1. À la demande de l’État requérant et sans autres formalités que celles prévues dans le présent Accord, l’État requis réadmet sur son territoire toute personne qui ne remplit pas, ou ne remplit plus, les conditions d’entrée ou de séjour applicables sur le territoire de l’État requérant s’il est prouvé, ou peut être raisonnablement présumé sur la base des éléments de preuve fournis, conformément à l’art. 8 du présent Accord, que ladite personne:
2. L’obligation de réadmission énoncée au par. 1 du présent article ne s’applique pas dans les cas suivants:
3. Lorsque l’État requis a fait droit à la demande de réadmission ou, le cas échéant, à l’expiration des délais prévus à l’art. 9, par. 2, les autorités de l’État requis délivrent si nécessaire à la personne dont la réadmission a été acceptée, dans un délai de cinq jours ouvrables, le document de voyage national d’urgence requis pour son retour, d’une durée de validité de six mois.
4. Si, pour des raisons juridiques ou factuelles, la personne à réadmettre ne peut pas être transférée au cours de la période de validité du document de voyage national d’urgence délivré initialement, les autorités de l’État requérant prolongent, dans un délai de cinq jours ouvrables, la validité du document ou, le cas échéant, en délivrent un nouveau sans autres formalités.
1. Lo Stato richiesto riammette, su istanza dello Stato richiedente e senza ulteriori adempimenti rispetto a quelli previsti dal presente Accordo, tutti i cittadini di Paesi terzi che non soddisfano o non soddisfano più le condizioni di entrata o di soggiorno legale nel territorio dello Stato richiedente, purché sia comprovato o vi sia la fondata presunzione sulla base degli elementi prima facie forniti conformemente all’articolo 8 del presente Accordo, che queste persone:
2. L’obbligo di riammissione di cui al paragrafo 1 non si applica se:
3. Dopo che lo Stato richiesto ha accolto la domanda di riammissione o, se del caso, scaduti i termini di cui all’articolo 9 paragrafo 2, le autorità dello Stato richiesto rilasciano, se necessario, entro cinque giorni lavorativi, il documento di viaggio nazionale d’emergenza, valido per sei mesi, richiesto per il suo ritorno.
4. Qualora sia impossibile, a causa di ostacoli giuridici o effettivi, rinviare l’interessato entro il termine di validità del documento di viaggio nazionale d’emergenza rilasciato inizialmente, lo Stato richiesto, entro cinque giorni lavorativi, estende la validità di tale documento di viaggio o, se necessario, ne rilascia senza ulteriori formalità uno nuovo con lo stesso periodo di validità.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.