1. Lo Stato d’immatricolazione dell’aeromobile è competente per la conoscenza delle infrazioni e degli atti commessi a bordo.
1bis. Uno Stato è inoltre competente per la conoscenza delle infrazioni e degli atti commessi a bordo:
2. Ciascun Stato contraente, in qualità di Stato d’immatricolazione, prende i provvedimenti necessari per stabilire la propria competenza nella conoscenza di infrazioni commesse a bordo di aeromobili iscritti nella propria matricola.
2bis. Ciascun Stato contraente adotta inoltre i provvedimenti necessari per stabilire la propria competenza nella conoscenza di infrazioni commesse a bordo di aeromobili nei seguenti casi:
2ter. Nell’esercitare la propria competenza in quanto Stato d’atterramento, lo Stato considera se l’infrazione in questione costituisce un’infrazione nello Stato dell’operatore.
3. La presente convenzione non libera da nessuna competenza penale esercitata conformemente alle legislazioni nazionali.
Art. 3bis 6
Qualora uno Stato contraente, nell’esercizio della propria competenza ai sensi dell’articolo 3, abbia ricevuto notifica o in altro modo apprenda che uno o più Stati contraenti abbiano in corso indagini o abbiano avviato procedimenti giudiziari o processuali in relazione alle stesse infrazioni o agli stessi atti, tale Stato contraente consulterà, ove opportuno, tali altri Stati contraenti al fine di coordinare le rispettive azioni. Gli obblighi di cui al presente articolo non pregiudicano in alcun modo gli obblighi derivanti per gli Stati contraenti dall’articolo 13.
5 Nuovo testo giusta l’art. IV del Prot. del 4 apr. 2014, approvato dall’AF il 18 dic. 2020,
6 Introdotto dall’art. V del Prot. del 4 apr. 2014, approvato dall’AF il 18 dic. 2020,
1. L’État d’immatriculation de l’aéronef est compétent pour connaître des infractions commises et actes accomplis à bord.
1bis. Un État est également compétent pour connaître des infractions commises et des actes accomplis à bord:
2. Tout État contractant prend les mesures nécessaires pour établir sa compétence, en sa qualité d’État d’immatriculation, aux fins de connaître des infractions commises à bord des aéronefs inscrits sur son registre d’immatriculation.
2bis. Tout État contractant prend aussi les mesures nécessaires pour établir sa compétence aux fins de connaître des infractions commises à bord d’aéronefs dans les cas suivants:
2ter. Dans l’exercice de sa compétence comme État d’atterrissage, un État examine le point de savoir si l’infraction en question est une infraction dans l’État de l’exploitant.
3. La présente Convention n’écarte aucune compétence pénale exercée conformément aux lois nationales.
Art. 3bis 6
Si un État contractant, exerçant sa compétence au titre de l’art. 3, a été informé ou a appris autrement qu’un ou plusieurs autres États contractants mènent une enquête, une poursuite ou une instance judiciaire concernant les mêmes infractions ou actes, ledit État contractant consulte, le cas échéant, ces autres États contractants aux fins de coordonner leurs actions. Les obligations du présent article sont sans préjudice des obligations qui incombent à un État contractant en vertu de 1’art. 13.
5 Nouvelle teneur selon l’art. IV du Prot. du 4 avr. 2014, approuvé par l’Ass. féd. le 18 déc. 2020 et en vigueur pour la Suisse depuis le 1er août 2021 (RO 2021 469; FF 2020 4981).
6 Introduit par l’art. V du Prot. du 4 avr. 2014, approuvé par l’Ass. féd. le 18 déc. 2020 et en vigueur pour la Suisse depuis le 1er août 2021 (RO 2021 469; FF 2020 4981).
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
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