Droit international 0.7 Travaux publics - Énergie - Transports et communications 0.74 Transports et communications
Diritto internazionale 0.7 Lavori pubblici - Energie - Trasporti e comunicazioni 0.74 Trasporti e comunicazioni

0.747.331.53 Convention de 1976 sur la limitation de la responsabilité en matière de créances maritimes, du 19 novembre 1976

0.747.331.53 Convenzione del 1976 sulla limitazione della responsabilità in materia di rivendicazioni marittime, del 19 novembre 1976

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Art. 8 Unité de compte

1. L’unité de compte visée aux art. 6 et 7 est le Droit de Tirage spécial tel que défini par le Fonds monétaire international. Les montants mentionnés aux art. 6 et 7 sont convertis dans la monnaie nationale de l’État dans lequel la limitation de la responsabilité est invoquée; la conversion s’effectue suivant la valeur de cette monnaie à la date où le fonds a été constitué, le paiement effectué ou la garantie équivalente fournie conformément à la loi de cet État. La valeur, en Droit de Tirage spécial, de la monnaie nationale d’un État Partie qui est membre du Fonds monétaire international, est calculée selon la méthode d’évaluation appliquée par le fonds monétaire international à la date en question pour ses propres opérations et transactions. La valeur, en Droit de tirage spécial, de la monnaie nationale d’un État Partie qui n’est pas membre du Fonds monétaire international, est calculée de la façon déterminée par cet État Partie.

2. Toutefois, les États qui ne sont pas membres du Fonds monétaire international et dont la législation ne permet pas d’appliquer les dispositions du par. 1 peuvent, au moment de la signature sans réserve quant à la ratification, l’acceptation ou l’approbation, ou au moment de la ratification, de l’acceptation, de l’approbation ou de l’adhésion, ou encore à tout moment par la suite, déclarer que les limites de la responsabilité prévues dans la présente Convention et applicables sur leur territoire sont fixées comme suit:

a)
en ce qui concerne l’al. a) du par. 1 de l’art. 6:
i)
à 5 millions d’unités monétaires pour un navire dont la jauge ne dépasse pas 500 tonneaux;
ii)
pour un navire dont la jauge dépasse le chiffre ci-dessus, au montant suivant qui vient s’ajouter au montant indiqué à l’alinéa i): pour chaque tonneau de 501 à 3000 tonneaux, 7500 unités monétaires; 
pour chaque tonneau de 3001 à 30 000 tonneaux, 5000 unités monétaires;
pour chaque tonneau de 30 001 à 70 000 tonneaux, 3750 unités monétaires; et pour chaque tonneau au-dessus de 70 000 tonneaux, 2500 unités monétaires, et
b)
en ce qui concerne l’al. b) du par. 1 de l’art. 6:
i)
à 2,5 millions d’unités monétaires pour un navire dont la jauge ne dépasse pas 500 tonneaux;
ii)
pour un navire dont la jauge dépasse le chiffre ci-dessus, au montant suivant qui vient s’ajouter au montant indiqué à l’al. i): pour chaque tonneau de 501 à 30 000 tonneaux, 2500 unités monétaires;
pour chaque tonneau de 30 001 à 70 000 tonneaux, 1850 unités monétaires; et pour chaque tonneau au-dessus de 70 000 tonneaux, 1250 unités monétaires, et
c)
en ce qui concerne le par. 1 de l’art. 7 à un montant de 700 000 unités monétaires multiplié par le nombre de passagers que le navire est autorisé à transporter conformément à son certificat, mais ne dépassant pas 375 millions d’unités monétaires.

Les par. 2 et 3 de l’art. 6 s’appliquent en conséquence aux al. a) et b) du présent paragraphe.

3. L’unité monétaire visée au par. 2 correspond à soixante-cinq milligrammes et demi d’or au titre de neuf cents millièmes de fin. La conversion en monnaie nationale des montants indiqués au par. 2 s’effectue conformément à la législation de l’État en cause.

4. Le calcul mentionné à la dernière phrase du par. 1 et la conversion mentionnée au par. 3 doivent être faits de façon à exprimer en monnaie nationale de l’État Partie la même valeur réelle, dans la mesure du possible, que celle exprimée en unités de compte dans les art. 6 et 7. Au moment de la signature sans réserve quant à la ratification, l’acceptation ou l’approbation, ou lors du dépôt de l’instrument visé à l’art. 16, et chaque fois qu’un changement se produit dans leur méthode de calcul ou dans la valeur de leur monnaie nationale par rapport à l’unité de compte ou à l’unité monétaire, les États Parties communiquent au dépositaire leur méthode de calcul conformément au par. 1, ou les résultats de la conversion conformément au par. 3, selon le cas.

Art. 8 Unità di Conto

1. L’Unità di Conto di cui agli articoli 6 e 7 è il Diritto Speciale di Prelievo come definito al Fondo Monetario Internazionale. Gli ammontari menzionati negli articoli 6 e 7 verranno convertiti nella valuta nazionale dello Stato in cui viene richiesta la limitazione di responsabilità conformemente al valore di tale valuta alla data in cui è stato costituito il fondo di limitazione, effettuato il pagamento, o è stata data una garanzia che, in base alla legislazione di tale Stato, è equivalente al pagamento. Il valore della valuta nazionale in termini di Diritto Speciale di Prelievo di uno Stato Parte che sia membro del Fondo Monetario Internazionale verrà calcolato con il metodo di valutazione applicato dal Fondo Monetario Internazionale, in vigore alla data in questione, per le sue operazioni e transazioni. Il valore di una valuta nazionale, in termini di Diritto Speciale di Prelievo di uno Stato Parte che non sia membro del Fondo Monetario Internazionale verrà calcolato nel modo fissato da tale Stato Parte.

2. Ciò nonostante, gli Stati che non sono membri del Fondo Monetario Internazionale e la cui legislazione non permetta l’applicazione delle disposizioni del paragrafo 1 potranno, al momento della firma senza riserva per quanto attiene alla ratifica, accettazione o approvazione, o al momento della ratifica, accettazione o approvazione o adesione, o in qualsiasi momento successivo, dichiarare che i limiti della responsabilità previsti dalla presente Convenzione da applicare nel proprio territorio vengono fissati come segue:

a)
per quanto riguarda l’articolo 6 paragrafo 1 lettera a) ad un ammontare di:
i)
5 milioni di unità monetarie per una nave di tonnellaggio non superiore alle 500 tonnellate;
ii)
per una nave di tonnellaggio superiore, l’ammontare che segue in aggiunta a quello citato al punto i): per ogni tonnellata dalle 501 alle 3000 tonnellate, 7500 unità monetarie; per ogni tonnellata dalle 3001 alle 30 000 tonnellate, 5000 unità monetarie; per ogni tonnellata dalle 30 001 alle 70 000 tonnellate, 3750 unità monetarie; e
per ogni tonnellata superiore alle 70 000 tonnellate, 2500 unità monetarie; e
b)
per quanto riguarda l’articolo 6 paragrafo 1 lettera b), ad un ammontare di:
i)
2,5 milioni di unità monetarie per una nave di tonnellaggio non superiore alle 500 tonnellate;
ii)
per una nave con un tonnellaggio superiore, l’ammontare che segue in aggiunta a quello citato al punto i): per ogni tonnellata dalle 501 alle 30 000 tonnellate, 2500 unità monetarie; per ogni tonnellata dalle 30 001 alle 70 000, 1850 unità monetarie; e per ogni tonnellata superiore alle 70 000 tonnellate, 1250 unità monetarie; e
c)
per quanto riguarda l’articolo 7 paragrafo 1 ad un ammontare di 700 000 unità monetarie moltiplicate per il numero di passeggeri che la nave è autorizzata a trasportare in base al suo certificato, ma non superiore a 375 milioni di unità monetarie.

I paragrafi 2 e 3 dell’articolo 6 si applicano in conformità ai comma a) e b) del presente paragrafo.

3. L’unità monetaria di cui al paragrafo 2 corrisponde a sessantacinque milligrammi e mezzo di oro fino a titolo novecento. La conversione degli ammontari di cui al paragrafo 2 nella valuta nazionale verrà effettuata conformemente alla legislazione dello Stato interessato.

4. Il calcolo di cui all’ultima frase del paragrafo 1 e la conversione di cui al paragrafo 3 verranno effettuati in modo tale da esprimere nella valuta nazionale dello Stato Parte il valore reale più vicino possibile agli ammontari degli articoli 6 e 7 ivi espressi in unità di conto. Gli Stati Parte dovranno comunicare al depositario il metodo di calcolo in ottemperanza al paragrafo 1, o il risultato della conversione di cui al paragrafo 3, a seconda dei caso, al momento della firma senza riserva per quanto attiene alla notifica, accettazione o approvazione, o al momento dei deposito di uno strumento di cui all’articolo 16, ed ogni qualvolta vi sia un cambiamento nel metodo di calcolo o nel risultato della conversione.

 

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