1. Les nationaux d’un État contractant ne sont soumis dans l’autre État contractant à aucune imposition ou obligation y relative, qui est autre ou plus lourde que celle à laquelle sont ou pourront être assujettis les nationaux de cet autre État se trouvant dans la même situation.
2. Le terme «nationaux» désigne:
3. L’imposition d’un établissement stable qu’une entreprise d’un État contractant a dans l’autre État contractant n’est pas établie dans cet autre État d’une façon moins favorable que l’imposition des entreprises de cet autre État qui exercent la même activité.
3A. À moins que les dispositions de l’art. 8, du par. 5 de l’art. 916, du par. 4 de l’art. 10 ou du par. 4 de l’art. 11 ne soient applicables, les intérêts, redevances et autres dépenses payés par une entreprise d’un État contractant à un résident de l’autre État contractant sont déductibles, pour la détermination des bénéfices imposables de cette entreprise, dans les mêmes conditions que s’ils avaient été payés à un résident du premier État. De même, les dettes d’une entreprise d’un État contractant envers un résident de l’autre État contractant sont déductibles, pour la détermination de la fortune imposable de cette entreprise, dans les mêmes conditions que si elles avaient été contractées envers un résident du premier État.17
4. Les entreprises d’un État contractant, dont le capital est en totalité ou en partie, directement ou indirectement, détenu ou contrôlé par un ou plusieurs résidents de l’autre État contractant, ne sont soumises dans le premier État contractant à aucune imposition ou obligation y relative, qui est autre ou plus lourde que celle à laquelle sont ou pourront être assujetties les autres entreprises de même nature de ce premier État.
5. Les dispositions du présent article ne peuvent être interprétées comme obligeant un État contractant à accorder aux résidents de l’autre État contractant les déductions personnelles, abattements et réductions d’impôt en fonction de la situation ou des charges familiales qu’il accorde à ses propres résidents.18
6. Le terme «imposition» désigne dans le présent article les impôts de toute nature ou dénomination.
16 Nouvelle expression selon l’art. IV par. 1 du Prot. du 26 janv. 2012, approuvé par l’Ass. féd. le 21 juin 2013, en vigueur depuis le 14 nov. 2013 (RO 2013 4349 4347; FF 2012 5317).
17 Introduit par l’art. VII du Prot. du 24 oct. 1980, approuvé par l’Ass. féd. le 16 déc. 1981, en vigueur depuis le 25 avril 1984 (RO 1984 522 521; FF 1981 II 625).
18 Nouvelle teneur selon l’art. IV par. 2 du Prot. du 26 janv. 2012, approuvé par l’Ass. féd. le 21 juin 2013, en vigueur depuis le 14 nov. 2013 (RO 2013 4349 4347; FF 2012 5317).
1. I cittadini di uno Stato contraente non sono assoggettati nell’altro Stato contraente ad alcuna imposizione od obbligo ad essa inerente, diversi o più onerosi di quelli cui sono o potranno essere assoggettati i cittadini di detto altro Stato trovantisi nelle medesime condizioni.
2. Il termine «cittadini» designa:
3. L’imposizione di una stabile organizzazione che un’impresa di uno Stato contraente ha nell’altro Stato contraente non può essere in questo altro Stato contraente meno favorevole dell’imposizione a carico delle imprese di detto altro Stato contraente che svolgono la medesima attività.
3A. Fatta salva l’applicazione delle disposizioni dell’articolo 8, del paragrafo 5 dell’articolo 916, del paragrafo 4 dell’articolo 10 o del paragrafo 4 dell’articolo 11, gli interessi, i diritti di licenza ed altre spese pagati da un’impresa di uno Stato contraente a un residente dell’altro Stato contraente sono deducibili, ai fini della determinazione degli utili imponibili di tale impresa, alle stesse condizioni in cui sarebbero deducibili se fossero pagati a un residente del primo Stato. Parimenti, i debiti di un’impresa di uno Stato contraente nei confronti di un residente dell’altro Stato contraente sono deducibili, ai fini della determinazione della sostanza imponibile di tale impresa, alle stesse condizioni in cui sarebbero deducibili se fossero contratti nei confronti di un residente del primo Stato.17
4. Le imprese di uno Stato contraente, il cui capitale è, in tutto o in parte, direttamente o indirettamente, posseduto o controllato da uno o più residenti dell’altro Stato contraente, non sono assoggettate nel primo Stato contraente ad alcuna imposizione od obbligo ad essa inerente, diversi o più onerosi di quelli cui sono o potranno essere assoggettate le altre imprese dello stesso genere del primo Stato.
5. Le disposizioni del presente articolo non possono essere interpretate nel senso che facciano obbligo a uno Stato contraente di accordare ai residenti dell’altro Stato contraente le deduzioni personali, le esenzioni e le deduzioni d’imposta che esso accorda ai propri residenti in relazione alla loro situazione o ai loro oneri di famiglia.18
6. Ai fini del presente articolo il termine «imposizione» designa le imposte di ogni genere e denominazione.
16 Nuova espr. giusta l’art. IV cpv. 1 del Prot. del 26 gen. 2012, approvato dall’AF il 21 giu. 2013, in vigore dal 14 nov. 2013 (RU 2013 4349 4347; FF 2012 5065).
17 Introdotto dall’art. VII del Prot. del 24 ott. 1980, approvato dall’AF il 16 dic. 1981, in vigore dal 25 apr. 1984 (RU 1984 522 521; FF 1981 II 625).
18 Nuovo testo giusta l’art. IV cpv. 2 del Prot. del 26 gen. 2012, approvato dall’AF il 21 giu. 2013, in vigore dal 14 nov. 2013 (RU 2013 4349 4347; FF 2012 5065).
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