Droit international 0.9 Économie - Coopération technique 0.97 Développement et coopération
Diritto internazionale 0.9 Economia - Cooperazione tecnica 0.97 Sviluppo e cooperazione

0.975.247.2 Accord du 14 novembre 2006 entre la Confédération suisse et la République du Kenya concernant la promotion et la protection réciproque des investissements

0.975.247.2 Accordo del 14 novembre 2006 tra la Confederazione Svizzera e la Repubblica del Kenya concernente la promozione e la protezione reciproca degli investimenti

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Art. 9 Différends entre une Partie Contractante et un investisseur de l’autre Partie Contractante

(1)  Afin de trouver une solution aux différends relatifs à des investissements entre une Partie Contractante et un investisseur de l’autre Partie Contractante, et sans préjudice de l’art. 10 du présent Accord (Différends entre les Parties Contractantes), des consultations auront lieu entre les parties concernées.

(2)  Si ces consultations n’apportent pas de solution dans les trois mois à compter de la demande écrite de les engager, l’investisseur pourra soumettre le différend soit aux cours ou tribunaux de la Partie Contractante sur le territoire de laquelle l’investissement a été effectué, soit à l’arbitrage international. Dans ce dernier cas, l’investisseur aura le choix entre:

(a)
le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI), institué par la Convention pour le règlement des différends relatifs aux investissements entre Etats et ressortissants d’autres Etats2, ouverte à la signature à Washington le 18 mars 1965 (ci-après la «Convention de Washington»); et
(b)
un tribunal arbitral ad hoc qui, à moins que les parties au différend n’en disposent autrement, sera constitué conformément au règlement d’arbitrage de la Commission des Nations Unies pour le droit commercial international (CNUDCI).

(3)  Chaque Partie Contractante donne son consentement à la soumission à l’arbitrage international de tout différend relatif à un investissement.

(4)  Une société qui a été enregistrée ou constituée conformément aux lois en vigueur sur le territoire d’une Partie Contractante et qui, avant la naissance du différend, était contrôlée par des investisseurs de l’autre Partie Contractante, sera considérée, au sens de l’art. 25, al. (2), let. (b), de la Convention de Washington, comme une société de l’autre Partie Contractante.

(5)  La Partie Contractante qui est partie au différend ne pourra, à aucun moment de la procédure, exciper de son immunité souveraine.

(6)  Aucune Partie Contractante ne poursuivra par la voie diplomatique un différend soumis à l’arbitrage international, à moins que l’autre Partie Contractante ne se conforme pas à la sentence arbitrale.

(7)  La sentence arbitrale sera définitive et obligatoire pour les parties au différend; elle sera exécutée sans délai conformément à la législation de la Partie Contractante concernée.

Art. 9 Controversie tra una Parte contraente e un investitore dell’altra Parte contraente

(1)  Per trovare una soluzione alle controversie in merito a investimenti tra una Parte contraente e un investitore dell’altra Parte contraente, e fatto salvo l’articolo 10 del presente Accordo (Controversie tra le Parti contraenti), le parti interessate procedono a consultazioni.

(2)  Se tali consultazioni non portano a una soluzione entro tre mesi dalla domanda scritta di consultazioni, l’investitore può sottoporre la controversia alle corti o ai tribunali della Parte contraente sul cui territorio è stato effettuato l’investimento, oppure all’arbitrato internazionale. In quest’ultimo caso l’investitore può scegliere tra:

(a)
il Centro internazionale per la composizione delle controversie relative agli investimenti (CIRDI), istituito dalla Convenzione per la composizione delle controversie relative agli investimenti fra Stati e cittadini di altri Stati, aperta alla firma a Washington il 18 marzo 19653 (di seguito la «Convenzione di Washington»); e
(b)
un tribunale arbitrale ad hoc che, salvo accordo contrario tra le parti, è costituito secondo il regolamento d’arbitrato della Commissione delle Nazioni Unite per il diritto commerciale internazionale (CNUDCI).

(3)  Ciascuna Parte contraente acconsente a sottoporre le controversie sugli investimenti all’arbitrato internazionale.

(4)  Una società registrata o costituita conformemente alle leggi vigenti sul territorio di una Parte contraente che, prima dell’insorgere della controversia, era controllata da investitori dell’altra Parte contraente, è considerata società dell’altra Parte contraente conformemente all’articolo 25 paragrafo (2) lettera (b) della Convenzione di Washington.

(5)  La Parte contraente che è parte in causa non può, in nessun momento della procedura, eccepire la propria immunità sovrana.

(6)  Nessuna delle Parti contraenti intenta un’azione per via diplomatica per una controversia sottoposta all’arbitrato internazionale, salvo che l’altra Parte contraente rifiuti di conformarsi alla sentenza arbitrale.

(7)  La sentenza arbitrale è definitiva e vincolante per le parti alla controversia; è eseguita senza differimento conformemente alla legislazione della Parte contraente interessata.

 

Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.