1. Qualora:
i benefici dell’Accordo fiscale coperto non si applicano a qualsiasi elemento di reddito rispetto al quale l’imposta nella terza Giurisdizione è inferiore al 60 per cento dell’imposta che sarebbe applicata nella prima Giurisdizione contraente su tale elemento di reddito se detta stabile organizzazione fosse situata nella prima Giurisdizione contraente. In tale caso, qualsiasi reddito al quale si applicano le disposizioni del presente paragrafo resta imponibile ai sensi della legislazione nazionale dell’altra Giurisdizione contraente, nonostante tutte le altre disposizioni dell’Accordo fiscale coperto.
2. Il paragrafo 1 non si applica se il reddito ricavato dall’altra Giurisdizione contraente di cui al paragrafo 1 è ricavato in connessione con, o è accessorio a, l’esercizio attivo di un’attività economica esercitata tramite la stabile organizzazione (diversa dall’attività economica che consiste nell’effettuare, gestire o semplicemente detenere investimenti per conto dell’impresa stessa, salvo che tali attività consistano in attività bancarie, assicurative o mobiliari esercitate, rispettivamente, da una banca, una impresa di assicurazioni o un commerciante di titoli autorizzato).
3. Se i benefici ai sensi di un Accordo fiscale coperto sono negati ai sensi del paragrafo 1 relativamente ad un elemento di reddito ricavato da un residente di una Giurisdizione contraente, l’autorità competente dell’altra Giurisdizione contraente può, tuttavia, concedere tali benefici relativamente a detto elemento di reddito se, in risposta ad una richiesta di tale residente, detta autorità competente determina che la concessione di tali benefici sia giustificata in considerazione dei motivi per i quali tale residente non ha soddisfatto i requisiti dei paragrafi 1 e 2. L’autorità competente della Giurisdizione contraente alla quale è stata presentata una richiesta ai sensi del periodo precedente da parte di un residente dell’altra Giurisdizione contraente si consulta con l’autorità competente di detta altra Giurisdizione contraente prima di accordare o rigettare la richiesta.
4. I paragrafi da 1 a 3 si applicano in luogo o in assenza di disposizioni di un Accordo fiscale coperto che neghino o limitino i benefici che sarebbero altrimenti concessi a un’impresa di una Giurisdizione contraente che ricava un reddito dall’altra Giurisdizione contraente attribuibile a una stabile organizzazione dell’impresa situata in una Giurisdizione terza.
5. Una Parte si può riservare il diritto:
6. Ciascuna Parte che non ha formulato la riserva di cui al sottoparagrafo a) o b) del paragrafo 5 notifica al Depositario se ciascuno dei suoi Accordi fiscali coperti contiene una disposizione di cui al paragrafo 4 e, in tal caso, il numero dell’articolo e del paragrafo di ciascuna di tali disposizioni. Se tutte le Giurisdizioni contraenti hanno effettuato una tale notifica riguardante una disposizione di un Accordo fiscale coperto, tale disposizione è sostituita dalle disposizioni dei paragrafi da 1 a 3. Negli altri casi, i paragrafi da 1 a 3 prevalgono sulle disposizioni dell’Accordo fiscale coperto soltanto nella misura in cui tali disposizioni sono incompatibili con detti paragrafi.
1. Lorsque:
les avantages accordés par la Convention fiscale couverte ne s’appliquent pas à tout élément de revenu au titre duquel l’impôt dans la juridiction tierce est inférieur à 60 pour cent de l’impôt qui serait dû dans la première Juridiction contractante sur cet élément de revenu si cet établissement stable était situé dans la première Juridiction contractante. Dans ce cas, tout élément de revenu auquel s’appliquent les dispositions du présent paragraphe reste imposable conformément à la législation de l’autre Juridiction contractante, nonobstant toute autre disposition de la Convention fiscale couverte.
2. Le par. 1 ne s’applique pas si le revenu tiré de l’autre Juridiction contractante tel qu’il est décrit dans le par. 1 est lié ou constitue un élément annexe ou accessoire à l’exercice effectif d’une activité d’entreprise exercée par l’intermédiaire de l’établissement stable (autre que l’activité consistant à réaliser, gérer ou simplement détenir des placements pour le compte de l’entreprise, à moins qu’il ne s’agisse d’activités bancaires, d’assurance ou d’activités portant sur des valeurs mobilières exercées respectivement par une banque, une compagnie d’assurance ou un opérateur sur titres agréé).
3. Si les avantages prévus par une Convention fiscale couverte sont refusés en vertu du par. 1 pour un élément de revenu tiré par un résident d’une Juridiction contractante, l’autorité compétente de l’autre Juridiction contractante peut néanmoins accorder ces avantages pour cet élément de revenu si, en réponse à une demande de ce résident, cette autorité compétente considère que l’octroi de ces avantages est justifié au regard des motifs pour lesquels ce résident n’a pas satisfait les conditions des par. 1 et 2. L’autorité compétente de la Juridiction contractante à laquelle une demande a été faite en vertu de la phrase précédente par un résident de l’autre Juridiction contractante consulte l’autorité compétente de cette autre Juridiction contractante avant d’accepter ou de rejeter la demande.
4. Les par. 1 à 3 s’appliquent à la place ou en l’absence de dispositions d’une Convention fiscale couverte qui refusent ou limitent les avantages qui seraient octroyés à une entreprise d’une Juridiction contractante qui tire un revenu de l’autre Juridiction contractante qui est attribuable à un établissement stable de cette entreprise situé dans une juridiction tierce.
5. Une Partie peut se réserver le droit:
6. Toute Partie qui n’a pas émis de réserve prévue aux al. a) ou b) du par. 5 notifie au Dépositaire les Conventions fiscales couvertes qui contiennent une disposition décrite au par. 4, en indiquant les numéros de l’article et du paragraphe de chaque disposition concernée. Lorsque toutes les Juridictions contractantes ont formulé une telle notification à l’égard d’une disposition d’une Convention fiscale couverte, cette disposition est remplacée par celles des par. 1 à 3. Dans les autres cas, les par. 1 à 3 prévalent sur les dispositions des Conventions fiscales couvertes seulement dans la mesure où ces dispositions sont incompatibles avec ces paragraphes.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.