Droit international 0.6 Finances 0.63 Douanes
Internationales Recht 0.6 Finanzen 0.63 Zollwesen

0.632.316.891.1 Accord de libre-échange du 26 juin 2002 entre les États de l'AELE et la République de Singapour (avec prot. d'entente et annexes)

0.632.316.891.1 Freihandelsabkommen vom 26. Juni 2002 zwischen den EFTA-Staaten und der Republik Singapur (mit Verständigungsprotokoll und Anhängen)

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Art. 48 Différend entre un investisseur et une Partie

1.  Si un investisseur d’une Partie considère qu’une mesure appliquée par une autre Partie n’est pas conforme aux obligations découlant du présent chapitre et entraîne, pour lui ou son investissement, une perte ou un dommage, il peut demander des consultations en vue de régler le différend à l’amiable.

2.  Si le différend n’est pas réglé dans les six mois suivant la demande de consultations, il peut être renvoyé devant une juridiction civile ou administrative de la Partie concernée ou, si les deux parties au différend en conviennent, il est soumis à l’une des procédures suivantes:

(a)
l’arbitrage en vertu de la Convention pour le règlement des différends relatifs aux investissements entre États et ressortissants d’autres États28 (la «Convention CIRDI»), si celle-ci est applicable;
(b)
la conciliation ou l’arbitrage sur la base du règlement du Mécanisme supplémentaire du Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements;
(c)
l’arbitrage sur la base du Règlement d’arbitrage de la Commission des Nations Unies pour le droit commercial international (CNUDCI).

3.  Une Partie peut conclure des accords avec des investisseurs d’une autre Partie afin de leur donner son consentement inconditionnel et irrévocable à la soumission de tous les types de différends ou d’une partie d’entre eux à la conciliation ou à l’arbitrage international conformément au par. 2 ci-dessus. De tels accords sont notifiés au Dépositaire du présent Accord.

Art. 48 Streitigkeiten zwischen einem Investor und einer Vertragspartei

1.  Ist ein Investor einer Vertragspartei der Auffassung, eine von einer anderen Vertragspartei angewendete Massnahme sei mit einer Verpflichtung nach diesem Kapitel unvereinbar und füge daher ihm oder seiner Investition Schaden zu, so kann er Konsultationen beantragen, um die Angelegenheit gütlich beizulegen.

2.  Führen diese Konsultationen innerhalb von sechs Monaten seit dem Antrag, solche aufzunehmen, nicht zu einer Lösung, so kann die Angelegenheit einem Gerichtshof oder Verwaltungsgericht der betreffenden Vertragspartei, oder, falls beide Streitparteien einverstanden sind, einer der folgenden Stellen oder Verfahren unterbreitet werden:

(a)
der Schiedsgerichtsbarkeit unter dem Übereinkommen vom 18. März 1965 zur Beilegung von Investitionsstreitigkeiten zwischen Staaten und Angehörigen anderer Staaten28 (das «ICSID-Übereinkommen»), falls dieses Übereinkommen anwendbar ist;
(b)
dem Schlichtungsverfahren oder der Schiedsgerichtsbarkeit gemäss den «Additional Facility»-Regeln des Internationalen Zentrums zur Beilegung von Investitionsstreitigkeiten;
(c)
der Schiedsgerichtsbarkeit der Kommission der Vereinten Nationen für Internationales Handelsrecht (UNCITRAL).

3.  Eine Vertragspartei kann mit den Investoren einer anderen Vertragspartei vertraglich Vereinbarungen abschliessen, in denen sie ihre unbedingte und unwiderrufliche Zustimmung dazu gibt, dass alle oder gewisse Arten von Streitigkeiten einem internationalen Schiedsverfahren gemäss Absatz 2 unterworfen werden. Solche Vereinbarungen können dem Depositar dieses Abkommens notifiziert werden.

 

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