Droit international 0.2 Droit privé - Procédure civile - Exécution 0.27 Procédure civile
Internationales Recht 0.2 Privatrecht - Zivilrechtspflege - Vollstreckung 0.27 Zivilrechtspflege

0.274.133 Convention du 25 octobre 1980 tendant à faciliter l'accès international à la justice (avec annexe)

0.274.133 Übereinkommen vom 25. Oktober 1980 über den internationalen Zugang zur Rechtspflege (mit Anhang)

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Art. 17

Les demandes d’exequatur doivent être accompagnées:

a.
d’une expédition conforme de la partie de la décision faisant apparaître les noms et qualités des parties, ainsi que le dispositif se rapportant aux frais et dépens;
b.
de tout document de nature à prouver que la décision ne peut plus faire l’ob­jet d’un recours ordinaire dans l’État d’origine et qu’elle y est exécutoire;
c.
d’une traduction certifiée conforme de ces documents dans la langue de l’État requis, lorsqu’ils ne sont pas rédigés dans cette langue.

L’autorité compétente de l’État requis statue sur les demandes d’exequatur sans entendre les parties. Elle se borne à vérifier que les pièces ont été produites. A la requête du demandeur, elle évalue le montant des frais d’attestation, de traduction et de certification, qui sont assimilés aux frais et dépens du procès. Aucune légalisation ou formalité analogue ne peut être imposée.

Les parties n’ont d’autres recours contre la décision rendue par l’autorité compétente que ceux qui leur sont ouverts par la législation de l’État requis.

Art. 17

Dem Antrag auf Vollstreckbarerklärung sind beizufügen

a)
eine Ausfertigung desjenigen Teiles der Entscheidung, aus dem die Namen der Parteien und ihre Stellung im Verfahren hervorgehen, sowie der Ko­s­ten­entscheidung;
b)
jede Urkunde, die zum Nachweis dafür geeignet ist, dass gegen die Ent­schei­dung im Ursprungsstaat kein ordentliches Rechtsmittel mehr eingelegt wer­den kann und dass sie dort vollstreckbar ist;
c)
eine beglaubigte Übersetzung dieser Urkunden in die Sprache des ersuchten Staates, sofern sie nicht in dieser Sprache abgefasst sind.

Die zuständige Behörde im ersuchten Staat entscheidet über die Anträge auf Voll­streckbarerklärung, ohne die Parteien anzuhören. Sie beschränkt sich darauf zu prü­fen, ob die erforderlichen Schriftstücke vorgelegt worden sind. Auf Ersuchen des Antragstellers bestimmt sie die Höhe der Kosten von Bescheinigungen, Übersetzun­gen und Beglaubigungen; sie gelten als Kosten des Rechtsstreits. Eine Beglaubigung oder eine ähnliche Förmlichkeit darf nicht verlangt werden.

Die Parteien können gegen die Entscheidung der zuständigen Behörde nur die nach dem Recht des ersuchten Staates zulässigen Rechtsmittel einlegen.

 

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