(1) Afin de trouver une solution aux différends relatifs à des investissements entre une Partie Contractante et un national ou une société de l’autre Partie Contractante et sans préjudice de l’art. 10 du présent Accord (Différends entre Parties Contractantes), des consultations auront lieu entre les parties concernées.
(2) Si ces consultations n’apportent pas de solution dans un délai de douze mois à compter de la date de la requête d’entrer en consultations, la Partie Contractante et le national ou la société de l’autre Partie Contractante s’accorderont sur la soumission du différend à la conciliation ou à l’arbitrage respectivement selon les art. 28 et 36 de la Convention de Washington du 18 mars 19651 pour le règlement des différends relatifs aux investissements entre Etats et ressortissants d’autres Etats (ci-après dénommée la Convention).
(3) Si en vertu de l’al. (2) du présent article la Partie Contractante et le national ou la société de l’autre Partie Contractante conviennent de soumettre le différend à la conciliation selon l’art. 28 de la Convention, le différend y sera ainsi soumis.
(4) Si en vertu de l’al. (2) du présent article la Partie Contractante et le national ou la société de l’autre Partie Contractante conviennent de soumettre le différend à l’arbitrage selon l’art. 36 de la Convention, la Partie Contractante peut exiger, comme condition de son consentement à l’arbitrage, que les recours administratifs ou judiciaires internes soient épuisés.
(5) Si en vertu de l’al. (2) du présent article la Partie Contractante et le national ou la société de l’autre Partie Contractante ne parviennent pas à un accord dans un délai de trois mois à compter de la fin du délai mentionné à l’al. (2) du présent article sur la soumission du différend à la conciliation ou à l’arbitrage respectivement selon les art. 28 et 36 de la Convention, la Partie Contractante donne, aux fins de l’art. 36 de la Convention, son consentement au national ou à la société de l’autre Partie Contractante qui soumet le différend à l’arbitrage selon ledit article, pour autant que les recours internes soient épuisés conformément au droit international.
(6) La Partie Contractante qui est partie au différend ne peut, à aucune étape de la procédure de règlement ou de l’exécution d’une sentence, exciper du fait que le national ou la société qui est l’autre partie au différend a reçu en vertu d’un contrat d’assurance une indemnité pour tout ou partie de ses pertes.
(7) Une société qui a été enregistrée ou constituée conformément à la législation en vigueur sur le territoire de la Partie Contractante et qui, avant la naissance du différend, était sous le contrôle de nationaux ou sociétés de l’autre Partie Contractante, est considérée, aux termes de l’art. 25 (2) (b) de la Convention, comme une société de cette dernière.
(8) Aucune Partie Contractante ne poursuivra par la voie diplomatique un différend soumis au Centre, à moins que
(1) Per trovare una soluzione alle controversie in merito agli investimenti tra una Parte contraente e un cittadino o una società dell’altra Parte contraente e impregiudicato l’articolo 10 del presente Accordo (Controversie tra Parti contraenti), le parti interessate procedono a consultazioni.
(2) Se tali consultazioni non portassero ad alcuna soluzione entro dodici mesi dalla data di richiesta delle consultazioni, la Parte contraente e il cittadino o società dell’altra Parte contraente si accordano per sottoporre la controversia alla conciliazione o all’arbitrato di cui rispettivamente agli articoli 28 e 36 della Convenzione di Washington del 18 marzo 19652 per la composizione delle controversie relative agli investimenti fra Stati e cittadini di altri Stati (detta qui di seguito Convenzione).
(3) Se, in virtù del paragrafo (2) del presente articolo, la Parte contraente e il cittadino o la società dell’altra Parte contraente convengono di sottoporre la controversia all’arbitrato di cui all’articolo 28 della Convenzione, la controversia è sottoposta all’arbitrato.
(4) Se, in virtù del paragrafo 2 del presente articolo, la Parte contraente e il cittadino o la società dell’altra Parte contraente convengono di sottoporre la controversia all’arbitrato di cui all’articolo 36 della Convenzione, la Parte contraente può esigere, come condizione del suo consenso che i ricorsi amministrativi o giudiziari interni siano esauriti.
(5) Se, in virtù del paragrafo (2) del presente articolo, la Parte contraente e il cittadino o la società dell’altra Parte contraente non giungono a un accordo entro tre mesi dalla fine del termine menzionato al paragrafo (2) del presente articolo sulla sottomissione della controversia alla conciliazione o all’arbitrato di cui rispettivamente agli articoli 28 e 36 della Convenzione, la Parte contraente dà, ai fini dell’articolo 36 della Convenzione, il proprio consenso al cittadino o alla società dell’altra Parte contraente che sottopone la controversia all’arbitrato secondo detto articolo, sempre che i ricorsi interni siano esauriti conformemente al diritto internazionale.
(6) La Parte contraente che è parte in causa non può, in nessun momento della procedura di composizione o di esecuzione della sentenza, eccepire il fatto che il cittadino o la società controparte ha ottenuto un indennizzo totale o parziale dei danni in virtù di un contratto di assicurazione.
(7) Una società registrata o costituita conformemente alla legislazione in vigore sul territorio della Parte contraente e che prima dell’insorgere della controversia era controllata da cittadini o da società dell’altra Parte contraente, è considerata società di quest’ultima in conformità all’articolo 25 (2) (b) della Convenzione.
(8) Nessuna Parte contraente proseguirà per via diplomatica una controversia sottoposta al Centro, salvo che:
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.