Diritto internazionale 0.7 Lavori pubblici - Energie - Trasporti e comunicazioni 0.74 Trasporti e comunicazioni
Droit international 0.7 Travaux publics - Énergie - Transports et communications 0.74 Transports et communications

0.741.611 Convenzione del 19 maggio 1956 concernente il contratto di trasporto internazionale di merci su strada (CMR) (con Protocollo di firma)

0.741.611 Convention du 19 mai 1956 relative au contrat de transport international de marchandises par route (CMR) (avec prot. de signature)

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Art. 18

1.  La prova che la perdita, l’avaria o il ritardo abbiano avuto per causa uno dei fatti previsti nell’articolo 17 paragrafo 2 incombe al vettore.

2.  Qualora il vettore dimostri che, avuto riguardo alle circostanze di fatto, la perdita o l’avaria ha potuto risultare da uno o più dei rischi particolari previsti nell’articolo 17 paragrafo 4 si presume che la perdita o l’avaria sia stata così causata. L’avente diritto ha tuttavia la facoltà di provare che il danno non è stato causato, totalmente o parzialmente, da uno di tali rischi.

3.  La presunzione di cui sopra non è applicabile nel caso previsto nell’articolo 17 paragrafo 4 a quando vi sia un ammanco rilevante o perdita di colli.

4.  Se il trasporto è eseguito con un veicolo attrezzato in modo da proteggere le merci dal calore, dal freddo, dai cambiamenti di temperatura o dall’umidità dell’aria, il vettore non può invocare il beneficio dell’articolo 17 paragrafo 4 d a meno che egli fornisca la prova di aver adottato, per quel che concerne la scelta, il trattamento e l’impiego di tali attrezzature, tutti i provvedimenti a cui era tenuto, considerate le circostanze, e di aver osservato le istruzioni speciali impartitegli.

5.  Il vettore non può invocare il beneficio dell’articolo 17 paragrafo 4f se non fornisce la prova di aver adottato tutti i provvedimenti a cui era normalmente tenuto, considerate le circostanze, e d’aver osservato le istruzioni speciali impartitegli.

Art. 18

1.  La preuve que la perte, l’avarie ou le retard a eu pour cause un des faits prévus à l’art. 17, par. 2, incombe au transporteur.

2.  Lorsque le transporteur établit que, eu égard aux circonstances de fait, la perte ou l’avarie a pu résulter d’un ou de plusieurs des risques particuliers prévus à l’art. 17, par. 4, il y a présomption qu’elle en résulte. L’ayant droit peut toutefois faire la preuve que le dommage n’a pas eu l’un de ces risques pour cause totale ou partielle.

3.  La présomption visée ci-dessus n’est pas applicable dans le cas prévu à l’art. 17, par. 4, a, s’il y a manquant d’une importance anormale ou perte de colis.

4.  Si le transport est effectué au moyen d’un véhicule aménagé en vue de soustraire les marchandises à l’influence de la chaleur, du froid, des variations de température ou de l’humidité de l’air, le transporteur ne peut invoquer le bénéfice de l’art. 17, par. 4, d, que s’il fournit la preuve que toutes les mesures lui incombant, compte tenu des circonstances, ont été prises en ce qui concerne le choix, l’entretien et l’emploi de ces aménagements et qu’il s’est conformé aux instructions spéciales qui ont pu lui être données.

5.  Le transporteur ne peut invoquer le bénéfice de l’art. 17, par. 4, f, que s’il fournit la preuve que toutes les mesures lui incombant normalement, compte tenu des circonstances, ont été prises et qu’il s’est conformé aux instructions spéciales qui ont pu lui être données.

 

Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.