(1) La personne qui peut prétendre des prestations en nature en raison d’un accident du travail (maladie professionnelle) conformément aux dispositions de la législation de l’une des parties contractantes bénéficie également de ces prestations, sous réserve de l’art. 25, al. 1, let. b, lorsqu’avec l’autorisation préalable de l’institution compétente, elle transfère sa résidence, pendant le traitement médical, sur le territoire de l’autre partie contractante. L’autorisation du transfert de domicile doit être accordée si aucune objection d’ordre médical n’est élevée et si la personne se rend auprès de sa famille. L’autorisation peut être donnée postérieurement au transfert, lorsque ces conditions sont remplies, si pour des motifs indépendants de sa volonté, la personne intéressée n’a pas requis préalablement cet assentiment.
(2) Lorsqu’une personne peut prétendre les prestations en nature conformément aux dispositions légales de l’une des parties contractantes en raison d’un accident du travail (maladie professionnelle) survenant sur le territoire de l’autre partie ou survenu antérieurement, elle bénéficie de ces prestations en nature, dans la mesure où elle en a besoin, également sur le territoire de l’autre partie contractante.
(3) Les prestations en nature qu’une personne doit recevoir conformément aux al. 1 ou 2, sont allouées
conformément aux dispositions légales applicables à l’institution d’assurance du lieu de séjour, comme si la personne était assurée auprès de cette institution. L’institution allemande d’assurance-accident qui serait compétente, s’il fallait statuer sur le droit aux prestations selon les dispositions légales allemandes, peut fournir les prestations en lieu et place de l’institution allemande mentionnée à la première phrase.33
(4) L’octroi de prothèses et d’autres prestations en nature de grande importance est subordonné, sauf cas d’urgence, à l’autorisation préalable de l’institution compétente.
(5) Les personnes et les organismes qui ont conclu avec les institutions d’assurance mentionnées à l’al. 3 des contrats en matière d’octroi des prestations en nature en faveur des assurés de ces institutions d’assurance sont également tenus à l’octroi des prestations en nature en faveur des personnes mentionnées à l’al. 2 comme si ces personnes étaient assurées auprès des institutions d’assurance mentionnées à l’al. 3 et comme si les contrats précités s’appliquaient également à ces personnes.34
33 Nouvelle teneur selon l’art. 1 ch. 10 de la première conv. complémentaire du 9 sept. 1975 (RS 0.831.109.136.121).
34 Introduit par l’art. 1 ch. 21 de la deuxième conv. complémentaire du 2 mars 1989 (RS 0.831.109.136.122).
(1) Hat eine Person nach den Rechtsvorschriften der einen Vertragspartei auf Grund eines Arbeitsunfalles (Berufskrankheit) Anspruch auf Sachleistungen, so erhält sie vorbehaltlich des Artikels 25, Absatz 1, Buchstabe b die Sachleistungen auch, wenn sie während der Heilbehandlung mit vorheriger Zustimmung des zuständigen Trägers ihren Wohnort in das Gebiet der anderen Vertragspartei verlegt. Die Zustimmung zur Verlegung des Wohnortes ist zu erteilen, wenn keine ärztlichen Bedenken dagegen geltend gemacht werden und die Person sich zu ihren Angehörigen begibt. Die Zustimmung kann nachträglich erteilt werden, wenn diese Voraussetzungen erfüllt sind und die Person aus von ihr nicht zu vertretenden Gründen die Zustimmung vorher nicht eingeholt hat.
(2) Hat eine Person nach den Rechtsvorschriften der einen Vertragspartei wegen eines im Gebiet der anderen Vertragspartei eintretenden oder wegen eines früheren Arbeitsunfalles (Berufskrankheit) Anspruch auf Sachleistungen, so erhält sie diese auch bei Aufenthalt im Gebiet der anderen Vertragspartei, wenn sie die Sachleistungen dort benötigt.
(3) Die Sachleistungen, die eine Person nach Absatz 1 oder 2 zu erhalten hat, sind
nach den für den Träger des Aufenthaltsortes geltenden Rechtsvorschriften zu gewähren, als wäre die Person bei diesem Träger versichert. Anstelle des in Satz 1 genannten deutschen Trägers kann der deutsche Träger der Unfallversicherung, der zuständig wäre, wenn über den Leistungsanspruch nach den deutschen Rechtsvorschriften zu entscheiden wäre, die Leistungen erbringen.32
(4) Körperersatzstücke und andere Sachleistungen von erheblicher Bedeutung sind, wenn der Fall nicht dringlich ist, nur mit vorheriger Zustimmung des zuständigen Trägers zu gewähren.
(5) Personen und Einrichtungen, die mit den in Absatz 3 genannten Trägern Verträge über die Erbringung von Sachleistungen für die bei diesen Trägern Versicherten abgeschlossen haben, sind verpflichtet, Sachleistungen auch für die in Absatz 2 genannten Personen zu erbringen, und zwar unter denselben Voraussetzungen, als ob diese Personen bei den in Absatz 3 genannten Trägern versichert wären und als ob die Verträge sich auch auf diese Personen erstreckten.33
32 Fassung gemäss Art. 1 Ziff. 10 des Ersten Zusatzabk. vom 9. Sept. 1975, in Kraft seit 1. Nov. 1976 (SR 0.831.109.136.121).
33 Eingefügt durch Art. 1 Ziff. 21 des Zweiten Zusatzabk. vom 2. März. 1989, (SR 0.831.109.136.122).
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