Diritto internazionale 0.6 Finanze 0.67 Doppia imposizione
Droit international 0.6 Finances 0.67 Double imposition

0.672.961.41 Convenzione del 6 giugno 1980 tra la Confederazione Svizzera e la Nuova Zelanda per evitare le doppie imposizioni in materia di imposte sul reddito (con Protocollo)

0.672.961.41 Convention du 6 juin 1980 entre la Confédération suisse et la Nouvelle-Zélande en vue d'éviter les doubles impositions en matière d'impôts sur le revenu (avec prot.)

Index Inverser les langues Précédent Suivant
Index Inverser les langues

Art. 3 Disposizioni generali

1.  Ai fini della presente Convenzione, a meno che il contesto non richieda una diversa interpretazione:

a) (i) Il termine «Nuova Zelanda», usato in senso geografico, designa il territorio metropolitano della Nuova Zelanda (incluse le isole situate al largo), salvo le Isole Cook, Niue e Tokelau. Include pure le zone adiacenti alle acque territoriali del territorio metropolitano della Nuova Zelanda (incluse le isole situate al largo) che, in accordo con il diritto internazionale, sono o potranno essere ulteriormente designate dalla legislazione della Nuova Zelanda come territori sui quali la Nuova Zelanda può esercitare diritti sovrani ai fini d’esplorarli o d’esplorare, di sfruttare, di conservare e di gestire le risorse naturali del mare, del fondo marino e del sottosuolo marino;
(ii)
il termine «Svizzera» designa la Confederazione Svizzera;
b)
le espressioni «uno Stato contraente» e «l’altro Stato contraente» designano, a seconda del contesto, la Nuova Zelanda o la Svizzera;
c)
il termine «persona» comprende le persone fisiche, le società e ogni altra associazione di persone;
d)
il termine «società» designa qualsiasi persona giuridica o qualsiasi ente che è considerato persona giuridica ai fini dell’imposizione;
e)
le espressioni «impresa di uno Stato contraente» e «impresa dell’altro Stato contraente» designano rispettivamente un’impresa esercitata da un residente di uno Stato contraente e un’impresa esercitata da un residente dell’altro Stato contraente;
f)
il termine «cittadino» designa ogni persona fisica che ha la cittadinanza di uno Stato contraente e ogni persona giuridica, società di persone e associazione costituita conformemente alla legislazione in vigore in uno Stato contraente;
g)
l’espressione «traffico internazionale» designa qualsiasi trasporto effettuato per mezzo di una nave o di un aeromobile esercitato da un’impresa la cui sede di direzione effettiva è situata in uno Stato contraente, ad eccezione del caso in cui la nave o l’aeromobile sia esercitato esclusivamente tra località situate nell’altro Stato contraente;
h)
l’espressione «autorità competente» designa:
(i)
in Nuova Zelanda, il «Commissioner of Inland Revenue» o il suo rappresentante autorizzato;
(ii)
in Svizzera, il direttore dell’Amministrazione federale delle contribuzioni o il suo rappresentante autorizzato.

2.  Per l’applicazione della Convenzione da parte di uno Stato contraente, le espressioni non diversamente definite hanno il significato che ad esse è attribuito dal diritto di tale Stato relativo alle imposte cui si applica la Convenzione, a meno che il contesto non richieda una diversa interpretazione.

Art. 3 Définitions générales

1.  Au sens de la présente Convention, à moins que le contexte n’exige une interprétation différente:

a) (i) le terme «Nouvelle‑Zélande», employé dans un sens géographique, désigne le territoire métropolitain de la Nouvelle‑Zélande (y compris les îles situées au large), à l’exception des Îles Cook, Niue et Tokelau. Il comprend également les zones adjacentes aux eaux territoriales du territoire métropolitain de la Nouvelle‑Zélande (y compris les îles situées au large) qui, en accord avec le droit des gens, sont ou pourront ultérieurement être désignées par la législation de la Nouvelle‑Zélande comme constituant des zones sur lesquelles la Nouvelle‑Zélande dispose des droits souverains aux fins de les explorer ou d’explorer, d’exploiter, de conserver et de gérer les ressources naturelles de la mer, du lit de la mer et du sous‑sol marin;
(ii)
le terme «Suisse» désigne la Confédération suisse;
b)
les expressions «un État contractant» et «l’autre État contractant» désignent, selon le contexte, la Nouvelle‑Zélande ou la Suisse;
c)
le terme «personne» comprend les personnes physiques, les sociétés et tous autres groupements de personnes;
d)
le terme «société» désigne toute personne morale ou toute entité qui est considérée comme une personne morale aux fins d’imposition;
e)
les expressions «entreprise d’un État contractant» et «entreprise de l’autre État contractant» désignent respectivement une entreprise exploitée par un résident d’un État contractant et une entreprise exploitée par un résident de l’autre État contractant;
f)
le terme «national» désigne toute personne physique qui possède la citoyenneté d’un État contractant et toute personne morale, société de personnes ou association constituée conformément au droit en vigueur dans un État contractant;
g)
l’expression «trafic international» désigne tout transport effectué par un navire ou un aéronef exploité par une entreprise dont le siège de direction effective est situé dans un État contractant, sauf lorsque le navire ou l’aéronef n’est exploité qu’entre des points situés dans l’autre État contractant;
h)
l’expression «autorité compétente» désigne:
(i)
en ce qui concerne la Nouvelle‑Zélande, le «Commissioner of Inland Revenue» ou son représentant autorisé;
(ii)
en ce qui concerne la Suisse, le directeur de l’Administration fédérale des contributions ou son représentant autorisé.

2.  Pour l’application de la Convention par un État contractant, toute expression qui n’y est pas définie a le sens que lui attribue le droit de cet État concernant les impôts auxquels s’applique la Convention, à moins que le contexte n’exige une interprétation différente.

 

Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.