Diritto internazionale 0.6 Finanze 0.63 Dogane
Droit international 0.6 Finances 0.63 Douanes

0.631.251.7 Convenzione doganale del 18 maggio 1956 concernente l'importazione temporanea, per uso privato, di imbarcazioni da diporto e di aeromobili (con All. e Protocollo di firma)

0.631.251.7 Convention douanière du 18 mai 1956 relative à l'importation temporaire pour usage privé des embarcations de plaisance et des aéronefs (avec annexes et protocole de signature)

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Art. 24

1 Se il documento d’importazione temporanea non sia stato scaricato regolarmente, le autorità doganali del Paese d’importazione accettano (prima o dopo il decorso del documento), come prova della riesportazione dell’imbarcazione, dell’aeromobile o dei pezzi di ricambio, un certificato conforme al modulo riprodotto nell’allegato 5 della presente Convenzione e concesso da un’autorità ufficiale (console, dogana, polizia, sindaco, usciere, ecc.), nel quale attesti che l’imbarcazione, l’aeromobile o i pezzi di ricambio le sono stati presentati e si trovano fuori del Paese d’importazione. Tali autorità possono parimente accettare ogni altro documento comprovante che l’imbarcazione, l’aeromobile o i pezzi di ricambio si trovano fuori del Paese d’importazione. Se il documento d’importazione temporanea non è un libretto di passaggi in dogana, e sia ancora valevole, le autorità doganali possono esigere che venga loro consegnato soltanto quando sia stato accertato che l’imbarcazione, o l’aeromobile si trova fuori del territorio d’importazione temporanea. Se il documento è un libretto, esse tengono conto, come prova della riesportazione dell’imbarcazione, dell’aeromobile o dei pezzi di ricambio, di visti di passaggio, apposti dalle autorità doganali dei Paesi visitati successivamente.

2 Se il documento d’importazione temporanea non scaricato regolarmente, ma attenente a un’imbarcazione, aeromobile o pezzi di ricambio, sia andato distrutto, smarrito o rubato, le autorità doganali del Paese di importazione accettano, come prova della riesportazione, un certificato conforme al modulo riprodotto nell’allegato 5 della presente Convenzione e concesso da un’autorità ufficiale (console, dogana, polizia, sindaco, usciere ecc.), nel quale attesti che l’imbarcazione, l’aeromobile o i pezzi di ricambio, dei quali si tratta, le sono stati presentati e si trovavano fuori dal Paese d’importazione prima della scadenza del titolo. Tali autorità possono parimente accettare ogni altro documento comprovante che l’imbarcazione, l’aeromobile o i pezzi di ricambio si trovano fuori del Paese d’importazione.

3 Se sia andato distrutto, smarrito o rubato un libretto di passaggi in dogana quando l’imbarcazione, l’aeromobile o i pezzi di ricambio si trovano sul territorio d’una Parte contraente, le autorità doganali di questa, a domanda dell’associazione interessata, accettano un documento succedaneo, la cui validità cessa con quella del libretto al quale è sostituito. Questa accettazione annulla quella anteriore fondata sul libretto distrutto, smarrito o rubato. Se per la riesportazione dell’imbarcazione, dell’aeromobile o dei pezzi di ricambio sia stata concessa, in luogo d’un documento succedaneo, una licenza d’esportazione oppure un documento analogo, il visto d’uscita appostovi è accettato come prova della riesportazione.

4 Ove accada che un’imbarcazione o un aeromobile venga rubato dopo la sua riesportazione e questa non sia regolarmente accertata nel documento, nè in questo siano apposti dei visti d’entrata concessi dalle autorità doganali di Paesi successivamente visitati, il documento può essere sanato, purchè venga presentato dall’associazione garante e siano da questa fornite delle prove bastevoli del furto. Se il documento non è ancora scaduto, le autorità doganali possono esigerne il deposito.

Art. 24

1 Si le titre d’importation temporaire n’a pas été régulièrement déchargé, les autorités douanières du pays d’importation accepteront (avant ou après péremption du titre), comme justification de la réexportation de l’embarcation, de l’aéronef ou des pièces détachées, la présentation d’un certificat conforme au modèle figurant à l’annexe 5 de la présente Convention, délivré par une autorité officielle (consul, douane, police, maire, huissier, etc.), et attestant que l’embarcation, l’aéronef ou les pièces détachées précités ont été présentés à ladite autorité et se trouvent hors du pays d’importation. Ces autorités douanières pourront également admettre toute autre justification établissant que l’embarcation, l’aéronef ou les pièces détachées se trouvent hors du pays d’importation. Si le titre d’importation temporaire n’est pas un carnet de passages en douane et s’il n’est pas périmé, ces autorités douanières pourront exiger qu’il leur soit remis à une date antérieure à celle de la constatation de présence de l’embarcation ou de l’aéronef en dehors du territoire d’importation temporaire. S’il s’agit d’un carnet, il sera tenu compte, pour la justification de la réexportation de l’embarcation, de l’aéronef ou des pièces détachées, des visas de passage apposés par les autorités douanières des pays postérieurement visités.

2 En cas de destruction, de perte ou de vol d’un titre d’importation temporaire, qui n’a pas été régulièrement déchargé mais qui se rapporte à une embarcation, à un aéronef ou à des pièces détachées qui ont été réexportés, les autorités douanières du pays d’importation accepteront, comme justification de la réexportation, la présentation d’un certificat conforme au modèle figurant à l’annexe 5 de la présente Convention délivré par une autorité officielle (consul, douane, police, maire, huissier, etc.), et attestant que l’embarcation, l’aéronef ou les pièces détachées précités ont été présentés à ladite autorité et se trouvaient hors du pays d’importation à une date postérieure à la date d’échéance du titre. Elles pourront également admettre toute autre justification établissant que l’embarcation, l’aéronef ou les pièces détachées se trouvent hors du pays d’importation.

3 En cas de destruction, de perte ou de vol d’un carnet de passages en douane survenant lorsque l’embarcation, l’aéronef ou les pièces détachées auxquels ce carnet se rapporte se trouvent sur le territoire d’une des Parties contractantes, les autorités douanières de cette Partie effectueront, à la demande de l’association intéressée, la prise en charge d’un titre de remplacement dont la validité expirera à la date d’expiration de la validité du carnet remplacé. Cette prise en charge annulera la prise en charge effectuée antérieurement sur le carnet détruit, perdu ou volé. Si, en vue de la réexportation de l’embarcation, de l’aéronef ou des pièces détachées, il est délivré, au lieu d’un titre de remplacement, une licence d’exportation ou un document analogue, le visa de sortie apposé sur cette licence ou sur ce document sera accepté comme justification de la réexportation.

4 Lorsqu’une embarcation ou un aéronef est volé après avoir été réexporté du pays d’importation, sans que la sortie ait été régulièrement constatée sur le titre d’importation temporaire et sans que figurent sur le titre des visas d’entrée apposés par les autorités douanières de pays postérieurement visités, ce titre pourra néanmoins être régularisé à condition que l’association garante le présente et fournisse des preuves du vol qui soient jugées satisfaisantes. Si le titre n’est pas périmé, son dépôt pourra être exigé par les autorités douanières.

 

Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.