, relatif à la réduction des émissions de soufre ou de leurs flux transfrontières d'au moins 30 pour cent

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Preambolo

Le Parti,

decise a dare effetto alla Convenzione3 sull’inquinamento atmosferico attraverso le frontiere a lunga distanza;

temendo che le attuali emissioni di inquinanti atmosferici provochino estesi danni nelle regioni esposte d’Europa e d’America del Nord, a risorse naturali d’importanza vitale per l’ambiente e l’economia, quale le foreste, il suolo e le acque, nonché ai materiali (ivi compresi i monumenti storici), e possano avere, in alcune circostanze, effetti dannosi per la salute dell’uomo;

consapevoli che le principali fonti d’inquinamento atmosferico che contribuiscono all’acidificazione dell’ambiente sono: la combustione di combustibili fossili per la produzione di energia ed i principali processi tecnologici in vari settori industriali, nonché i trasporti che causano l’emissione di diossido di zolfo, di ossidi di azoto e di altri inquinanti;

considerando che un’elevata priorità dovrebbe essere concessa alla riduzione delle emissioni di zolfo in modo da ottenere effetti positivi per l’ambiente, per la situazione economica nel suo insieme e per la salute dell’uomo;

ricordando la decisione adottata dalla Commissione economica delle Nazioni Unite per l’Europa (CEE), nella sua trentanovesima sessione, intesa a sottolineare l’urgenza di raddoppiare gli sforzi per riuscire a coordinare le strategie e le politiche nazionali nell’ambito della CEE, al fine di ridurre effettivamente le emissioni di zolfo a livello nazionale;

ricordando che l’Organo esecutivo della Convenzione ha riconosciuto nella sua prima sessione la necessità di diminuire effettivamente le emissioni annue totali dei composti solforosi o i loro flussi attraverso le frontiere entro il 1993–1995, avvalendosi dei livelli del 1980 come base di calcolo;

ricordando che la Conferenza multilaterale sulle cause e la prevenzione dei danni causati alle foreste e all’acqua dall’inquinamento atmosferico in Europa (Monaco, 24–27 giugno 1984) aveva chiesto all’Organo esecutivo della Convenzione di adottare, con assoluta priorità, una proposta in vista di un accordo speciale volto a ridurre le emissioni nazionali annue di zolfo o i loro flussi attraverso le frontiere, al più tardi entro il 1993;

notando che un certo numero di Parti contraenti alla Convenzione hanno deciso di attuare riduzioni di almeno il 30 per cento delle loro emissioni nazionali annue di zolfo o dei loro flussi attraverso le frontiere il più presto possibile ed al più tardi entro il 1993, avvalendosi dei livelli del 1980, come base per il calcolo delle riduzioni;

riconoscendo, d’altronde, che alcune Parti contraenti alla Convenzione, ancorché non abbiano firmato il presente Protocollo al momento della sua apertura alla firma, contribuiranno tuttavia in maniera rilevante alla riduzione dell’inquinamento atmosferico attraverso le frontiere, o proseguiranno i loro sforzi volti al controllo delle emissioni di zolfo, come indicato nel documento allegato al rapporto dell’Organo esecutivo relativo alla sua terza sessione;

hanno convenuto quanto segue:

Préambule

Les Parties,

résolues à donner effet à la Convention sur la pollution atmosphérique transfrontière à longue distance2,

préoccupées par le fait que les émissions actuelles de polluants atmosphériques causent des dommages étendus dans les régions exposées d’Europe et d’Amérique du Nord à des ressources naturelles d’importance vitale pour l’environnement et l’économie, comme les forêts, les sols et les eaux, de même qu’aux matériaux (y compris les monuments historiques) et ont dans certaines circonstances des effets nocifs pour la santé humaine,

conscientes que les principales sources de pollution atmosphérique qui contribuent à l’acidification de l’environnement sont la combustion de combustibles fossiles pour la production d’énergie et les principaux processus technologiques dans divers secteurs industriels, ainsi que les transports qui provoquent l’émission de dioxyde de soufre, d’oxydes d’azote et d’autres polluants,

considérant qu’une priorité élevée devrait être accordée à la réduction des émissions du soufre qui aura des effets positifs sur l’environnement, la situation économique d’ensemble et la santé humaine,

rappelant la décision prise par la Commission économique des Nations Unies pour l’Europe (CEE) à sa trente‑neuvième session soulignant qu’il est urgent de redoubler d’efforts pour parvenir à coordonner les stratégies et les politiques nationales dans la région de la CEE afin de réduire effectivement les émissions de soufre au niveau national,

rappelant que l’Organe exécutif de la Convention a reconnu à sa première session qu’il fallait diminuer effectivement les émissions annuelles totales de composés sulfureux ou leurs flux transfrontières d’ici à 1993–1995, en prenant les niveaux de 1980 comme base de calcul,

rappelant que la Conférence multilatérale sur les causes et la prévention des dommages causés aux forêts et à l’eau par la pollution atmosphérique en Europe (Munich, 24–27 juin 1984) avait demandé à l’Organe exécutif de la Convention d’adopter, en première priorité, une proposition en vue d’un accord spécial visant à réduire les émissions nationales annuelles de soufre ou leurs flux transfrontières d’ici à 1993 au plus tard,

notant qu’un certain nombre de parties contractantes à la Convention ont décidé d’opérer des réductions de leurs émissions nationales annuelles de soufre ou de leurs flux transfrontières d’au moins 30 % aussitôt que possible et au plus tard d’ici à 1993, en prenant les niveaux de 1980 comme base pour le calcul des réductions,

reconnaissant d’autre part, que certaines parties contractantes à la Convention, bien qu’elles ne signent pas le présent Protocole au moment de son ouverture à la signature, contribueront néanmoins notablement à la réduction de la pollution atmosphérique transfrontière ou poursuivront leurs efforts pour contrôler les émissions de soufre, ainsi qu’il est indiqué dans le document annexé au rapport de l’Organe exécutif à sa troisième session,

sont convenues de ce qui suit:

 

Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.