Droit international 0.7 Travaux publics - Énergie - Transports et communications 0.74 Transports et communications
Diritto internazionale 0.7 Lavori pubblici - Energie - Trasporti e comunicazioni 0.74 Trasporti e comunicazioni

0.748.127.191.49 Accord du 4 juillet 2009 entre le Conseil fédéral suisse et le Royaume d'Arabie Saoudite relatif aux services aériens réguliers (avec annexe)

0.748.127.191.49 Accordo del 4 luglio 2009 tra il Consiglio federale svizzero e il Regno dell'Arabia Saudita concernente il traffico aereo di linea (con allegato)

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Art. 12 Sécurité

1.  Les certificats de navigabilité, brevets d’aptitude et licences délivrés ou validés par une Partie contractante et toujours en vigueur sont reconnus valables par l’autre Partie contractante aux fins de l’exploitation des services convenus sur les routes spécifiées si ces certificats ont été délivrés et validés en conformité avec les normes minimales établies conformément à la Convention.

2.  Chaque Partie contractante se réserve cependant le droit de ne pas reconnaître, pour le survol de son propre territoire, les brevets d’aptitude et les licences accordés à ses propres ressortissants par l’autre Partie contractante.

3.  Chaque Partie contractante peut demander des consultations au sujet des normes de sécurité adoptées par l’autre Partie contractante dans des domaines qui se rapportent aux installations et services aéronautiques, aux équipages de conduite, aux aéronefs et à l’exploitation des aéronefs par les entreprises désignées. Si, à la suite de telles consultations, une des Parties contractantes découvre que l’autre Partie contractante n’adopte ni n’assure effectivement le suivi de normes et exigences de sécurité dans ces domaines, qui soient au moins égales aux normes minimales qui pourraient être établies conformément à la Convention, l’autre Partie contractante sera avisée de ces conclusions et des démarches qui sont estimées nécessaires afin de se conformer à ces normes minimales, et l’autre Partie contractante prendra les mesures correctives qui s’imposent.

4.  Chaque Partie contractante se réserve le droit de suspendre ou de modifier la licence d’exploitation des entreprises désignées de l’autre Partie contractante si cette dernière n’adopte pas lesdites mesures correctives dans un délai approprié.

5.  Conformément à l’art. 16 de la Convention, tout aéronef exploité ou tout aéronef qui n’est pas la propriété des entreprises désignées de l’une ou de l’autre des Parties contractantes conformément aux dispositions du présent Accord en matière de désignation et qui est utilisé pour exploiter, conformément aux dispositions du présent Accord, des services aériens en provenance ou à destination du territoire de l’autre Partie contractante par le biais d’accords de location avec un autre transporteur aérien appartenant à l’Etat de l’une ou de l’autre Partie contractante ou à un Etat tiers, peut faire l’objet d’une visite par les représentants autorisés de l’autre Partie contractante. Nonobstant les obligations mentionnées à l’art. 33 de la Convention, l’objet de cette visite est de vérifier la validité des documents pertinents de l’aéronef, les licences de son équipage et que l’équipement de l’aéronef et son état sont conformes aux normes en vigueur conformément à la Convention, à condition que cela n’entraîne pas de retard déraisonnable dans l’exploitation de l’aéronef.

6.  Lorsqu’une action immédiate est indispensable pour assurer la sécurité de l’exploitation d’une entreprise, chacune des Parties contractantes se réserve le droit de suspendre immédiatement l’autorisation d’exploitation d’une ou des entreprises de l’autre Partie contractante.

7.  Toute mesure appliquée par une Partie contractante en conformité avec les par. 4 et 6 ci-dessus sera rapportée dès que les faits motivant cette mesure auront cessé d’exister.

Art. 12 Sicurezza

1.  Per l’esercizio dei servizi aerei internazionali previsti nel presente Accordo, ciascuna Parte riconosce come validi i certificati di navigabilità, i brevetti di idoneità e le licenze rilasciati o riconosciuti dall’altra Parte e ancora validi, a condizione che le esigenze per il rilascio o il riconoscimento di questi documenti corrispondano almeno alle esigenze minime stabilite in base alla Convenzione.

2.  Ciascuna Parte può tuttavia rifiutare di riconoscere, per i voli effettuati sopra il suo territorio, i brevetti di idoneità e le licenze rilasciati ai propri cittadini dall’altra Parte.

3.  Ciascuna Parte può domandare consultazioni sulle norme di sicurezza applicate dall’altra Parte agli impianti aeroportuali, all’equipaggio, agli aeromobili o al loro esercizio da parte delle imprese designate. Se dopo siffatte consultazioni una Parte ritiene che in questi campi l’altra Parte non mantenga né applichi efficacemente gli standard e le esigenze di sicurezza corrispondenti almeno agli standard minimi che possono essere stabiliti in base alla Convenzione, la Parte interessata notifica all’altra Parte queste constatazioni e i passi necessari per soddisfare questi standard minimi e quest’altra Parte deve prendere adeguate misure per rimediarvi.

4.  Nel caso in cui l’altra Parte non prenda entro un tempo adeguato siffatte misure correttive, ciascuna Parte si riserva il diritto di sospendere, revocare o rifiutare l’autorizzazione d’esercizio per le imprese designate dall’altra Parte.

5.  In virtù dell’articolo 16 della Convenzione, ogni aeromobile esercitato o ogni aeromobile non appartenente alle imprese designate di una Parte e utilizzato per esercitare i servizi convenuti in conformità alle disposizioni del presente Accordo verso o a partire dal territorio dell’altra Parte attraverso un contratto di leasing con un’altra impresa di trasporti aerei appartenente allo Stato di una delle Parti o a uno Stato terzo, può essere fatto oggetto di un’ispezione da parte dei competenti rappresentanti dell’altra Parte. A prescindere dagli obblighi di cui all’articolo 33 della Convenzione, lo scopo dell’ispezione è di appurare la validità dei documenti dell’aeromobile e delle licenze degli equipaggi e di garantire che le attrezzature dell’aeromobile e il relativo stato corrispondono in quel dato momento agli standard previsti dalla Convenzione, a condizione che tali controlli non causino un ritardo eccessivo all’esercizio dell’aeromobile.

6.  Ciascuna Parte si riserva il diritto di sospendere immediatamente l’autorizzazione d’esercizio di un’impresa o di imprese dell’altra Parte se sono necessarie misure urgenti per garantire la sicurezza di un’operazione di volo.

7.  Tutte le misure adottate in conformità con i paragrafi 4 e 6 del presente articolo sono abrogate non appena i fatti che hanno condotto all’adozione di tali misure non sussistono più.

 

Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.