1. La preuve de la nationalité au sens de l’art. 2, par. 1, et de l’art. 4, par. 1, sera fournie, en particulier, au moyen des documents énumérés à l’art. 1 du Protocole d’application, même si leur période de validité a expiré. Si ces documents sont présentés, la Suisse et le Monténégro reconnaissent mutuellement la nationalité de l’intéressé sans exiger une enquête complémentaire. La preuve de la nationalité ne peut être fournie au moyen de faux documents.
2. Les éléments de preuve de la nationalité au sens de l’art. 2, par. 1, et de l’art. 4, par. 1, peuvent être fournis, en particulier, au moyen des documents énumérés à l’art. 2 du Protocole d’application et ce, même si leur période de validité a expiré. Si ces documents sont présentés, la Suisse et le Monténégro considèrent que la nationalité est établie, à moins qu’elles ne puissent prouver le contraire. Les éléments de preuve de la nationalité ne peuvent être apportés au moyen de faux documents.
3. Si aucun des documents énumérés à l’art. 1 ou 2 du Protocole d’application ne peut être présenté, les représentations diplomatiques et consulaires compétentes de l’Etat requis prennent, sur demande, les dispositions nécessaires avec l’autorité compétente de l’Etat requérant pour s’entretenir avec la personne à réadmettre, dans un délai raisonnable – soit au plus tard dans les 3 jours ouvrables à compter de la date de la demande – afin de contribuer à établir sa nationalité.
4. En cas de besoin, l’Etat requis peut, sur demande de l’Etat requérant, envoyer sur le territoire de l’Etat requérant des personnes compétentes de l’autorité chargée de l’application du présent Accord afin d’établir la nationalité des personnes présumées citoyennes de l’Etat requis. Tous les frais en découlant sont à la charge de l’Etat requérant.
1. La cittadinanza ai sensi dell’articolo 2 paragrafo 1 e dell’articolo 4 paragrafo 1 può essere comprovata, in particolare, con i documenti elencati nell’articolo 1 del Protocollo d’applicazione, ancorché scaduti. Se vengono presentati tali documenti, la Svizzera e il Montenegro riconoscono reciprocamente la cittadinanza senza che siano necessarie ulteriori verifiche. La cittadinanza non può essere comprovata con documenti falsi.
2. La cittadinanza ai sensi dell’articolo 2 paragrafo 1 e dell’articolo 4 paragrafo 1 può essere resa verosimile, in particolare, con i documenti elencati nell’articolo 2 del Protocollo d’applicazione, ancorché scaduti. Se vengono presentati tali documenti, la Svizzera e il Montenegro ritengono accertata la cittadinanza, sempre che non possano provare il contrario. La cittadinanza non può essere resa verosimile con documenti falsi.
3. Se non può essere presentato nessuno dei documenti di cui agli articoli 1 o 2 del Protocollo d’applicazione, la rappresentanza diplomatica o consolare competente si accorda, su richiesta, con la competente autorità dello Stato richiedente per interrogare senza indugio, al più tardi entro tre giorni lavorativi dalla richiesta, la persona da riammettere onde contribuire a stabilirne la cittadinanza.
4. All’occorrenza, lo Stato richiesto può, su istanza dello Stato richiedente, inviare sul territorio dello Stato richiedente collaboratori competenti dell’autorità incaricata di attuare il presente Accordo, al fine di accertare la cittadinanza dei presunti cittadini dello Stato richiesto. In tal caso tutte le spese sono a carico dello Stato richiedente.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.