Droit international 0.8 Santé - Travail - Sécurité sociale 0.83 Sécurité sociale
Internationales Recht 0.8 Gesundheit - Arbeit - Soziale Sicherheit 0.83 Soziale Sicherheit

0.831.109.514.11 Première Convention complémentaire du 9 février 1996 à la Convention de sécurité sociale du 8 mars 1989 entre la Confédération suisse et la Principauté de Liechtenstein

0.831.109.514.11 Erstes Zusatzabkommen vom 9. Februar 1996 zum Abkommen vom 8. März 1989 zwischen der Schweizerischen Eidgenossenschaft und dem Fürstentum Liechtenstein über Soziale Sicherheit

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Art. 2

(1)  Le présent Avenant s’applique également aux événements assurés qui se sont réalisés avant son entrée en vigueur.

(2)  Le présent Avenant n’ouvre aucun droit à des prestations pour une période antérieure à la date de son entrée en vigueur.

(3)  Les décisions prises antérieurement à son entrée en vigueur ne font pas obstacle à l’application du présent Avenant.

(4)
 a. Dans le cas où,
aa.
en vertu du ch. 5, let. a, du protocole final relatif à la convention,
i)
une personne était exemptée de l’obligation de cotiser à l’assurance suisse, celle-ci prend en compte les périodes correspondantes pour le calcul de la rente, la durée minimale de cotisation étant considérée comme accomplie;
ii)
un conjoint assuré selon la législation liechtensteinoise était également considéré comme assuré selon la législation suisse, l’assurance suisse prend en compte les périodes correspondantes pour le droit aux rentes extraordinaires conformément à l’art. 42, par. 2, let. c et d, de la loi fédérale sur l’assurance-vieillesse et survivants, comme si les périodes en question étaient accomplies auprès de cette assurance.
bb.
avant la date à laquelle le ch. 5, let. a, du protocole final relatif à la convention cesse d’être en vigueur, s’agissant de femmes divorcées, l’épouse était assurée, durant le mariage, auprès de l’assurance suisse et le mari auprès de l’assurance liechtensteinoise, les dispositions suivantes sont applicables pour le calcul de la rente suisse:
i)
la durée minimale de cotisation est considérée comme accomplie;
ii)
la période durant laquelle le mari était affilié à l’assurance liechtensteinoise est traitée comme s’il avait été assuré auprès de l’assurance suisse;
iii)
le ch. ii) n’est pas applicable lorsque l’assurance liechtensteinoise alloue à cette épouse une rente basée sur les cotisations de ce mari, à moins que la somme de cette rente et de celle fixée en vertu de la let. aa, ch. i), ne soit inférieure à la rente fixée conformément à la let. bb, ch. i) et ii).
b.
Dans le cas où, en vertu du ch. 5, lettre a, du protocole final relatif à la convention, une personne était exemptée de l’obligation de cotiser à l’assurance liechtensteinoise, celle-ci prend en compte, pour le calcul de la rente, les périodes correspondantes ainsi que le montant minimal annuel de cotisations, en renonçant à la perception de cotisations.

(5)  Pour les personnes auxquelles est applicable, immédiatement avant l’entrée en vigueur du présent Avenant, aux termes de l’art. 6, par. 1, de la convention, la législation de l’un des Etats contractants, celle-ci demeure applicable tant que ces personnes travaillent pour le même employeur sur le territoire de l’autre Etat. Elles peuvent cependant demander que soit appliquée la législation du deuxième Etat dès le mois qui suit celui où la demande est présentée.

(6)  Les droits des personnes ayant obtenu la liquidation d’une rente de vieillesse et survivants ou d’invalidité antérieurement à l’entrée en vigueur du présent Avenant seront révisés d’office en vertu de cet Avenant et feront l’objet d’une nouvelle décision. Lorsque les assurances des Etats contractants ne rendent pas simultanément leur décision, dans les cas visés par l’art. 3, le délai de présentation des moyens de recours contre la décision rendue en premier lieu, recommence à courir dès le début du délai de recours prévu pour la décision rendue en dernier lieu.

(7)  Les délais de prescription prévus par les législations des deux Etats contractants commencent à courir, en ce qui concerne tous les droits résultant du présent Avenant, au plus tôt lors de son entrée en vigueur.

Art. 2

(1)  Dieses Zusatzabkommen gilt auch für die Versicherungsfälle, die vor seinem Inkrafttreten eingetreten sind.

(2)  Dieses Zusatzabkommen begründet keine Leistungsansprüche für Zeiten vor seinem Inkrafttreten.

(3)  Frühere Entscheide stehen der Anwendung des Zusatzabkommens nicht entgegen.

(4) a.
In Fällen, in denen
aa.
aufgrund von Ziffer 5 Buchstabe a des Schlussprotokolls zum Abkommen
i.
eine Person von der Beitragspflicht in der schweizerischen Versicherung befreit war, berücksichtigt diese die entsprechenden Zeiten für die Berechnung der Rente; dabei gilt die Mindestbeitragsdauer als erfüllt;
ii.
ein nach der liechtensteinischen Gesetzgebung versicherter Ehegatte auch als nach der schweizerischen Gesetzgebung versichert galt, berücksichtigt die schweizerische Versicherung die entsprechenden Zeiten für den Anspruch auf ausserordentliche Rente nach Artikel 42 Absatz 2 Buchstaben c und d des Bundesgesetzes über die Alters- und Hinterlassenenversicherung, als wären sie in dieser Versicherung zurückgelegt.
bb.
Vor dem Zeitpunkt, in dem Ziffer 5 Buchstabe a des Schlussprotokolls zum Abkommen ausser Kraft tritt, während der gemeinsamen Ehe die Ehefrau in der schweizerischen und der Ehemann in der liechtensteinischen Versicherung versichert war, gilt bei geschiedenen Frauen für die Berechnung der schweizerischen Rente folgendes:
i.
die Mindestbeitragsdauer gilt als erfüllt;
ii.
die Zeit, während welcher der Ehemann der liechtensteinischen Versicherung angehörte, wird so behandelt, als wäre er in der schweizerischen Versicherung versichert gewesen;
iii.
Ziffer ii findet keine Anwendung, wenn die liechtensteinische Versicherung dieser Frau eine Rente ausrichtet, die auf den Beitragsgrundlagen dieses Ehemannes beruht; es sei denn, dass diese Rente und die nach Buchstabe aa Ziffer i festgesetzte Rente zusammen niedriger sind, als die nach Buchstabe bb Ziffern i und ii festgesetzte Rente.
b.
In Fällen, in denen aufgrund von Ziffer 5 Buchstabe a des Schlussprotokolls zum Abkommen eine Person von der Beitragspflicht in der liechtensteinischen Versicherung befreit war, berücksichtigt die liechtensteinische Versicherung die entsprechenden Zeiten sowie – unter Verzicht auf den Beitragseinzug – den jeweiligen jährlichen Mindestbeitrag für die Berechnung der Rente.

(5)  Für Personen, auf die unmittelbar vor Inkrafttreten dieses Zusatzabkommens nach Artikel 6 Absatz 1 des Abkommens die Gesetzgebung des einen Vertragsstaates anwendbar ist, gilt diese Gesetzgebung, solange sie für den gleichen Arbeitgeber im Gebiet des anderen Vertragsstaates tätig sind. Sie können jedoch verlangen, dass auf sie ab dem der Antragstellung folgenden Monat die Gesetzgebung des zweiten Vertragsstaates angewandt wird.

(6)  Ansprüche von Personen, deren Alters-, Hinterlassenen- oder Invalidenrente vor dem Inkrafttreten dieses Zusatzabkommens festgestellt worden ist, werden von Amtes wegen nach diesem Zusatzabkommen neu festgestellt und verfügt. Erlassen die Versicherungen der Vertragsstaaten in Fällen nach Artikel 3 die Verfügungen nicht gleichzeitig, so beginnt die Frist zur Einreichung von Rechtsmitteln gegen die zuerst erlassene Verfügung mit dem Beginn der Rechtsmittelfrist für die zuletzt erlassene Verfügung von neuem.

(7)  Die Verjährungsfristen nach den Gesetzgebungen der beiden Vertragsstaaten beginnen für alle Ansprüche, die aufgrund dieses Zusatzabkommens entstehen, frühestens mit dessen Inkrafttreten.

 

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