1. Si la nationalité ne peut être prouvée ou démontrée de manière crédible à l’aide des documents présentés, les représentations consulaires de la Partie requise procèdent à une audition du présumé dans les établissements pénitentiaires, les centres de détention ou de rétention ou dans tout autre endroit approprié agréé par les deux Parties.
2. Lorsque l’audition de la personne concernée, par les représentations consulaires de la Partie requise, établit sa nationalité, celles-ci délivrent un laissez-passer.
3. Lorsque l’audition de la personne concernée, par les représentations consulaires de la Partie requise, conclut à une forte présomption de la nationalité, un laissez-passer est en principe délivré, après consultation des autorités centrales compétentes.
4. Si la Partie requérante se trouve en possession d’autres moyens de preuve d’établissement de la nationalité ou de sa présomption, elle les fait parvenir, sans délai, à la Partie requise. Si cette dernière ne se voit pas en mesure d’accepter ces moyens de preuve ou de présomption, elle en informe, sans délai et en indiquant les motifs, les autorités compétentes de la Partie requérante.
1. Se la cittadinanza non può essere provata o dimostrata in modo credibile con l’ausilio dei documenti presentati, le rappresentanze consolari della Parte richiesta procedono all’audizione della persona la cui cittadinanza è presunta nei penitenziari, nei centri di detenzione o di trattenimento oppure in un altro posto idoneo accettato dalle due Parti.
2. Qualora, in seguito all’audizione della persona interessata da parte delle rappresentanze consolari della Parte richiesta, si stabilisca la sua cittadinanza, queste le rilasciano un lasciapassare.
3. Qualora, in seguito all’audizione della persona interessata da parte delle rappresentanze consolari della Parte richiesta, si concluda per una forte presunzione della cittadinanza, di principio le è rilasciato un lasciapassare, dopo consultazione delle autorità centrali competenti.
4. Se è in possesso di altri mezzi probatori per stabilire o presumere la cittadinanza, la Parte richiedente li trasmette, senza indugio, alla Parte richiesta. Se ritiene di non poter accettare questi mezzi probatori o di presunzione, quest’ultima informa le autorità competenti della Parte richiedente, senza indugio e indicandone i motivi.
Ceci n’est pas une publication officielle. Seule la publication opérée par la Chancellerie fédérale fait foi. Ordonnance sur les publications officielles, OPubl.
Il presente documento non è una pubblicazione ufficiale. Fa unicamente fede la pubblicazione della Cancelleria federale. Ordinanza sulle pubblicazioni ufficiali, OPubl.