Droit interne 4 École - Science - Culture 44 Langues. Arts. Culture
Landesrecht 4 Schule - Wissenschaft - Kultur 44 Sprache. Kunst. Kultur

442.132.3 Ordonnance du 27 octobre 2011 du Conseil de fondation sur le personnel de la fondation Pro Helvetia (Ordonnance sur le personnel de Pro Helvetia)

442.132.3 Verordnung vom 27. Oktober 2011 des Stiftungsrates der Stiftung Pro Helvetia für das Personal der Stiftung Pro Helvetia (Personalverordnung Pro Helvetia)

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Art. 9 Droit au salaire en cas de maladie ou d’accident

1 En cas d’incapacité de travail pour cause de maladie ou d’accident après la période d’essai, la fondation continue à verser le salaire comme suit:

a.
100 % du salaire durant les douze premiers mois;
b.
80 % du salaire après les douze premiers mois, compte tenu des conditions suivantes:
1.
en cas d’incapacité de travail d’au moins 50 % pour cause de maladie, les collaborateurs ont droit à 730 indemnités journalières entières ou partielles au maximum sur une période de 900 jours, après un délai de carence de 60 jours,
2.
en cas d’accident, le salaire est versé aussi longtemps que l’assurance-accidents verse des indemnités journalières, mais au plus durant douze mois supplémentaires.

2 En cas d’incapacité de travail ou d’incapacité de prendre ses vacances pour cause de maladie ou d’accident, le collaborateur doit informer sans délai son supérieur direct. Si l’incapacité dure plus de trois jours ouvrables, il doit présenter un certificat médical. Dans des cas particuliers, la fondation peut exiger un certificat médical dès le premier jour de maladie. Les vacances ou les jours de congé peuvent être compensés dans la mesure où le collaborateur peut présenter un certificat médical valable dès le premier jour (à l’étranger, le certificat doit si possible être établi par un hôpital). La fondation (ou l’assurance d’indemnités journalières) peut demander un examen par un médecin-conseil.

3 Pour couvrir le risque de maladie, la fondation souscrit une assurance collective d’indemnités journalières qui offre les conditions suivantes:

a.
l’assurance collective d’indemnités journalières verse 720 indemnités journalières correspondant à 80 % du salaire AVS sur une période de 900 jours consécutifs, déduction faite du délai de carence;
b.
le délai de carence est de 60 jours;
c.
lorsqu’un collaborateur quitte l’assurance collective d’indemnités journalières, il peut adhérer à l’assurance individuelle dans les 30 jours (ou, en vertu de l’art. 71, al. 2, de la loi fédérale du 18 mars 1994 sur l’assurance-maladie7, dans les trois mois à compter du début du chômage au sens de l’art. 10 de la loi du 25 juin 1982 sur l’assurance-chômage8); la fondation informe le collaborateur de ce droit.

4 Lorsque l’obligation de verser le salaire conformément à l’al. 1 prend fin, le collaborateur perd tout droit au versement du salaire, indépendamment de la poursuite des rapports de travail. Lorsqu’un collaborateur a repris intégralement le travail pendant au moins douze mois sans interruption et qu’il connaît une rechute ou une nouvelle incapacité de travail, celle-ci est traitée comme un nouveau cas et il a de nouveau droit au versement de son salaire conformément à l’al. 1.

5 Au terme des rapports de travail, les collaborateurs engagés pour une durée déterminée ne peuvent prétendre qu’aux prestations de l’assurance d’indemnités journalières, le cas échéant.

6 Les collaborateurs s’acquittent d’une contribution s’élevant à un tiers des primes de l’assurance d’indemnités journalières en cas de maladie. Les primes de l’assurance contre les accidents non professionnels sont prises en charge pour un tiers par la fondation et pour deux tiers par les collaborateurs. Ces deux primes sont déduites du salaire mensuel.

7 En ce qui concerne le droit au salaire en cas de maladie ou d’accident, l’art. 324a CO9 est réservé.

Art. 9 Lohnanspruch bei Krankheit und Unfall

1 Bei Eintritt einer Arbeitsverhinderung wegen Krankheit oder Unfall nach Ablauf der Probezeit bezahlt die Stiftung den Lohn wie folgt weiter:

a.
100 Prozent während der ersten zwölf Monate;
b.
80 Prozent nach Ablauf der ersten zwölf Monate unter den folgenden Bedingungen:
1.
Bei einer krankheitsbedingten Arbeitsunfähigkeit von mindestens 50 Prozent werden maximal 730 ganze oder Teil-Taggelder innerhalb von 900 Tagen, abzüglich der Wartefrist von 60 Tagen, ausgerichtet.
2.
Bei Unfall dauert die Lohnfortzahlung so lange, wie die Unfallversicherung Taggelder ausrichtet, längstens weitere zwölf Monate.

2 Die oder der Mitarbeitende muss der vorgesetzten Person eine Arbeitsverhinderung oder eine Ferienunfähigkeit wegen Krankheit und Unfall unverzüglich melden. Dauert die Arbeitsunfähigkeit länger als drei Kalendertage, so hat sie oder er ein Arztzeugnis einzureichen. In besonderen Fällen kann die Stiftung für Absenzen ab dem ersten Krankheitstag ein Arztzeugnis verlangen. Ferien oder Ferientage können nachbezogen werden, sofern die Ferienunfähigkeit vom ersten Tag an durch ein Arztzeugnis (im Ausland wenn möglich ein von einem Spital ausgestelltes Zeugnis) nachgewiesen wird. Die Stiftung (oder der Taggeldversicherer) kann eine Untersuchung durch einen Vertrauensarzt oder eine Vertrauensärztin veranlassen.

3 Die Stiftung schliesst für ihre Leistungen bei Krankheit eine Kollektiv-Taggeldversicherung mit folgenden Bedingungen ab:

a.
Die Taggeldversicherung richtet 720 Krankentaggelder in der Höhe von 80 Prozent des AHV-Lohns innerhalb von 900 aufeinanderfolgenden Tagen aus, wobei die Wartefrist angerechnet wird.
b.
Die Wartefrist beträgt 60 Tage.
c.
Die oder der Mitarbeitende kann nach Ausscheiden aus der Kollektiv-Taggeldversicherung innert 30 Tagen (oder nach Beginn der Arbeitslosigkeit im Sinne von Art. 10 des Arbeitslosenversicherungsgesetzes vom 25. Juni 19827 innert drei Monaten, Art. 71 Abs. 2 des Bundesgesetzes vom 18. März 19948 über die Krankenversicherung) in die Einzelversicherung übertreten; die Stiftung informiert die ausscheidenden Mitarbeitenden über dieses Recht.

4 Nach Ablauf der Lohnfortzahlung nach Absatz 1 besteht unabhängig vom Weiterbestehen des Arbeitsverhältnisses kein Anspruch mehr auf Lohnzahlung durch die Stiftung. Nach vollständiger Wiederaufnahme der Arbeit während mindestens zwölf Monaten (ohne Unterbruch) gilt bei Krankheit ein Rückfall oder eine neue Arbeitsunfähigkeit als neuer Fall, und es besteht wiederum ein voller Anspruch nach Absatz 1.

5 Bei befristeten Arbeitsverhältnissen besteht nach Beendigung des Arbeitsverhältnisses nur noch der Anspruch auf allfällige Leistungen des Taggeldversicherers.

6 Die Mitarbeitenden beteiligen sich zu einem Drittel an den Prämien der Krankentaggeldversicherung. Die Prämien der Nichtberufsunfallversicherung werden zu einem Drittel von der Stiftung und zu zwei Dritteln von den Mitarbeitenden getragen. Beide Prämien werden monatlich vom Lohn abgezogen.

7 Für den Lohnanspruch bei Krankheit und Unfall bleibt Artikel 324a OR9 vorbehalten.

 

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Dies ist keine amtliche Veröffentlichung. Massgebend ist allein die Veröffentlichung durch die Bundeskanzlei.