1 En cas d’incapacité de travail pour cause de maladie ou d’accident après la période d’essai, la fondation continue à verser le salaire comme suit:
2 En cas d’incapacité de travail ou d’incapacité de prendre ses vacances pour cause de maladie ou d’accident, le collaborateur doit informer sans délai son supérieur direct. Si l’incapacité dure plus de trois jours ouvrables, il doit présenter un certificat médical. Dans des cas particuliers, la fondation peut exiger un certificat médical dès le premier jour de maladie. Les vacances ou les jours de congé peuvent être compensés dans la mesure où le collaborateur peut présenter un certificat médical valable dès le premier jour (à l’étranger, le certificat doit si possible être établi par un hôpital). La fondation (ou l’assurance d’indemnités journalières) peut demander un examen par un médecin-conseil.
3 Pour couvrir le risque de maladie, la fondation souscrit une assurance collective d’indemnités journalières qui offre les conditions suivantes:
4 Lorsque l’obligation de verser le salaire conformément à l’al. 1 prend fin, le collaborateur perd tout droit au versement du salaire, indépendamment de la poursuite des rapports de travail. Lorsqu’un collaborateur a repris intégralement le travail pendant au moins douze mois sans interruption et qu’il connaît une rechute ou une nouvelle incapacité de travail, celle-ci est traitée comme un nouveau cas et il a de nouveau droit au versement de son salaire conformément à l’al. 1.
5 Au terme des rapports de travail, les collaborateurs engagés pour une durée déterminée ne peuvent prétendre qu’aux prestations de l’assurance d’indemnités journalières, le cas échéant.
6 Les collaborateurs s’acquittent d’une contribution s’élevant à un tiers des primes de l’assurance d’indemnités journalières en cas de maladie. Les primes de l’assurance contre les accidents non professionnels sont prises en charge pour un tiers par la fondation et pour deux tiers par les collaborateurs. Ces deux primes sont déduites du salaire mensuel.
7 En ce qui concerne le droit au salaire en cas de maladie ou d’accident, l’art. 324a CO9 est réservé.
1 Bei Eintritt einer Arbeitsverhinderung wegen Krankheit oder Unfall nach Ablauf der Probezeit bezahlt die Stiftung den Lohn wie folgt weiter:
2 Die oder der Mitarbeitende muss der vorgesetzten Person eine Arbeitsverhinderung oder eine Ferienunfähigkeit wegen Krankheit und Unfall unverzüglich melden. Dauert die Arbeitsunfähigkeit länger als drei Kalendertage, so hat sie oder er ein Arztzeugnis einzureichen. In besonderen Fällen kann die Stiftung für Absenzen ab dem ersten Krankheitstag ein Arztzeugnis verlangen. Ferien oder Ferientage können nachbezogen werden, sofern die Ferienunfähigkeit vom ersten Tag an durch ein Arztzeugnis (im Ausland wenn möglich ein von einem Spital ausgestelltes Zeugnis) nachgewiesen wird. Die Stiftung (oder der Taggeldversicherer) kann eine Untersuchung durch einen Vertrauensarzt oder eine Vertrauensärztin veranlassen.
3 Die Stiftung schliesst für ihre Leistungen bei Krankheit eine Kollektiv-Taggeldversicherung mit folgenden Bedingungen ab:
4 Nach Ablauf der Lohnfortzahlung nach Absatz 1 besteht unabhängig vom Weiterbestehen des Arbeitsverhältnisses kein Anspruch mehr auf Lohnzahlung durch die Stiftung. Nach vollständiger Wiederaufnahme der Arbeit während mindestens zwölf Monaten (ohne Unterbruch) gilt bei Krankheit ein Rückfall oder eine neue Arbeitsunfähigkeit als neuer Fall, und es besteht wiederum ein voller Anspruch nach Absatz 1.
5 Bei befristeten Arbeitsverhältnissen besteht nach Beendigung des Arbeitsverhältnisses nur noch der Anspruch auf allfällige Leistungen des Taggeldversicherers.
6 Die Mitarbeitenden beteiligen sich zu einem Drittel an den Prämien der Krankentaggeldversicherung. Die Prämien der Nichtberufsunfallversicherung werden zu einem Drittel von der Stiftung und zu zwei Dritteln von den Mitarbeitenden getragen. Beide Prämien werden monatlich vom Lohn abgezogen.
7 Für den Lohnanspruch bei Krankheit und Unfall bleibt Artikel 324a OR9 vorbehalten.
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Dies ist keine amtliche Veröffentlichung. Massgebend ist allein die Veröffentlichung durch die Bundeskanzlei.