1. Qualora sorga tra due o più Parti una controversia relativa all’interpretazione o all’applicazione della presente Convenzione, le Parti si consulteranno in vista di risolvere tale controversia per via negoziale, d’inchiesta, di mediazione, di conciliazione, di arbitrato o di ricorso ad organismi regionali, per via giudiziaria o mediante altri mezzi pacifici di loro scelta.
2. Ogni controversia di tal sorta che non può essere risolta con i mezzi di cui al paragrafo 1 del presente articolo, sarà sottoposta, dietro richiesta di uno qualsiasi degli Stati Parti alla controversia, alla Corte internazionale di giustizia, per decisione.
3. Se un’organizzazione regionale d’integrazione economica di cui al capoverso c) dell’articolo 26 è parte ad una controversia che non può essere risolta nel modo previsto al paragrafo 1 del presente articolo, essa può, tramite uno Stato membro dell’Organizzazione delle Nazioni Unite, pregare il Consiglio di domandare un parere consultivo alla Corte internazionale di giustizia in virtù dell’articolo 65 dello Statuto della Corte, parere che sarà considerato come decisivo.
4. Ciascun Stato, all’atto di firmare, ratificare, accettare od approvare la presente Convenzione o di aderirvi o ciascuna organizzazione regionale d’integrazione economica all’atto della firma, del deposito di un atto di conferma formale o dell’adesione, può dichiarare che non si considera vincolato dalle disposizioni dei paragrafi 2 e 3 del presente articolo. Le altre Parti non sono vincolate dalle disposizioni dei paragrafi 2 e 3 nei confronti di una Parte che ha reso una tale dichiarazione.
5. Ogni Parte che ha effettuato una dichiarazione in base al paragrafo 4 del presente articolo può in ogni tempo ritirare questa dichiarazione mediante notifica inviata al Segretario generale.
1. S’il s’élève entre deux ou plusieurs Parties un différend concernant l’interprétation ou l’application de la présente Convention, les Parties se consultent en vue de régler ce différend par voie de négociation, d’enquête, de médiation, de conciliation, d’arbitrage ou de recours à des organismes régionaux, par voie judiciaire ou par d’autres moyens pacifiques de leur choix.
2. Tout différend de cette nature qui ne peut être réglé par les moyens prévus au par. 1 du présent article est soumis, à la demande de l’un quelconque des États Parties au différend, à la Cour internationale de Justice, pour décision.
3. Si une organisation régionale d’intégration économique visée à l’al. c) de l’art. 26 est partie à un différend qui ne peut être réglé de la manière prévue au par. 1 du présent article, elle peut, par l’intermédiaire d’un État Membre de l’Organisation des Nations Unies, prier le Conseil de demander un avis consultatif à la Cour internationale de Justice en vertu de l’art. 65 du Statut de la Cour, avis qui sera considéré comme décisif.
4. Chaque État, au moment où il signe, ratifie, accepte ou approuve la présente Convention ou y adhère, ou chaque organisation régionale d’intégration économique, au moment de la signature, du dépôt d’un acte de confirmation formelle ou de l’adhésion, peut déclarer qu’il ne se considère pas lié par les dispositions des par. 2 et 3 du présent article. Les autres Parties ne sont pas liées par les dispositions des par. 2 et 3 envers une Partie qui a fait une telle déclaration.
5. Toute Partie qui a fait une déclaration en vertu du par. 4 du présent article peut à tout moment retirer cette déclaration par une notification adressée au Secrétaire général.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
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