Diritto internazionale 0.7 Lavori pubblici - Energie - Trasporti e comunicazioni 0.74 Trasporti e comunicazioni
Droit international 0.7 Travaux publics - Énergie - Transports et communications 0.74 Transports et communications

0.748.127.192.14 Accordo dell' 11 maggio 2005 tra il Consiglio federale svizzero e il Governo della Repubblica di Bulgaria concernente il traffico aereo di linea (con all.)

0.748.127.192.14 Accord du 11 mai 2005 entre le Conseil fédéral suisse et le Gouvernement de la République de Bulgarie relatif au trafic aérien de lignes (avec annexe)

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Art. 10 Sicurezza tecnica

1.  Per l’esercizio dei servizi aerei previsti nel presente Accordo, ciascuna Parte riconosce come validi i certificati di navigabilità, i brevetti d’idoneità e le licenze rilasciati o riconosciuti dall’altra Parte e ancora validi, a condizione che le esigenze richieste per ottenere questi documenti corrispondano almeno alle esigenze minime stabilite in base alla Convenzione.

2.  Ciascuna Parte può tuttavia rifiutare di riconoscere, per i voli effettuati sopra il suo territorio, i brevetti d’idoneità e le licenze rilasciati ai propri cittadini o riconosciuti validi dall’altra Parte o da un altro Stato.

3.  Le autorità aeronautiche di ciascuna Parte possono domandare consultazioni sulle norme di sicurezza applicate dall’altra Parte per gli equipaggi, gli aeromobili o il loro esercizio. Siffatte consultazioni devono svolgersi entro un termine di trenta (30) giorni dopo la ricezione della domanda.

4.  Se, dopo siffatte consultazioni, una Parte constata che in tutti i campi menzionati nel paragrafo 3 del presente articolo l’altra Parte non mantiene né applica efficacemente gli standard di sicurezza corrispondenti almeno ai requisiti minimi stabiliti in base alla Convenzione, la prima Parte notifica alla seconda queste constatazioni e i passi ritenuti necessari per adempiere queste norme minime, e l’altra Parte deve adottare adeguate misure per rimediarvi. Se l’altra Parte omette di adottare misure adeguate entro quindici (15) giorni oppure entro una scadenza più lunga concordata, vi è motivo di applicare l’articolo 6 del presente Accordo.

5.  Nonostante gli obblighi menzionati all’articolo 33 della Convenzione, è convenuto che ogni aeromobile esercitato da imprese di una Parte oppure, nel quadro di un contratto di leasing a loro nome, per servizi da e verso il territorio dell’altra Parte, durante il soggiorno su detto territorio può essere oggetto di un’ispezione (denominata nel presente articolo «ispezione dell’area di traffico») a bordo o nel suo ambito da rappresentanti autorizzati dell’altra Parte per quanto concerne la validità dei certificati di navigabilità e delle licenze dell’equipaggio nonché lo stato visibile dell’aeromobile e delle sue attrezzature, a condizione che l’ispezione non causi ritardi indebiti.

6.  Se una simile ispezione dell’area di traffico o diverse di queste ispezioni dell’area di traffico danno adito a seri motivi di temere che:

a.
un aeromobile o l’esercizio di un aeromobile non corrisponde alle esigenze minime prescritte nella Convenzione; o che
b.
sussiste una lacuna a livello di manutenzione effettiva ed applicazione dei requisiti minimi di sicurezza prescritti nella Convenzione,

la Parte che effettua l’ispezione è libera di desumere, in virtù dell’articolo 33 della Convenzione, che i requisiti in base ai quali sono stati rilasciati o riconosciuti i certificati o le licenze per questo aeromobile o per l’equipaggio, oppure i requisiti in base ai quali l’aeromobile è esercitato, non corrispondono oppure superano i requisiti minimi stabiliti in base alla Convenzione.

7.  Nel caso in cui l’accesso a un aeromobile esercitato da imprese di una Parte o a loro nome per effettuare un’ispezione dell’area di traffico in applicazione delle disposizioni del summenzionato paragrafo 5 sia negato da rappresentanti di queste imprese, l’altra Parte è libera di desumere che sussistono seri motivi di timore, del genere di quelli menzionati al paragrafo 6, e può trarne le conclusioni previste in quel paragrafo.

8.  Ciascuna Parte si riserva il diritto di sospendere o di modificare subito, a titolo temporaneo, l’autorizzazione d’esercizio di un’impresa dell’altra Parte nel caso in cui, a seguito dell’ispezione dell’area di traffico, dell’accesso negato per un’ispezione dell’area di traffico, oppure a seguito di colloqui o altrimenti, una Parte giunga alla conclusione che siano necessarie misure urgenti per la sicurezza dell’esercizio di un’impresa di trasporti aerei.

9.  Tutte le misure adottate da una Parte in conformità ai paragrafi 4 o 8 del presente articolo saranno abrogate non appena vengono a mancare i motivi che hanno richiesto l’adozione di tali misure.

Art. 10 Sécurité

1.  Chaque Partie contractante reconnaît la validité des certificats de navigabilité, des certificats d’aptitude et des licences délivrés ou validés par l’autre Partie contractante pour l’exploitation des services aériens internationaux convenus dans le présent Accord et qui sont encore en vigueur, à condition que les exigences requises pour obtenir ces documents correspondent au moins aux exigences minimales en vigueur conformément à la Convention.

2.  Chaque Partie contractante se réserve cependant le droit de ne pas reconnaître, pour la circulation au-dessus de son propre territoire, les certificats d’aptitude et les licences délivrés à ses propres ressortissants ou validés par l’autre Partie contractante ou par tout autre Etat.

3.  Les autorités aéronautiques de chaque Partie contractante peuvent en tout temps demander des consultations au sujet des normes de sécurité adoptées par l’autre Partie contractante dans tout domaine qui se rapporte aux équipages de conduite, aux aéronefs ou à l’exploitation de ces derniers. Ces consultations auront lieu dans les trente (30) jours suivant la demande.

4.  Si, à la suite de telles consultations, une des Parties contractantes découvre que l’autre Partie contractante n’adopte ni n’assure effectivement le suivi de normes de sécurité dans l’un de ces domaines qui soient au moins égales aux nombres minimales en vigueur conformément à la Convention, la première Partie contractante avisera l’autre Partie contractante de ces conclusions et des démarches qui sont estimées nécessaires afin de se conformer à ces normes minimales, et cette autre Partie contractante prendra les mesures correctives qui s’imposent. Le manquement par cette autre Partie contractante à prendre les mesures appropriées dans les quinze (15) jours ou dans une période plus longue s’il en a été convenu ainsi, constituera un fondement pour l’application de l’art. 6 du présent Accord.

5.  Nonobstant les obligations mentionnées à l’art. 33 de la Convention, il est convenu que tout aéronef exploité par les entreprises d’une des Parties contractantes ou dans le cadre d’un contrat de location, en leur nom, en provenance ou à destination du territoire d’une autre Partie contractante peut, lorsqu’il se trouve sur le territoire de l’autre Partie contractante, faire l’objet d’une inspection (appelée dans cet article «inspection sur l’aire de trafic»), par les représentants autorisés de cette autre Partie contractante, à bord ou à l’extérieur de l’aéronef, afin de vérifier la validité des documents de l’aéronef et de ceux de son équipage et l’état apparent de l’aéronef et de son équipement à condition que cela n’entraîne pas de retard déraisonnable.

6.  Si une inspection, ou une série d’inspections sur l’aire de trafic, donne lieu à:

a.
des motifs sérieux de penser qu’un aéronef ou l’exploitation d’un aéronef ne respecte pas les normes minimales en vigueur conformément à la Convention, ou
b.
des motifs sérieux de craindre des déficiences dans l’adoption et la mise en oeuvre effectives de normes de sécurité conformes aux exigences de la Convention,

la Partie contractante effectuant l’inspection sera, pour l’application de l’art. 33 de la Convention, libre de conclure que les prescriptions suivant lesquelles le certificat ou les licences relatifs à cet aéronef ou à son équipage ont été délivrés ou validés, ou suivant lesquelles l’aéronef est utilisé, ne sont pas égales ou supérieures aux normes minimales en vigueur conformément à la Convention.

7.  Dans le cas où l’accès à un aéronef exploité par la ou les entreprises de transport aérien d’une Partie contractante pour effectuer une inspection sur l’aire de trafic en application du ch. 5 ci-dessus est refusé par un représentant de la ou des entreprises de transport aérien, l’autre Partie contractante est libre d’en déduire que les motifs sérieux de préoccupation, du type de ceux auxquels il est fait référence dans le ch. 6 ci-dessus existent, et d’en tirer les conclusions mentionnées dans le même chiffre.

8.  Chacune des Parties contractantes se réserve le droit de suspendre ou de modifier l’autorisation d’exploitation d’une ou des entreprises de transport aérien de l’autre Partie contractante immédiatement, dans le cas où l’une des Parties contractantes parvient à la conclusion, à la suite d’une inspection sur l’aire de trafic, d’une série d’inspections sur l’aire de trafic, d’un refus d’accès pour inspection sur l’aire de trafic, d’une consultation ou autrement, qu’une action immédiate est indispensable pour la sécurité de l’exploitation d’une ou des entreprises de transport aérien de l’autre Partie contractante.

9.  Toute mesure prise par une Partie contractante en conformité avec le ch. 4 ou 8 ci-dessus sera rapportée dès que les faits motivant cette mesure auront cessé d’exister.

 

Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.